La Finalité Du Théâtre

en débat dans des correspondances, préfacés, réédités, repris, copiés, etc...) cf exposé réalisé en classe (castigat ridendo mores) EXEMPLE DE COPIE rédigée par un élève de 1° S1 Molière écrivit L'école Des Femmes en 1662. Elle fut jouée au Théâtre du Palais Royal le 26 décembre 1662. Molière, pour la première fois a délibérément choisi d'ancrer la comédie dans la réalité de son époque. Cette pièce fut un scandale et les critiques s'en donnèrent à cœur joie. Molière répond à ses adversaires

CORRIGÉ DU BAC BLANC DU 14-XII-2012 OBJET D'ÉTUDE: THÉÂTRE ET REPRÉSENTATION Thème Théâtre Et Spectateur TEXTES ÉTUDIÉS: A : Molière, La Critique de l'école des femmes, sc 5, 1663 B : E. Rostand, Cyrano, I, 3 . 1897 C : P.Claudel : Le Soulier de satin, sc 1 1929 D : J. Anouilh : Antigone, Prologue, 1942 I. Question préalable ou de corpus : Quelles attitudes de spectateur ces textes proposent-ils? • N'oubliez pas que vous devez lire les textes en ayant en tête la question, pour gagner

considéré est l’avenir et la fin (c’est-à-dire la finalité) est en gros l’utile et le nuisible. (…) On conseille sur ce qui s’inscrit dans le cadre possibilité-impossibilité, ce qui exclut les choses inévitables comme les choses absolument impossibles (…). Nous délibérons donc uniquement sur ce qui dépend de nous et qui est faisable ». 1. Un monologue aux apparences délibératives : Le monologue délibératif est un moment attendu du théâtre tragique au XVIIème siècle. Corneille s’en est fait

qui nous rendent esclave afin de s'émanciper, c'est en effet choisir ceux qui sont facilement atteignables, et abroger ceux qui nous laissent dans l'insatifaction perpetuelle.Pour Epicure, philosophe épicurien et donc hédoniste, le plaisir est la finalité. Cepedant, il ne s'agit pas d'une ruée vers tous types de plaisirs. Au contraire, il s'agit de selectionner les désirs qui nous apportent une satisfaction réelle, un etat de bonheur. Cet état de bonheur, de tranquilité de l'ame est qualifié d'ataraxie

penchants et d'exposer ses qualités. Par exemple Vincent Van Gogh dans sa folie profonde ménagera sa vie par la création de peinture. Ce qui nous montre que l'art peut aussi calmer les esprits : c'est la sublimation des pulsions. ( Référence au théâtre dramatique, plus précisément à la catharsis. Œdipe Roi de Sophocle. 2) Le propre de l’art, d’après l’œuvre d’Hegel, Esthétique, serait de permettre à l’Homme d’objectiver ce qu’il est, de le rendre conscient par la sensibilité. D’après

distinguer la cité humaine de la société animale ? Après avoir posé pour fondement de cette thèse le principe de la finalité naturelle, il restera à Aristote à montrer d’une part en quoi la parole est spécifiquement humaine, d’autre part en quoi elle a pour conséquence la vie en cité. L’homme est un animal politique CAR il parle, thèse fondée sur le principe de la finalité naturelle (lignes 1-4). Reformulation des lignes 1 à 4 sous forme de syllogisme : Proposition générale : La nature

"inutile" indique que quelqu'un peut tirer de son opposé « utile », en parlant de l'Art, un bénéfice ou un avantage quelconque de quelque chose. Quant au mot « Art », désigne-t-il simplement les arts plastiques ou comprend-il aussi la musique, le théâtre, la poésie ou encore la danse ? Le mot art transcende toutes ces disciplines. Il désigne une activité humaine plus générale. Le mot servir sous-entendrait un art utile, une sorte d'outil, un moyen pour atteindre quelque chose alors qu'à première vue

l'information que la seconde moitié de notre siècle va voir naitre un phénomène intrinsèquement lié au sport : une forme de passions collectives à dimension universelle, la passion sportive. Le sport est alors élevé au rang de spectacle et son théâtre, le stade, devient le lieu où tout se joue. Pour Perelman (1997), le stade « possède cette « vocation » architecturale d'agir techniquement sur les individus, en fin de compte de les instrumentaliser. [...] il établit d'emblée une emprise irrésistible

tous ces trucs sont possible. Le point de vue est quant à lui bien pris en compte. Celui du spectateur est centralisé par les tables avec Méliès. Tout est limpide pour le spectateur. Le décor est réel et met le spectateur dans un effet de théâtre émerveiller. Les émotions du spectateur sont manipulées avec justesse avec le jeu de corps de Méliès qui rends toutes cette situation burlesque tel un clown de spectacle. La fin brutale et non prévisible met un point final à cette manipulation, le

déscolarisée, au motif d'incompatibilité avec la norme scolaire. Ainsi, d'autres lignes de fractures se décèlent qui, au-delà des doctrines des spécialistes ou des groupes de pression, touchent dans le prolongement des méthodes prônées aux contextes et aux finalités de l'éducation aux arts et à la culture. On songera aux approches de sensibilisation, essentiellement fondées sur des pratiques artistiques ou culturelles amateurs, hors de la classe usuelle, potentiellement soutenues par la fréquentation des lieux