La Fontaine Thèse

détour ; Chapitre 1. Mythes, fables et contes. Depuis l’épopée de Gilgamesh, première épopée écrite dans l’histoire de l’humanité (XVIIIe siècle av JC), la littérature est faite de nombreux récits de voyages. A commencer par Ulysse, Hercule et Thésée, la culture occidentale s’inaugure avec des récits de voyages et d’aventures fantastiques. Longs détours qui ne se contentent pas seulement de raconter des histoires mais qui visent souvent un but éducatif. De ce fait, le récit d’un détour est lui-même

- Corpus de textes : fables de La Fontaine "Le Loup et l'Agneau" fut publié en 1668. Dans cette fable, le loup désigne la royauté. Il s'adresse à l'agneau à la 2ème personne du singulier "Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?" ( vers 7 ). Cela montre que le loup manque de respect envers l'agneau. L'agneau apparaît comme un sujet du roi. Il s'adresse au loup à la 3ème personne du singulier, ce qui marque le respect : "Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté ne se mette pas en colère

critiquer la société et de faire changer les choses / les limites de la littérature engagée / la littérature, lieu de la réflexion plus que lieu des réponses toutes faites. 1. La littérature, arme efficace pour critiquer la société et la faire changer Thèse de cette partie : la littérature peut être une arme efficace pour critiquer la société et la faire changer. a. Argument pratique, matériel : la littérature, moyen de contourner la censure : la littérature permet, à certaines époques

PLANTADE11/01/2013 Clément 604 Commentaire « Le chêne et le roseau » Cette fable écrite par Jean de la Fontaine est extraite du premier livre des « Fables » qui fut un artiste classique et vécu sous le règne du roi soleil qui était omnipotent et par la même occasion injuste. C'est à travers ses fables que l'auteur moralise bon nombres de nobles de la cour. Dans celle-ci il traite de « La loi du plus fort » en faisant parler un roseau et un chêne. Cette fable en apparence inoffensive n'est-elle

voisine Et dont les pieds touchaient à l’Empire des Morts. | Annonce des axes de lecture La Fontaine nous entretient ici d’une fable à morale implicite. Le Chêne et le Roseau font office de 2 personnages opposés, le fort face au faible. Mais ici, La Fontaine renverse les rôles et bafoue son dogme au profit d’une fin peu commune à ses vers. Le problème est alors de savoir comment Jean de La Fontaine réussit-il à controverser sa morale habituelle, au profit d’une morale toute opposée. Pour cela

tient bon ; le Roseau plie.             Le vent redouble ses efforts,             Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine, Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts. Introduction Jean de La Fontaine, au XVIIème, utilise ses fables moralisées pour dénoncer abus et états de la société. Son appartenance au milieu de la nature lui fournit de nombreuses idées, et lui permet, avec une facilité étonnante de personnifier animaux et végétaux en vue de

satirique, et notamment grâce aux procédés d'ironie . C’est ainsi que Jean de la Fontaine demeurait capable de faire entendre ses idées durant un contexte difficile à l'aide de ses fables. Dans « la Cour du Lion », récit dynamique par la versification, il dissimule une critique sur l'hypocrisie au sein de la Cour et sur la tyrannie du roi en passant par des animaux à connotation symbolique. La visée morale des fables de la Fontaine, parfois plus complexes qu'il n'y paraît à la première lecture, ont évité

personnages de la fiction, le lecteur est plus à même de comprendre un message que par une thèse aride et abstraite. Le personnage de l'apologue est en quelque sorte une « vérité incarnée ». Ainsi, « La Légende de l'homme à la cervelle d'or » représente métaphoriquement la condition des artistes, contraints de payer « avec leur moelle et leur substance les moindres choses de la vie ». Afin que le lecteur adhère à cette thèse quelque peu abstraite, tout est mis en œuvre pour que nous compatissions au destin

mythes de génération en génération. Cette tradition a ensuite été reprise par les auteurs afin de transmettre leurs idées. Pour Jean de La Fontaine, « L’apologue est formé de deux parties dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme ; le corps est la fable, l’âme est la moralité. » Quels sont les avantages et les incovénients de choisir d’illustrer une thèse pour persuader le lecteur ? Nous verrons, dans un premier temps, que l’utilisation de récits imagés a des effets positifs sur le lecteurs

recueil des Fables, La fontaine propose une double fable qui vise à illustrer un propos liminaire qu’on retrouve dans sa préface  : l’alliance de la brièveté et de la poésie. En proposant deux récritures de la fable ésopique «  le bouvier et le lion  », le fabuliste propose une réflexion, sur le plan formel comme sur le plan du contenu, sur la vanité des paroles et la parole efficace. Ainsi, s’il est question, pour Esope, de critiquer l’inconséquence des hommes, La Fontaine suggère une morale à la