La Démocratie Représentative Une Contradiction

ferme et continu du Parti communiste chinois sur le pouvoir politique est particulièrement déroutant : la Chine était pourtant supposée se libéraliser après son abandon du communisme maoïste. Certains analystes ont tenté d’expliquer l’absence de démocratie en Chine en décrivant le système politico-économique chinois comme une nouvelle forme de capitalisme «d’État» ou «autoritaire». Ce raisonnement soutient que le Parti a trouvé le moyen d’obtenir le beurre et l’argent du beurre : il peut être riche

fonction de la même manière. Le corps électoral est rassemblé ce jour-là pour prendre une décision. Représentation en vertu d’une adhésion. Il y a une représentation d’unité de groupe grâce à l’institution de règles communes, qui peuvent être la démocratie. Une institution c’est un groupe humain qui a conscience de l’unité, qui ont des règles qui choisissent ceux qui les dirige et qui sont leur représentants. Là où il y a un pouvoir institutionnel, il y a des rapports sociaux. Rapport sociaux : ils

SOUVERAINETÉ ÉTATIQUE ET PRINCIPE DE LÉGITIMITÉ DÉMOCRATIQUE Par Dodzi Kokoroko∗ Selon les grandes théories du droit international classique, l’instauration et la consolidation de la démocratie relèvent essentiellement de la compétence discrétionnaire de chaque État. Si on assiste à leur assouplissement au nom du patrimoine constitutionnel commun des sociétés politiques depuis 1990, cette étude, qui met en jeu « Souveraineté étatique et principe de légitimité démocratique » constate cependant

libéralisme et la démocratie était jugée incompatible (ex : suffrage censitaire, maintien de l’esclavage). Pourquoi ce refus de la démocratie ? Elle était jugée impossible (dans son sens de démocratie pure/directe). La démocratie représentative n’était pas envisagée. De plus, le pouvoir du peuple était jugé dangereux pour les libertés. Crainte de la tyrannie de la majorité. Développement du régime représentatif. Les représentants sont « les plus capables ». Avènement de la « démocratie constitutionnelle » ;

traités. Quant à la démocratie, elle suppose un peuple. En théorie, ce peuple est souverain. La Constitution est le PACTE FONDAMENTAL qui unit les représentants du peuple et le peuple. La Constitution dit ce que veut le peuple, c'est l'expression du souverain. Cette Constitution peut exprimer différents styles de démocratie. La démocratie peut être directe (on peut faire intervenir directement le peuple pour décider → peuple législateur). Elle peut être aussi représentative (le peuple peut désigner

gouvernance inventé par le professeur de science politique le docteur Robert Dahl. Ce dernier est connu pour son étude sur l’exercice du pouvoir dans la ville de New Haven (Connecticut-Etats-Unis), qu’il publie en 1961 dans son ouvrage : Qui gouverne ? Démocratie et pouvoir dans une ville américaine et pour l’invention à ce propos du concept de polyarchie. Cette notion est née d’une controverse avec C. Wright Mills puisque dans les années 60, le débat en science politique se focalise sur les travaux de

procédures en vigueur. Dans ce type de domination, les gouvernants obéissants au droit, ils sont élus selon certaines procédures légales. Le respect de ces normes va générer le fait qu’il soit légitime. Cette forme de légitimité prévaut dans les démocratie moderne, on va parlait d’Etat légal rationnel. Les gouvernants vont agir en fonction d’une certaine rationalité juridique, c’est-à-dire selon certaines règles qui sont préalablement établies. Chacune de ces formes de légitimité ne sont pas acquises

SOUVERAINETÉ ÉTATIQUE ET PRINCIPE DE LÉGITIMITÉ DÉMOCRATIQUE Par Dodzi Kokoroko∗ Selon les grandes théories du droit international classique, l’instauration et la consolidation de la démocratie relèvent essentiellement de la compétence discrétionnaire de chaque État. Si on assiste à leur assouplissement au nom du patrimoine constitutionnel commun des sociétés politiques depuis 1990, cette étude, qui met en jeu « Souveraineté étatique et principe de légitimité démocratique » constate cependant leur

MANUEL DE LA DEMOCRATIE SOCIALE 1 Tobias Gombert et al. Fondements de la Démocratie sociale ISBN 978-3-86872-210-9 Edité par la Fondation Friedrich Ebert Édition allemande: Académie Politique, Bonn (2ème édition / Août 2008) Édition française: Département de la Coopération Internationale, Berlin / (2ème édition / Octobre 2009) Rédaction: Julia Bläsius, Tobias Gombert, Christian Krell, Martin Timpe // Responsable: Dr. Christian Krell / Chef de Projet: Julia Bläsius (Jochen Dahm) // L’édition

nouvelles dispositions de l’âme de ceux qui comme lui, ou au contraire de lui ont connu à la fois l’ancien régime, la révolution et la période qui suit. Apres tout, chaque période de l’histoire a eu ses modernes et a pu passer en tant qu’époque pour représentative d’une modernité. Dire cela, c’est évidemment livrer à la réflexion de chacun que tout homme a pu être confronté à la nouveauté, voir l’esprit progressiste qui n’a pas manqué de faire flore des lors qu’il s’est agi, au cours de l’histoire de remettre