La Dénonciation Par Le Rire Est Elle Efficace

grammaticale des mots ) tels que « violente secousse », « précipité dans la mer » qui confèrent à l’ensemble un caractère confus, anarchique, propre de la folie. Cette agitation et cette confusion empêchent, en fait, toute intervention efficiente ( = efficace) : la formulation lapidaire (très brève) de la 3ème phrase, faite de trois (les chiffres doivent figurer en toutes lettres) propositions extrêmement brèves et rapides, sans transitions, souligne l’incohérence des mouvements et, partant, leur inefficacité

n'est pas rédhibitoire dans la comédie: Molière conçoit une poétique originale, dans laquelle le système des faits n'a rien de commun avec celui de la tragédie, dominée par le principe de nécessité. Cette poétique a pour unique visée de susciter le rire par la peinture d'un ridicule, et les théoriciens font un contre-sens quand ils jugent d'une comédie selon la doxa aristotélicienne. Cette facture singulière ne nuit en rien à l'efficacité de la pièce et n'empêche pas Harpagon d'être un héros bien

des conséquences : et tout fut perdu, la concorde ne fut rétablie que, on se moqua d’eux. III. Condamnation de la sottise.

1. Prétention de la sottise, infaillibilité. * absurde, ridicule. (on se moqua d’eux) * obscurantisme 2. Dénonciation du fanatisme : intriguer, former des enthousiastes, fureur, juger. Champ lexical de la religion Le fanatisme : je prétends savoir, j’ai des fidèles, j’accède au pouvoir (savoir = pouvoir), je m’en mets plein les poches (l 14) Conséquences : malheurs

héros soufre Epique : il sert souvent à l’éloge d’un héros et présente donc souvent les personnages a degré élevé grâce aux procédés d’amplifications (hyperboles, anaphores, pluriel, insistance sur le nombre, adverbes d’intensité) Comique : il fait rire le lecteur soit par la surprise l’inattendu qui crée un décalage avec ce que l’on attendait, par l’imagination du lecteur, l’accumulation, la répétition, le quiproquo, le comique de geste ou/et de caractère (personnage) Ironique : il dit le contraire

aussi bien tragique qu’amusante. C’est ce sens que l’on retrouve dans le mot «comédien». Avant Molière, elle est dévalorisée en comparaison de la tragédie et est considéré comme un genre mineur. La comédie dans le théâtre a pour but de provoquer le rire par divers moyens comiques, comme le traitement de l'intrigue, la peinture satirique des mœurs, la représentation de travers et de ridicules. L’âge d’or de la comédie en France est au XVIIe siècle avec Molière, considéré comme le maître incontesté

aux toilettes, « ils considéraient l’état du ciel » (l.35, p.191) et y retourne avant d’aller se coucher (l.249-250, p.203). * Il fait aussi de la biologie puisqu’il se renseigne sur ses aliments : « ils parlaient des vertus, des propriétés efficaces et de la nature de tout ce qu’on leur servait à table » (l.67-69, p.193). * Ensuite, il pratique la gymnastique et le sport : « ils jouaient à la balle ou à la paume, s’exerçant le corps » (l.50-51, p.191). * Pour finir, on lui enseigne les

décision) Les monologues : lorsqu’un personnage parle tout seul et qu’il nous permet d’accéder à ses pensées, ses sentiments. Aparté (masc.) : Paroles prononcées à l’insu d’un personnage dont souvent le public est le dentinaire. Son but est de faire rire/sourire, et nous dresser contre la personne contre qui on parle. 2ème Type "texte non dit" : texte destiné à être seulement lu et utilisé pour être mis en scène vocabulaire Les didascalies : indications de mis en scène notées par l’auteur dans

poésie sans harmonie ; mais il n’y en a point non plus sans fiction ; et Socrate ne savoit dire que la vérité. » (l. 96-101) « C’est ce qu’on demande aujourd’hui : on veut de la nouveauté et de la gaieté. Je n’appelle pas gaieté ce qui excite le rire ; mais un certain charme, un air agréable qu’on peut donner à toutes sortes de sujets, même les plus sérieux. » (l. 117-119) « la Vérité a parlé aux hommes par paraboles : et la parabole est- elle autre chose que l’apologue, c’est-à-dire un exemple

arabe parce que personne ne m’insultait. On me l’a seulement appris à l’école » (p. 11, l. 67-68). Analysez la manière dont Romain Gary aborde, à travers ce roman, la question du racisme, et montrez comment l’humour peut être mis au service de la dénonciation. Momo a appris très tôt à ses dépens la réalité du racisme, mais il la combat par 2 La Vie de v a n t so i un humour sans mièvrerie. Préjugés et clichés sont tournés en dérision. Quant aux insultes, utilisées à contresens, elles perdent

doit se tourner même pas vers le curé mais vers un subordonné : le Vicaire. - le titre de « Monseigneur » était réservé aux nobles d'un rang élevé  ce n'est pas le cas du baron mais les domestiques lui font plaisir en l’appelant ainsi est le verbe « rire » l.19 prouve leur flagorneries. - la baronne n'a pas la noblesse d'une reine et elle est remarquable à part son poids : 350 livres. - la princesse des contes de fée est un général fragile. Ici la fille du baron porte nom qui rappelle une jeune fille