La Double énonciation

amoureux. III) Les rêves Gens simples ou dans un état second qui voient les choses : les enfants, un ivrogne, les gens endormis. A. Oedipe * "chien" => Anubis. * Double énonciation : le spectateur comprend mais pas Jocaste : "Elle rie". B. Jocaste * "mur de ronde" => fantôme de Laïus. * Double énonciation : même chose => le spectateur comprend mais pas Oedipe : "riant". => Sur le point de révéler leur secret. Conclusion : A l'issue de notre analyse nous pouvons constater

Molière. Il va dénoncer les faux dévots et les hypocrites. L’auteur étant proche du roi, il veut lui montrer son respect. L’éloge du roi : Cet éloge est réalisé à travers la tirade de l’exempte très longue de 40 vers. Molière joue sur la double énonciation. Tirade destinée à être lue par le roi Louis XIV : ch. lex. de la vérité qui va être rattaché au roi. Comparaison du roi à dieu avec la périphrase « équité suprême » (= justice divine) Le roi ne se trompe jamais, il est juste : antithèse

| | |3° (I, 5) : tirade contre l’hypocrisie de Cléante à Orgon (portée argumentative, le blâme, double énonciation) | | | | | |4° (V, 7) : Dénouement (coup de théâtre

représenté présente une spécificité : il peut être argumentatif ou polémique entre autres. Le théâtre est une forme vivante de littérature, qui se prête à défendre des idées, de par ses dialogues qui peuvent adopter une forme argumentative, et par sa double énonciation. Il permet ainsi une opposition à certaines idées de façon plus ou moins détournée et est accessible à tous. Mais le théâtre n'est pas lu ou écouté de façon assez attentive, tournée vers les arguments de l'auteur. En effet, le théâtre se présente

air lyrique.II-2e mouvement- «Mais ils montent bien mieux depuis quelques instants» (l.9), conj de cood «mais» d’opp > changement d’attitude de R qui semble séduite par son lang.- double énonciation «de cette gymnastique, ils ont pris l’habitude» (l.10), personnification continue l.10 => effet comique + double sens pour le spectateur- phrase excl «il leur faut plus de temps» (l.8) spectateur >domaine des sentiments- «je vous parle en effet d’une vraie altitude»(l.11) R > d’éloquence (précieuse)-

La Fontaine En quoi cet apologue est-il caractéristique des idéaux de La Fontaine dans son œuvre Les Fables ? I/L’art du récit A) Une tradition ésopique Vers 28 et 29 la séparation  morale explicite détachée, procédé emphatique comme Esope Double énonciation avec le conteur (temps du récit) et le moralisateur (présent gnomique)  impression de deux instances différentes, reprise de la tradition ésopique B) Un jeu d’alternance Vers 2 la valeur durative « s’en allaient », vers 13 « dit », vers 18

différents comiques. 2° La préface de Tartuffe, Hatier p.279 (contexte de la pièce, ambitions comiques de Molière, une comédie sérieuse et satirique) 3° (I, 5) : tirade contre l’hypocrisie de Cléante à Orgon (portée argumentative, le blâme, double énonciation) 4° (V, 7) : Dénouement (coup de théâtre –deus ex machina-, éloge du roi) Etude sous forme de tableau. Documents complémentaires Biographie de Molière Projection d’extraits de la mise en scène de J. Charon de Tartuffe

constitue un dispositif efficace qui amplifie la critique politique et religieuse du XVIII eme s ? DEMARCHE I. Le discours par une lettre fictive A. La lettre d’un persan • Indices externes : o Destination : Smyrne et énonciation : Paris o Ref temporel, du calendrier lunaire musulman mêlé à la datation chrétienne • Indices internes : o Système énonciatif avec un emploie massif de « je » et de « tu » et de « nous» qui marque la volonté d’impliquer le

la religion). * planter le décor. * exposer les principaux thèmes de la pièce (encore Dom Juan : l'amour libertin, les rapports maître/ valet (et au-delà Homme/ Dieu), etc. Ce sont les effets de ce qu'on appelle en jargon littéraire : LA DOUBLE-ENONCIATION ; c'est-à-dire que les personnages qui se parlent entre eux parlent, au-delà, également pour le spectateur. Aujourd'hui, en faisant un DM dans lequel j'avais une petite question sur la scène d'exposition, je me suis demandé combien elle peut

entre stratagème et moral. III- Situation du passage· Ce passage extrait de la scène 2 de l’acte I, est la Scène d’exposition. Dans celle-ci Marivaux met en scène un dialogue entre Dorante et Dubois lui permettant via la double énonciation d’informer le spectateur des motivations ambiguës de Dorante et de l’assurance de Dubois dans l’accomplissement de son objectif. IV- Lecture V- Problématique· Comment Marivaux montre-t-il l’inversion