La Démonstration

vers la dernière mise à jour de ce document Lien vers les exercices de ce chapitre Chapitre 1 Logique et ensembles Sommaire 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 Rudiments de logique . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Propositions, démonstrations, etc. . . . . . . . . . 1.1.2 Ensembles, éléments . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Propriétés portant sur les éléments d’un ensemble 1.1.4 Opérations sur les propositions . . . . . . . . . . . 1.1.5 Quantificateurs . . . . . . . . .

THALES on a : donc d'où et 4. D'après la question précédente le rapport de réduction est par exemple 1) 4 points; 2) 1,5 points; 3) 4 points; 4) 1,5 points TOTAL 11 points Propreté, présentation : 2 points Rédaction, démonstration : 2 points

la bijection (voir q5 maths), et sur le fait qu'il existe plusieurs types d'infinis. Il a utilisé le principe d'autoréférence (dont Russel s’est servi pour établir son paradoxe) pour prouver la non-dénombrabilité des nombres réels. Cette courte démonstration de non-dénombrabilité utilise ce qui est maintenant connu comme "l'argument diagonal de Cantor", et qui est depuis très utilisé en logique mathématique. Sa découverte d’infinis de différentes tailles (ex: l’ensemble des réels est plus grand que

dessin est également essentiel à la préparation de la plupart des actions : plan d’architecture, schéma de déplacement des armées, dessin de prototypes industriels, modèles de vêtements… Il est le moyen le plus simple en l’absence de démonstration directe pour s’approprier une technique : schéma d’utilisation d’appareil, de montage… Il permet de se situer dans le monde et de s’y déplacer. Beaucoup de chemin a été parcouru depuis les portulans (cartes marines de la fin du Moyen

l’exactitude de ce qu’il apprend à son élève, il en exagère l’importance. Il transmet sa connaissance sous une forme pompeuse : les principes n’ont pas de sens “toute langue n’est en somme qu’un langage” et malgré les liens logiques qui font penser à une démonstration mathématique comme “ce qui implique nécessairement”, “par conséquent” la théorie ne semble pas très cohérente. Il utilise un proverbe pour fonder sa théorie l’idée sont que les paroles tombent dans l’oreille d’un sourd, or un proverbe de peut ne

« temoignage » Client satisfait d’un produit en parle à deux personnes un client mécontent en parle à 20 personnes * L’expertise Données chiffrées, schéma, maîtrise des produits et techniques influence plus favorablement l’interlocuteur * La démonstration Showroom, échantillons * Les bénéfices client ARGUMENTS/CARACTERISTIQUES/BENEFICES * Argument : avantage de manière générale (doit susciter la curiosité et l’intérêt) * Caractéristiques : preuve technique * Bénéfices : exemple

5 = 3 = 300 % (hausse). 2,5 Le pourcentage d’évolution de 10 à 2,5 est 2,5 − 10 = - 0,75 = - 75 % (baisse). 10 6) Coefficient multiplicateur Si t = V f − Vi alors Vf = (1 + t) Vi . Vi (1 + t) est le coefficient multiplicatif de Vi à Vf . Démonstration : t = V f − Vi Vi donc t Vi = Vf -Vi et Vi + t Vi = Vf d’où : ( 1 + t) Vi =Vf . 2 1ère ST2S POURCENTAGES 2/6 Propriétés : Vi et Vf sont positifs donc (1 + t ) l’est aussi. Le coefficient multiplicatif est positif. En cas de hausse, t >

idée est vraie, ce n’est plus un sujet de croyance, c’est un savoir. Par exemple, on ne dit pas « je crois que la Terre est ronde », on l’affirme. Le savoir s’oppose donc aussi à la croyance car c’est une connaissance rationnelle obtenue soit par démonstration soit par observation et vérification. Tandis que la croyance est assimilée à l’opinion qui peut être le résultat d’un raisonnement erroné (notamment par intérêt) ou d’une erreur de perception. En effet on peut adhérer à une théorie sans véritable

séance 1   Exercice  de  raisonnement  juridique,  ce  n’est  en  aucun  cas  une  récitation  de  cours,  une   énumération  de  connaissances.       Il   s’agit   d’une   démonstration   objective   et   scientifique.   Elle   peut   porter   sur   un   sujet   large   (ex  la  notion  de  Constitution)  ou  un  sujet  plus  pointu,  plus  précis.  Si  le

Tout d’abord le professeur convaincu par l’exactitude de ce qu’il apprend à son élève, il en exagère l’importance jusqu’à en faire quelque chose de vital : « jusqu’à l’heure de votre mort »De plus, les liens logiques qu’il utilise se réfère à une démonstration mathématique comme « ce qui implique nécessairement », « par conséquent », alors que sa théorie ne semble pas très cohérente. Il utilise des formules imagées, comme un proverbe, pour argumenter sa théorie l’idée que les paroles tombent dans l’oreille