La Folle Histoire de l'espace

cheveux ! Mon âme voyage sur le parfum comme l'âme des autres hommes sur la musique.       Tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voilures et de mâtures; ils contiennent de grandes mers dont les moussons me portent vers de charmants climats, où l'espace est plus bleu et plus profond, où l'atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine.       Dans l'océan de ta chevelure, j'entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d'hommes vigoureux de toutes nations

ramassée, réduite à ses noyaux, reste indéterminée : que représente le "il" ? D'où part-il ? Pour quelle destination ? Pourquoi revient-il ? Et pourquoi repart-il "définitivement" ? L'identité du personnage, le motif des actions, le temps et l'espace sont congédiés. N'y aurait-il pas là les indices essentiels propres au "protocole de lecture" ? Cette "phrase" qui s'est formée "toute seule" constitue, il est vrai, le discours du récit dont la fonction est de servir d'encodage, en ce sens qu'elle

utilise le verbe « attendre » ainsi que le pronom indéfini « personne ». Le capitaine redoute surtout la mort par la pourriture lente de la « gangrène ». * La panique le secoue jusqu’à la folie : pensée « délirante » qui « s’engoue », « colère folle, impuissante », le personnage se débat tragiquement contre l’inéluctable. Cette lutte se résout misérablement dans les vomissures. Gracq présente un personnage qui se défait en côtoyant sa propre mort. C – La transformation de la réalité, un

narration Qui raconte ? Philippe Grimbert, l’auteur du livre. Le narrateur est interne, il fait donc parti de l’histoire. Le récit est écrit à la première personne. Il y a des va et vient fréquents entre un narrateur enfant et un narrateur adulte. 3. L’espace L’histoire se situe à Paris en France. La famille habite dans un appartement 4 pièces rue du Bourg-l’ Abbé, le plus ancien quartier de Paris réservé à la bonneterie. Au rez-de-chaussée se trouve le magasin de sport des parents, ainsi que le cabinet

Laetitia 1er Master arts du spectacle Analyse dramaturgique de l’espace de la maison dans « Une maison de poupée » d’Henrik Ibsen. Madame Naugrette Année 2008-2009 1. Introduction : Pour faire cette analyse dramaturgique de l’espace de la maison dans « Une maison de poupée » d’Ibsen, j’ai tenté de me plonger complètement dans la pièce et d’imaginer moi-même les liens, les images, les symboles liés à l’espace. Bien entendu, je commencerai par une contextualisation de la

pourtant elle a eu 2 amants/maris, 4 enfants... Ce n'est réellement pas elle la mère, elle se comporte comme si elle était la fille de ses propres enfants. On ne sait pas vraiment dans quel monde Mémé vit et entraîne ses enfants : un peu déjantée voire folle sur les bords, avec des changements rapides d'humeur. Elle est restée dans l'insouciance de l'enfance et même dans l'indifférence face à son rôle non assumé de mère. Pieds nus ou avec des chaussures à l'hôpital elle porte une robe rose à motifs floraux

l'action. Évocation de l'être aimé. Parties du corps. Sentiment de bonheur, d'extase. Excès. Niaiserie. Amour partagé. Comparaison avec le théâtre. Prévision. Paradoxe. II – schéma de l'amour naissant. Trans amoureuse du premier instant. « folle ». dégradant pour le personnage. Image de la passion. Artifice du discours amoureux. Présence fictive. S'imagine à côté de lui. / lecture forcée. / hebdo : nécessité d'interpréter ls choses. Se rassurer. Rapport ambiguë avec Solal. Passion est

Moi, j'ai envie de croire aux contes de fées. Au moins, tout finit bien dans ces histoires-là. Lorsque l'on demande à un couple comment ils ont fait pour rester 65 années ensemble ils nous répondent : "Nous sommes nés à une époque où, lorsque quelques chose se casse, on le répare on ne le jette pas." Il y a des sentiments qu'on ne peut exprimer avec des mots. Amour : 5 lettres , 3 voyelles , 2 consonnes, 2 idiots. Arrêtez de dire "s'il t'aime il reviendra ", parce que s'il t'aime il s'en va

populaires Le frisson que donnent au lecteur moderne les récits fantastiques, la littérature d’imagination scientifique, les tableaux surréalistes, le peuple le connaissait déjà grâce aux légendes qui se transmettaient de génération en génération. Les histoires de revenants, de loups-garous, de vampires et de jeteurs de sorts, ont fait naguère l’angoisse et les délices des paysans réunis l’hiver autour du feu. Ce sont bien les mêmes thèmes qui apparaissent dans les récits traditionnels et les contes modernes

et en vérité s'y capitalisent à perte de vue. Ceux qui sont sensibles à tous les enjeux de la « créolisation », par exemple, le mesurent mieux que d'autres. -J'accepte donc la convention proposée, et une fois encore, puisque tu veux raconter ton histoire, témoigner en ton nom, parler de ce qui est « tien » et de ce qui ne l'est pas, il me reste à te croire sur parole. — N'est-ce pas ce qu'on fait toujours quand quelqu'un parle, et donc quand il atteste ? Et moi aussi, oui, à cette antinomie je crois