La Folle Histoire de l'espace

(mais une plaisanterie n’est jamais une simple plaisanterie), à la personne qu’on s’apprête à photographier. Cet enjeu apparaît très clairement dans trois nouvelles portant sur la peinture : ● Le Portrait ovale, d’Edgar Poe (1842), Nouvelles histoires extraordinaires (poche, folio…), traduction de Baudelaire. ● Le Chef-d’œuvre inconnu, de Balzac (1845) (nous nous référerons à l’édition G.F.), ● Comment Wang-Fô fut sauvé, de Marguerite Yourcenar (1963), Nouvelles orientales, L’imaginaire

MODERNES SUJET: L’œuvre de Corinna Bille La rêverie des éléments: Du corps saisi, projeté au corps-dévorateur TABLE DES MATIERES INTRODUCTION I LE SAISISSEMENT DU CORPSI L'urgence d'écrire et de rêver sa vie II L'espace intime du dehors III Emerentia 1713 : l'enfance, rêveuse de nature IV L'indéracinable Amour V Au-delà de l'eau VI La rêverie inorganique VII L'arbre-méthapore VIII La forêt comme

quotidien. Ils vont se trouver un nouveau langage. Il y a ceux qui ne parlent plus mais chantent comme la femme dans un filet, toujours le même refrain « Nous étions Deux petits flocons d’homme Un enfant et sa mère, Nous avons plané dans l’espace monde Six années  Entières » Il y a ceux qui restent muets : l’homme qui marche avant de marcher et sa femme. Après l’annonce de la mort de leur fils pendant la guerre (on ne sait pas laquelle), comme celui de l’auteur, ils n’ont trouvé

la musique (…). » (p. 689) Les joueurs sont décrits avec leur avidité du gain et leur soif de gagner : « Un pli profond se creusait de sa bouche à son menton tendu en avant, l’air agressif. Dans ses yeux, je reconnus avec inquiétude cette flamme de folle passion (…). À cet instant je fus certain que cet amour-propre forcené allait lui coûter toute sa fortune (…). » (p. 695) Apparaît alors le personnage principal, « un homme d’environ quarante-cinq ans » (p. 696) qui se permet de donner des conseils

LICENCE DE LETTRES FRANCAISES MODERNES SUJET: L’œuvre de Corinna Bille La rêverie des éléments: Du corps saisi, projeté au corps-dévorateur TABLE DES MATIERES INTRODUCTION I LE SAISISSEMENT DU CORPS I L'urgence d'écrire et de rêver sa vie II L'espace intime du dehors III Emerentia 1713: l'enfance, rêveuse de nature IV L'indéracinable Amour V Au-delà de l'eau VI La rêverie inorganique VII L'arbre-méthapore VIII La forêt comme métaphore et lieu de l'amour IX La forêt féminisée X "La chemise

des services - Le personnel d’intervention - Le pôle d’intervention - Rçole et fonction de l’A.M.P II) PRESENTATION D’UNE BENEFICIAIRE - Histoire de Vie - Pathologie - Besoins III) ANALYSE - Comment j’ai vécu cette expérience - Quelles ont été mes difficultés

Dossier de lecture sur le roman «La vie devant soi» d’Émile Ajar (Romain Gary) Titre et auteur du roman : La vie devant soi d’Émile Ajar (Romain Gary) Année et maison d’édition : 1975 – Mercure de France Synopsis : Histoire d'amour d'un petit garçon arabe pour une très vieille femme juive : Momo se débat contre les six étages que Madame Rosa ne peut plus monter et contre la vie parce que « ça ne pardonne pas » et parce qu'il n'est « pas nécessaire d'avoir des raisons pour avoir peur ». Le petit

jour Adam rencontra une gonzesse nue, Eve, et désira sa feuille d’olivier. Ainsi Adam se rendit derrière un pommier avec Eve pour la connaître, évinçant ainsi totalement son Pote Phil qui avait des tickets pour aller voir les Knicks. La longue histoire s’abrégea, l’humanité devint consciente, le paradis fut perdu et, bon, on sait tous ce qui est arrivé aux Knicks. 23 24 ARTICLE 2 ARTICLE 3 Un Pote peut toujours faire quelque chose de stupide, mais à la seule condition que tous

carcasse ivre d'eau ; Libre, fumant, monté de brumes violettes, Moi qui trouais le ciel rougeoyant comme un mur Qui porte, confiture exquise aux bons poètes, Des lichens de soleil et des morves d'azur ; Qui courais, taché de lunules électriques, Planche folle, escorté des hippocampes noirs, Quand les juillets faisaient crouler à coups de triques Les cieux ultramarins aux ardents entonnoirs ; Moi qui tremblais, sentant geindre à cinquante lieues Le rut des Béhémots et les Maelstroms épais, Le bateau ivre

culture (L’errance urbaine, chapitre 1 : Aranguiz et Fecteau, 2000) Pourtant, définir l’itinérance constitue tout un défi puisqu’elle est toujours à la croisée d’une histoire de vie singulière et d’un contexte socio-économico-politique particulier, où la pauvreté rime avec la marginalité; la solitude avec la visibilité dans l’espace public; l’errance avec la vulnérabilité. Donc, il nous faut plus qu’une définition claire et précise qui figerait le regard sur une situation particulière. Dans ce