La Fuite Est Elle Une Lâcheté

verbe être : cela marque la vacuité de l'essence même du personnage. On se retrouve alors au coeur de la fable avec l'opposition de l'être et du paraître qui ridiculise la cible de la satire. Victor Hugo présente un échec politique. En effet, la fuite du peuple face à l'Empereur est vécue comme une victoire par ce dernier. Or le rôle d'un dirigant est bien de rassembler et non diviser. Ainsi, la personnalité mégalomane du personnage est dénoncée. Le personnage du singe apparaît bestial et violent

Dieu et les croyances populaires, les superstitions : « un hérétique qui ne croit ni Ciel, [ni saint, ni Dieu,*] ni loup-garou » (I, 1).(*passage censuré) → La pleutrerie ( = lâcheté) et la grossièreté de Sganarelle, qui Sganarelle prétexte une diarrhée subite (« je crois que cet habit est purgatif ») pour justifier sa fuite devant le danger, ou qui n’arrive plus à articuler un mot devant la statue (III, 5). → Gourmandise de Sganarelle qui tente de dissimuler le morceau qu’il a mis dans sa bouche

personnage en enfer, ancien journaliste d'1 journal pacifiste à Rio. Fusillé pour désertion. Essaye de paraître comme un héros mais en réalité un lâche, essaye de masquer sa véritable nature. Tic nerveux de la bouche. Véritable nature d'Homme cruel, sa lâcheté lui est insoutenable. → Inès : Découvre très vite comment fonctionne l'enfer, et que chacun est le bourreau des 2 autres. Indifférente, elle assumé sa méchanceté et ses actes. Elle refuse les alibis et analyse cyniquement la situation et les personnages

conscience apparait dans les expressions (l.9) «  a présent j’étais assuré » , (l.10) «  je conçu en même temps » , « jamais je n’avais senti…chose », (l.25) décidément je le concevais … croisade apocalyptique », (l.30) «  a présent j’étais pris dans cette fuite en masse ».Les modalisateurs indiquant la certitude (assurer et concevoir) «  emploi du passif « étais pris » traduisant une impuissance plus l’idée de piège. L’hyperbole « croisade apocalyptique » renforce la prise de conscience • La folie guerrière

même plan Dieu et les croyances populaires, les superstitions : « un hérétique qui ne croit ni Ciel, [ni saint, ni Dieu,*] ni loup-garou » (I,1).(*passage censuré) → La pleutrerie (= lâcheté) et la grossièreté de Sganarelle, qui prétexte une diarrhée subite (« je crois que cet habit est purgatif ») pour justifier sa fuite devant le danger, ou qui n’arrive plus à articuler un mot devant la statue (III, 5). → Gourmandise de Sganarelle qui tente de dissimuler le morceau qu’il a mis dans sa bouche. (IV

les faiblesses de Matamore à son avantage. C’est aussi ces paroles qui mèneront à la chute de la tension, car elle mènera à la fuite de Matamore prouvée au dernier vers de la scène : « Un sot les attendrait » qui dans un premier sens peut nous faire comprendre qu’il faudrait être bête pour rester jusqu’à son arrestation et dans un second sens, ces paroles montrent la lâcheté du personnage de Matamore qui par extension pense que les plus courageux sont au final les idiots.

homme était un avatar tellement ahurissant que cet effarement partagé devenait une véritable fraternité. p.10-11» ; les animaux sont pour lui synonymes d’innocence absolue On comprend donc que Batka, programmé pour devenir une arme au service de la lâcheté humaine, représente pour Gary une ignominie insupportable, en quelque sorte une forme d’innocence mise à mal , qu’il fera tout pour ré-éduquer et qu’il refuse d’abandonner : « tous les jours, je me rends au chenil, p.20 » ou, p.131 : « Je n’ai pas

mari ne cesse de croître, surtout après l’échec d’une opération qu’il a tentée sur le pied-bot d’un valet de ferme. Bientôt la platitude de l’adultère remplace celle du mariage ; la perspective d’une fuite avec son amant ravive encore sa flamme amoureuse, mais ce dernier préfère rompre, par lâcheté. Le hasard la met en présence de Léon, revenu de Paris, et Rouen devient le lieu de leurs rendez-vous amoureux, les leçons de piano d’Emma servant de prétextes à leurs rencontres. Mais Léon est peu

beau-parleur, ( de part la présence réplique qui lui est favorable tout au long de la pièce = arme) il promet le mariage alors qu'il ne s'engage pas réellement, et ce en abusant des femmes. Il enfreint les règles sociales puisqu'il est constamment en fuite (face aux frères d' Elvire par exemple, acte II scène 5). Il est particulièrement irrespectueux envers son père et lui souhaite même de mourir (acte IV, scène 5). Il refuse de changer d'attitude et désobéit aux règles de son rang social : la

L’Histoire, un des principaux ressorts de l’intrigue Le contexte historique ne sert pas seulement de décor : c’est l’un des principaux ressorts de l’intrigue car la vie des deux personnages est conditionnée par l’Histoire dans laquelle ils vivent : la fuite et l’exécution sommaire de Griselle symbolisent la souffrance de tout le peuple juif durant cette période de même que l’antisémitisme de Martin n’est que le reflet de l’Allemagne de l’époque. 2) Une structure narrative : alternance de tensions et de