La Délinquance Durkheim

et société 1, Max Weber se réfère à Simmel (1858-1918). Simmel qui fût professeur à Strasbourg était très célèbre de son vivant. Il a ensuite été ignoré pendant de très longues années en France. Ceci s'explique principalement par l'hostilité que Durkheim a manifesté à son égard et par le fait que, comme pour Max Weber, les principes de sa sociologie sont incompatibles avec ceux du structuralisme et du "marxisme" des années 50 et 60. Pour Simmel la connaissance des phénomènes sociaux n'est possible

le succès des sportifs ? Importance de la famille dans le rapport au corps et au sport. Ces processus de socialisation sont au centre de la sociologie. Il y a une relation entre le développement de la sociologie et le processus de socialisation. Durkheim est le premier à considérer que l’on peut étudier les faits sociaux comme des choses. Il étudie la société et en distingue 2 : - société à la solidarité mécanique : traditionnelle, peu complexe, pas de différenciation des tâches ; peu de différence

fondamentaux : nourriture moins équilibrée (obésité, carences, surconsommation de tabac, d’alcool,…), moindre accès à la santé, privation (loisir, transport,…),… concentration dans des quartiers sensibles (habitat dégradé, faible commerce de proximité, délinquance, services publics réduits et conditions d’enseignement défavorables ,…) B inégalités scolaires : rôle du capital culturel et social, les catégories les mieux loties savent tirer partie de l’école pour maintenir leur position dominante alors que

Socialisation et construction sociale de l’identité I / Approche piagétienne et ses prolongements sociologiques {draw:frame} Parler de socialisation chez l’enfant, c’est se référer à la psychologie génétique. Piaget va au-delà de l’opposition faite par Durkheim entre approche psychologique et approche sociologique, mais aborde de front l’approche sociologique et les explications psycho-biologiques de la socialisation. Le développement mental de l’enfant est une construction continue (processus d’équilibration

l’éducation.... Il peut renvoyer à de multiples interrogations et par ces interrogations il peut être découpé, segmenté. Par exemple, si je choisis de travailler sur « la délinquance », j’ai affaire là à un thème générique qui va renvoyer à une série de sous-thèmes tels : la délinquance juvénile, la délinquance judiciaire, la délinquance urbaine.... Je procède alors un découpage de la réalité pour mieux cibler en quelque sorte la partie de cette réalité qui va faire l’objet de mes investigations. Mais

renvoient aux modes de relations entre les individus dans notre société. Souvent écartelé entre individualisme et solidarité, l’individu d’aujourd’hui est, sans aucun doute, à la fois dépendant et autonome suivant la formule déjà utilisée par Emile Durkheim en 1893 : « comment se fait-il que, tout en devenant plus autonome, l’individu dépende plus étroitement de la société. Comment peut-il être à la fois plus personnel et plus solidaire ? »2. Cette réflexion est aussi celle développée par Edgar Morin :

violence.     La société de consommation est, à la fois, une société de sollicitude* et de répression, et une société pacifiée et de violence. L’abondance et la violence vont de pair. Les formes d’anomie (Durkheim) ou d’anomalie vont de la « destructivité »*, telle que la violence et la délinquance, à la « dépressivité contagieuse », comme la fatigue et le suicide, en passant par les conduites collectives d’évasion telles que la drogue. La société met en place des « modèles de violence ». Et elle tente

fondamentaux : nourriture moins équilibrée (obésité, carences, surconsommation de tabac, d’alcool,…), moindre accès à la santé, privation (loisir, transport,…),… concentration dans des quartiers sensibles (habitat dégradé, faible commerce de proximité, délinquance, services publics réduits et conditions d’enseignement défavorables ,…) B inégalités scolaires : rôle du capital culturel et social, les catégories les mieux loties savent tirer partie de l’école pour maintenir leur position dominante alors que

Licence 2 – 1er Semestre INTRODUCTION Le droit pénal est l’objet de nombreuses réformes. Depuis la réforme du Code pénal de 1994, réformes successives. Le droit pénal est au cœur de débats vifs, car l’objet du droit pénal est la lutte contre la délinquance. Questions sociologiques : comment vivre ensemble en bonne intelligence. Questions philosophiques : questions de responsabilité. Droit pénal va être abordé d’abord comme une matière juridique. Le droit pénal travaille également l’humain. Définition

cet axiome au cœur de la “police de proximité’’, le rapprochement de la police du public qu’elle est sensée servir et protéger est posé, à juste titre, comme impératif pour toute politique publique prétendant s’attaquer au développement de la délinquance. C’est sans doute le préfet de police LEPINE, en France, le premier a développé l’idée qu’une police aimée par son public serait plus efficace, c’est pourquoi souhaitait-il que la police soit dans le peuple comme un poisson dans l’eau. Au Burkina