La Firme Bancaire

c'est-à-dire sans utiliser toutes les anciennes méthodes de production basées sur le principe des économies d'échelle. En 1949, Toyota s'est trouvé confronté à de très graves difficultés financières. La société a dû en passer par les volontés d'un groupe bancaire, qui lui a imposé, entre autres, de réduire fortement ses effectifs et d'ajuster les quantités de voitures produites à celles effectivement vendues. Ainsi, Toyota devait réaliser un principe d'adaptation de sa production à ses ventes, tout en réduisant

dépenses liées à la rivalité ; les économies d'échelle ; l'accès à la connaissance ; la réduction du risque par mutualisation. Elles peuvent se dérouler entre firmes non concurrentes. Les joint ventures dans lesquelles s'établit un partenariat entre une firme locale et une multinationale, les partenariats verticaux dans lesquelles des entreprises à deux ou plusieurs stades de leur filière s'allient (tel Airbus), les accords intersectoriaux illustrent ce type d'alliances. Elles peuvent concerner des entreprises

qu’ils sont prêts à assumer. On distingue 3 types d’entrées de capitaux : - les investissements directs étrangers - les investissements indirects : les placements de portefeuilles - les autres flux financiers : prêts bancaires, financements officiels. Ces différents types de flux internationaux peuvent être résumés par le tableau[2] « Typologie des flux internationaux des capitaux » ci-dessous, qui récapitule les différents types d’entrées de capitaux avec

compte d'éléments distincts. D'une voie à l'autre, les modes de gestion et d'organisation de la gestion du risque sont également différents. Pour appuyer notre réflexion, nous proposons de regarder le cas particulier de la décision d'octroi de crédit bancaire, cela en nous situant dans le cadre de la relation banque-entreprise1 et en nous intéressant au rôle joué par le gestionnaire direct de cette relation, communément nommé « chargé d'affaires ». 1 Par commodité, nous nommons entreprise, l'entreprise

l'entreprise[9]. Par exemple, si le coût de la dette avant impôt, i, est de 10%, la rentabilité économique avant impôt, Re, de 20%, et le taux d'imposition du bénéfice de 40 %, la rentabilité des fonds propres après impôt sera de 12 % pour une firme sans dette (L = 0), de 18 % pour une entreprise financée par un montant égal de fonds propres et de dettes financières (L = 1), et de 24 % pour un levier financier égal à 2. Comme on peut s'en rendre compte la différence est importante. Faut-il

gouvernance partenariale…………………………………3 1. définition…………………………………………………..3 2. les problèmes de la gouvernance………………………….3 III. La valeur partenariale………………………………………..4 1. Vision pluraliste de la firme et valeur partenariale………..4 1. la mesure de la valeur partenariale………………………………………………………..5 2. valeur partenariale et jeu organisationnel…………………………………………………7 2. Création de valeur et gouvernance des transactions commerciales……………………………………………

qu'au-delà du métier de base qui représente le coeur des compétences de l'entreprise, il est nécessaire, dans un champ de plus en plus concurrentiel, de se différencier par une « servicification » des produits et donc une extension des compétences. La firme doit apprendre à dépasser le seul cadre de son savoir-faire pour augmenter ainsi la probabilité de fidéliser le client. Créer de la valeur grâce aux services supplémentaires devient alors l'enjeu stratégique essentiel qu'il importe d'intégrer

financier 2008 B. Les origines de la crise 1) Raisons conjoncturels 2) Raisons structurels C. Crise du secteur financier 1) Crise de liquidité bancaire 2) Crise de solvabilité bancaire D. Situation en 2010 1) Les risques de nouvelles bulles 2) Bonus et rente bancaire 3) La reforme du système financier aux Etats-Unis 4) Crise du Foreclosure • Chapitre 3 : Difficultés rencontrées à partir du début 2007 • Chapitre

le progrès technique signifie gain de productivité donc à même dépense de capital et de travail, on produit plus. Donc on peut baisser les coûts. La firme qui met en application le progrès technique, va produire moins cher donc soit les autres firmes suivent donc il y a une baisse générale des prix ou alors elles refusent le risque et la petite firme prendra alors de la puissance sur les autres. Il est alors clair que le progrès technique augmente le niveau de concurrence quelle qu’en soit les conséquences

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . programmes de stress-testing Directions m´thodologiques choisies par les institutions bancaires . . . . e L’approche historique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Une approche subjective : le macro stress-testing . . . . . . . . . . . . . La m´thode WCS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . e La