La Dyarchie

applique (gouvernement présidentiel = hiérarchie) Le cas de la cohabitation : l’article 20 joue « le gouvernement détermine… », la Président de la République a des moyens juridiques et est toujours une autorité morale, une influence par le verbe (dyarchie = deux véritables têtes). IV) Le Gouvernement et le Parlement Le gouvernement est responsable politiquement devant le Parlement (base du règlement parlementaire) (article 20), c’est la marque de la rationalisation du règlement parlementaire :

hégémoniques. -D'un point de vue politique les deux cités sont complètement opposées. Athènes est une isonomie, c'est à dire l'accès de tous les citoyens aux fonctions, prérogatives et avantages. Tandis que Sparte est une oligarchie rigide. C'est une dyarchie que se partagent deux grandes familles: les Agiades et les Euripontides. Pour être citoyen il faut posséder un certain niveau de richesse. Les citoyens n'ont que peu de pouvoirs. -un conflit larvée ligne 6 Après les guerres médiques les relations

sa conception respective de la fonction présidentielle et de celle du Premier ministre : « Il est normal chez nous que le président de la République et le Premier ministre ne soient pas un seul et même homme. Certes, on ne saurait accepter qu’une dyarchie existât au sommet. Mais, justement, il n’en est rien. [...] Le président est évidemment seul à détenir et à déléguer l’autorité de l’État. Mais, précisément, la nature, l’étendue, la durée de sa tâche impliquent qu’il ne soit pas absorbé, sans relâche

est-il arrivé au pouvoir ? * Division de la droite – gauche est soudée * Chirac emmène une partie des gaullistes à VGE Echec de son projet de « décrispation » : son autorité est contestée par Chirac (1er ministre) car VGE refuse idée de dyarchie (partage pouvoir). Chirac démissionne en 1976. Il est remplacé par Raymond Barre, reconnu comme économiste. Chirac transforme UDR en RPR (Rassemblement pour la République)  et mène dès lors une « guérilla » parlementaire contre VGE « majorité récalcitrante »

le Premier ministre était véritablement choisi par le président et dans ce contexte précis, ce dernier ne pouvait le choisir véritablement, le Premier Ministre lui était contraint (en 1993 la situation est quelque peu ambiguë car on a une sorte de dyarchie à la tête du RPR).  * C'est un fait important car enfin, c'est pendant cette période que l’on a une quasi cohésion entre le système politique et le régime politique et l’article 21 de la constitution prend tout son sens, en effet il dispose que c'est

régime parlementaire. Une volonté politique de présidentialisation du régime parlementaire On reste dans la conception du général De Gaulle qui voulait un régime semi présidentiel avec un président fort. Le quinquennat évite une dyarchie au sommet de l’état, c'est-à-dire une gouvernance en simultanéité du président de la république et du premier ministre. L’instauration du quinquennat permet au Président de la République d’apparaitre comme le vrai chef de l’exécutif, sur le plan

démarque sur la scène internationale. Sarkozy: cérémonie d’investiture Sarkozy: renforcement du pouvoir présidentiel Législatives après la présidentielle. François Fillon devient Premier ministre. Confirmation d’une hiérarchie au sein de la dyarchie. Un parti (UMP) dévoué et uni. Comité Balladur Comité de réflexion et de proposition sur la modernisation et le rééquilibrage des institutions. Rééquilibrer les pouvoirs entre le président et le premier ministre. Harmoniser le texte avec la

néanmoins également beaucoup de la personnalité de ces derniers. On saisit cependant nettement la primauté du président à travers le discours de De Gaulle. B) L’affirmation de la prépondérance présidentielle « On ne saurait accepter qu’une dyarchie existât au sommet. Mais justement il n’en est rien. », De Gaulle affirme alors que « le président, qui suivant notre Constitution, est l’homme de la nation, mis en place par elle-même pour répondre à son destin ». On perçoit ainsi la prépondérance

chef de l'opposition. Ce qui a pour effet d'abaisser sa fonction présidentielle et d'exercer simplement un pouvoir de nuisance, c'est à dire sa fonction d'empêcher et de contrer les décisions du parlement et du gouvernement on assiste donc a une dyarchie conflictuelle au sein de l'exécutif. Cela remet en cause également, l'équilibre des pouvoirs, car d'un coté le président peut dissoudre l'Assemblée Nationale alors que sa responsabilité peut être remise en cause par le biais de la motion de censure

Alamans, Vandales, Goths. Fortifie Rome et reprend contrôle des régions (Orient + Gaule). Attaques alamandes et franques ne cessent pas, mais ne sont pas une réelle menace pour l’Empire. Règne de Dioclétien (285-305) = stabilité. => réformes : dyarchie en 286 avec Maximilien, puis tétrarchie en 293 avec Constance Chlore et Galère : unité pol. demeure. Décisions ne sont plus centralisées (Rome) mais dép. des tétrarques. Début IV°s : Constantin (fils de Constance Chlore), réunifie Empireseul maître