La Dualité Des Sujets De Droit

présente deux aspects complémentaires : d’une part des droits et d’autre part des devoirs. - les droits se décomposent eux-mêmes en sous catégorie ; cette distinction a été opéré par deux philosophes contemporains nommés Ferry et Renaut : Les droits libertés et les droits créances. Les droits libertés sont ceux qui permettent aux citoyens de peser sur les décisions collectives, à partir de là les droits libertés correspondent : aux droits de s’exprimer, de manifester, de pétitionner, de s’associer

janvier amphie B et C du bâtiment F de 9h à 12h.  * Droit public = L’ensemble des règles qui régissent l’état et les autres personnes publiques ainsi que les relations entre état et autre état. Dans ce cours on s'intéressera à la différence entre droit privé et administratif. Le droit administratif est un droit dérogatoire au droit commun qui serai le droit privé, on parle aussi d’un droit exorbitant du droit commun. L’idée d’un droit administratif qui constituerai une sorte d’anomalie est

La définition du patrimoine est une création doctrinale basée sur la théorie d’Aubry et Rau. Il s’agit de l’ensemble des rapports de droits appréciables en argent, qui ont pour sujet actif ou passif une même personne et qui sont envisagés comme formant une universalité juridique. De ce que le patrimoine est à la projection de la personne sur le terrain des intérêts matériels, actifs et passifs, découlent quatre principes : *seules les personnes physiques ou morales peuvent avoir un patrimoine de

L’état : Question de droit Est-ce que l’état est compatible avec l’épanouissement des libertés ? Peut-il être limité ? Question qui incarne le renouveau du droit constitutionnel. Phase du contentieux. Cette phase correspond au succès de l’expression état de droit car il s’agit d’envisager un état soumis à la constitution, au droit. Cette question (état de droit) a eu tellement de succès qu’elle s’est diluée. Il y a avancée de l’état de droit lorsqu’il y a une évolution des libertés = idéal

------------------------------------------------- DROIT DES PERSONNES ------------------------------------------------- 2nd SEMESTRE INTODUCTION : Le droit des personnes est l’un des droits les plus fondamentaux parce que c’est un droit qui régit et protège l’Homme. C’est une droit vivant, passionnant et actuel, et prend en compte un certain nombre d’éléments de la société où tout se médiatise et a recours de plus en plus aux méthodes scientifiques. Il est très actuel notamment parce que :

nous séparons la conduite de la pensée. Le comportement voilà ce qui compte ! C’est ce que dit le béhaviourisme. A la limite, l’homme ne serait qu’un robot sans pensée que l’on n’y verrait que du feu. Comme si la conduite n’était pas dans la droite ligne de la pensée ! La pensée trace la direction de l’intention. La pensée fournit les raisons, les motifs, le but. En-deçà de toute conduite, il y a des choix, un système de préférence, des valeurs, des idées et des croyances. Que les idées soient

René Rémond, historien du Politique. ------------------------------------------------- Historien et politologue français né le 30 septembre 1918 à Lons-Le –Saunier dans le Jura et mort le 14 avril 2007 à Paris. C’est un grand spécialiste de la droite Française mais il s’intéresse aussi à l’anticléricalisme et à la place de l’église dans le monde contemporain. Il débute sa carrière en 1949 en tant qu’assistant d’histoire moderne à la Sorbonne jusqu’à devenir président de l’université de Nanterre

spéciales qui varient suivant les besoins du service et la nécessité de concilier les droits de l'État avec les droits privés ; » — Arrêt Blanco du Tribunal des conflits Commentaire[modifier] L'arrêt Blanco fait figure, selon l'expression de Gaston Jèze, de « pierre angulaire » du droit administratif français. En effet, il définit à la fois la compétence de la juridiction administrative et le contenu du droit administratif. L'arrêt reconnaît le service public comme le critère de la compétence

pouvoir exécutif. Droit administratif : dans sa conception large : ensemble des règles qui s'appliquent à l'organisation et à l'activité de l'administration (conception la plus juste : les personnes publiques, dans certaines circonstances, peuvent se voir appliquer les règles applicables à des particuliers. Ex : mêmes conditions du contrat pour abonnement téléphonique pour Dauphine identique à celles pour les particuliers). Dans sa conception stricte : ensemble des règles de droit publique qui s'appliquent

souvent confondu avec le nihilisme[5]. Cela est une interprétation erronée ou simplement une ignorance de la notion de vacuité (shûnyâta)[6], appelée aussi interdépendance. Cette vue fausse[7]vient de notre manière instinctive de penser en termes de dualité[8], de couples d'oppositions. Le bouddhisme rejette tant l'Être que le Néant, concepts qui tous deux ne correspondent à aucune réalité (l'Être n'est pas, puisqu'il n'y a rien de permanent et tout est provisoire, et le Néant n'est pas, par définition :