La Gloire et la Peur

l'expression des mot « Renaissance », « Humanisme » et « Temps modernes » pour cettes période Pierre de RONSARD (1524-1585)« Amour me tue, et si je ne veux dire »Amour me tue, et si je ne veux direLe plaisant mal que ce m'est de mourir :Tant j'ai grand peur, qu'on veuille secourirLe mal, par qui doucement je soupire.Il est bien vrai, que ma langueur désireQu'avec le temps je me puisse guérir :Mais je ne veux ma dame requérirPour ma santé : tant me plaît mon martyre.Tais-toi langueur je sens venir le jour

les désirs non naturels et non nécessaires sont ceux qui sont contaminés par les fausses peurs des dieux et de la mort : ainsi, je ne désire la gloire que parce que j'ai peur qu'il ne reste rien de moi après ma mort. Ces désirs viciés sont ouverts à l'illimité : ils ne peuvent jamais être assouvis, si tant est que la gloire me fait désirer plus de gloire, l'argent plus d'argent, le pouvoir plus de pouvoir, etc. 2. Exclusion des désirs illimités Que le désir soit en lui-même bon, puisqu'il satisfait

souffrance, de tout ce qui empêche le bonheur. La libération dont il est question est principalement celle pour laquelle nous nous arrachons aux peurs et aux désirs relatifs à des biens extérieurs, sur lesquels on ne peut pas grand chose (la peur de la mort, le désir de gloire par exemple.) « Des pensées qui n'ont pas été mises à l'épreuve, que l'on n'a pas habituées à faire face aux réalités » = La solution au problème selon Epictète, est dont une « mise à l'épreuve », une « habitude » à l'exercice de

ferme. ROXANE : le regardant de face L'ombre de son profil l'aveugle et le trompe – Pourtant..  A mes yeux il n'est que courage, honneur et il est couvert de gloire. CYRANO : songeur à ses paroles Un espoir si beau me sera t-il permis ? La nuit tombe rapidement ROXANE : Oui ! La peur d'être raillé, moqué, toujours au cœur lui serre. Or moi je suis éprise de lui, ébloui de tout son corps quant au combat il fait preuve de force. Quand je le vois, ma gorge

De la même manière, le juste qui vit par la foi, dans ses réussites, donne gloire à Dieu. Il se souviendra qu’il n’est qu’un instrument entre les mains du Seigneur et si Dieu permet qu’il réalise des prouesses, des exploits, c’est par pure grâce. Au lieu de s’enfler d’orgueil, (Habacuc 2 : 4 a), il fera référence à Joseph, David, à Daniel et ses compagnons,…voire au Seigneur Jésus, qui se sont humiliés pour que la gloire revienne à notre Dieu. C’est pourquoi, dans Deutéronome 8 : 10-17, Dieu par

», l. 2 ; « ce n’est que bien des années plus tard que je racontai l’histoire telle qu’elle m’était arrivée », l. 50-51 ; etc.) qui raconte accentue l’impression de véracité du récit, et les confidences qu’il fait à son auditoire (« j’avoue que la peur commençait à me tortiller », l. 10 ; « si vous m’en croyez […] », l. 54) le rendent humain, digne de foi. « Je vous assure que », (l. 12) et d’autres expressions de ce genre) témoignent de sa sincérité et convainquent aussi le lecteur.2. Le fait que

héros ... rien du tout" Introduction Un jeune noble milanais, Fabrice del Dongo, rêve de gloire et de liberté. Pendant les Cent Jours, il brûle de rejoindre l'armée de Napoléon. Sa tante Gina del Dongo, âme également généreuse, l'aide à réaliser son dessein. Voilà donc Fabrice à Waterloo sur les traces de Napoléon. Texte Nous avouerons que notre héros était fort peu héros en ce moment. Toutefois la peur ne venait chez lui qu’en seconde ligne ; il était surtout scandalisé de ce bruit qui lui faisait

me suis couché » ligne 4. Il est donc dans une posture de vulnérabilité, d’autant plus qu’il s’est déshabillé, « dépouillé de mon manteau et de ma tunique » pour permettre l’auscultation du médecin. Hadrien renonce aux artifices du pouvoir et de la gloire, se soumet à l’examen de son médecin qui lui révèle des « détails [...] désagréables ». _Hadrien parvient ainsi à se regarder avec une certaine distance : il utilise une périphrase en parlant « du corps d’un homme qui avance en âge et qui s’apprête

pièce en février 1673. I/ Spectacle et comédie Un spectacle musical pour divertir le roi Louis XIV, contribuant à la propagande (satire de la société : courtisans). Ce-dernier revient vainqueur de la guerre, le prologue est donc un hymne à sa gloire. ① Une comédie ballet· Un spectacle total : musique, danse, chant· Intrigue du théâtre mais aussi intermèdes chantés ou dansés, occupant une part importante de la pièce· Investissement dramaturgique +

un souhait plus raisonnable, qui satisfait sa vertu - 4 -et son amour tout ensemble, et demande au ciel que le combat se termine: Sans faire aucun des deux ni vaincu ni vainqueur. Si elle ne dissimule point qu'elle penche du côté de Rodrigue, de peur d'être à don Sanche, pour qui elle a de l'aversion, cela ne détruit point la protestation qu'elle a faite un peu auparavant que, malgré la loi de ce combat, et les promesses que le roi a faites à Rodrigue, elle lui fera mille autres ennemis, s'il en