La Gradation Des Fautes En Droit

accentue la véracité du propos· Parallélisme « de grands efforts et de grandes violence »· Tournure impersonnelle « il faut » avec verbe d’obligation · Retour à la métaphore du péché originel avec « retenir »Conclusion Mouvement 1 : Discours rappelant l’idéal classique janséniste à travers l’association de la passion au péché, même sur son lit de mort MDC entraine sa fille sur le droit chemin et la condamne à y rester quelques soient les circonstances.Second mouvement : · Phase de raisonnement : annonce

notre extrait. Cette parodie de plaidoirie a comme une transition dans un discours oratoire mettant en valeur la logique d’un raisonnement méthodique: « Vous savez », il faut maintenant examiner,  « si », d’autant plus paradoxal puisque c’est une oiselle qui le prononce à propos de l’homme et durant le procès l’accusé n’a pas le droit à une seule fois la parole au cours de l’extrait : l’humanité n’est plus une valeur, un motif d’élévation mais au contraire une raison nécessaire et suffisante pour condamner

vivant sur la terre ont un libre-arbitre qui leur permet le choix entre le bien et le mal, mais leurs mauvais choix sont sanctionnés, surtout s'il est question de crimes, fautes pénales les plus graves dans toute législation. La périphrase des trois premiers vers trouve son éclaircissement au début du vers 4 : La Peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom). La parenthèse du fabuliste éclaircit la périphrase (et la désigne). Cet éclaircissement autorise une seconde périphrase : Capable d'enrichir en

argument: politique (l.32) IV. Explication linéaire Préambule: il doit tout de suite nous sembler suspect. Il a l'air d'un plaidoyer car on y parle de droit. C'est un plaidoyer hypothétique : L'esclavagiste va énoncer ce qu’il dirait s'il avait à le dire : il y a une mise à distance. En outre, il oppose "soutenir" et "rendre les nègres esclaves" = droit suspect. Le "nous" employé, nous montre que tout le monde est complice. La phrase débute par "si" (> condition) et le conditionnel "dirais"a une valeur

tout-puissant. Ainsi, le pouvoir central, aux Etats-Unis, n’a pas de limites ; il a le droit de tout faire (p.90). Les peuples sont devenus comme incapables d’imaginer, de concevoir autre chose que ce pouvoir central omnipotent (p. 93). L’opinion publique, les publicistes diffusent cette idée. La haine des privilèges conduit à la concentration graduelle de tous les droits politiques dans les mains du seul représentant de l’Etat (101). -         

Ni fade adulateur, ni parleur trop sincère, Et tâchez quelquefois de répondre en Normand. Jean de La Fontaine Analyse La Cour du Lion : Cette fable, écrite par La Fontaine en 1678 décrit la cour et ses courtisans mais surtout la façon dont il faut s’y prendre pour être accepté auprès du roi et le comportement à avoir en sa présence. Le roi voulant connaitre son royaume invite tous les alentours à un « grand festin » qui sera pour certains, fatal. La Fontaine critique l’hypocrisie des courtisans

mélanger les genres et les registres. Le drame Hugolien est enfaite une synthèse de la Tragédie et de la Comédie, son théâtre se libère des codes et mêle le sublime au grotesque. Hugo est aussi un homme politique engagé, il a notamment défendu les droits du peuple. Cet engagement transparait dans son œuvre Ruy Blas (Voir paratexte). PROBLEMATIQUE : En quoi cette scène de conflit relève t’elle du drame romantique ? I) Une scène de conflit entre valet et son maître : a) L’amour pour la Reine :

condamne tu m'as ensorcelé Evêque vous riez Priez plutôt pour moi la Vierge Faites-moi donc mourir et que Dieu vous protège Mon amant est parti pour un pays lointain Faites-moi donc mourir puisque je n'aime rien Mon coeur me fait si mal il faut bien que je meure Si je me regardais il faudrait que j'en meure Mon coeur me fait si mal depuis qu'il n'est plus là Mon coeur me fit si mal du jour où il s'en alla L'évêque fit venir trois chevaliers avec leurs lances Menez jusqu'au couvent

« femme du Lion », celle du cerf ainsi que son fils) et structure politique. Le lion est un « Prince » assisté de « Prévôts » et entouré de « Messieurs les Courtisans ». Le terme « obsèques » est justifié par l’exposition d’un protocole précis ; il faut « régler la cérémonie » et « placer la compagnie ». Cette société animale fictive ressemble d’autant plus à notre propre société qu’elle en a la culture On a évoqué le rituel des obsèques, on peut aussi voir l’amusant mélange des références mythologiques

l'auberge, un sergent à cheval m'a attrapé au lasso.“ ou „ Les copains qui étaient avec moi ont pu s'enfuir“, ou encore la phrase „ et puis on a été fait prisionners“. L'auteur montre bien que les personnages sont vu comme des animaux capturés. La gradation décroissante de la ligne 4 , ainsi que la réplique de l'officier insisitent encore une fois sur l'abêtissement du soldat qui est provoqué par les supérieurs de celui-ci: la tyrannie. Cette tyrannie provoquée par les officiers indique l'idifference