La Grammaire Textuelle

morale L’épreuve vise à évaluer : – la maîtrise des savoirs disciplinaires nécessaires à l’enseignement dans ces domaines, en référence aux programmes de l’école primaire ; – la connaissance et la maîtrise de la langue française, en particulier la grammaire, l’orthographe et le vocabulaire ; – la capacité à comprendre et exploiter des textes ou des documents pour en faire une analyse, une synthèse ou un commentaire rédigé avec clarté et précision, conformément aux exigences de polyvalence attachées

acquis au cours des niveaux inférieurs, l’apprentissage du français doit être axé surtout chez l’élève sur le 3 développement de sa capacité de raisonnement, d’abstraction et de jugement personnel. Dans cette optique, la diversité des supports textuels que lui confère l’étude de la littérature d’expression française doit lui permettre d’accéder aux différentes formes d’informations utiles et à la culture mondiale de nature à développer chez lui des attitudes relèvent d’un homme, moralement et intellectuellement

forcément correcte. La maîtrise de la langue est limitée, avec de nombreuses impropriétés. La grammaire est souvent inexacte. Le vocabulaire est limité et simpliste. Les structures syntaxiques sont peu et/ou mal employées. L’orthographe est parfois correcte, mais difficile à comprendre. La maîtrise de la langue est très limitée, voire incompréhensible. Il y a de nombreuses erreurs fondamentales de grammaire. Le vocabulaire est insuffisant. Les structures syntaxiques sont absentes ou obscures. L’orthographe

- S’accorder 15 min de relecture pour corriger l’orthographe et la grammaire - registre de langue soutenu - éviter le jargon sauf termes techniques bien maîtrisés - écriture lisible (ni trop gros ni trop petit, encre noire) - limiter les ratures Quelques conventions : - souligner les titres (dans une version imprimée on les écrit en italiques) - mettre entre guillemets les citations (textuelles et rapportées au style direct) - disposer correctement les vers

collectivement) des idées (arguments) et les hiérarchiser. Rédiger en mobilisant et enrichissant ses connaissances Assurer l’organisation générale et la cohérence du texte : structure générale et marques visuelles d’organisation, organisateurs textuels temporels et/ou logiques, procédés de reprise pronominale et lexicale, ponctuation. Utiliser des outils linguistiques pour se situer dans l’espace et dans le temps ; exprimer l’opinion, l’accord ou le désaccord, la cause, la conséquence et le but

mesure de l’approche segmentée (par passages) du texte choisi. La directive de lecture est donnée au préalable (avant la lecture silencieuse du passage déterminé) afin d’aider les apprenants à comprendre globalement la ou les idées du segment textuel (passage).c’est en ce sens que ces lectures sont dirigées (guidées). Exemple de lecture – projet : - Lecture suivie dirigée (5°AP). Observation : Les quatre (04) types de lectures ont chacun ses propres spécificités. Chacun d’eux privilégie

faut-il enseigner ? Plusieurs grammaires coexistent… « L’observation » fût-elle réfléchie, comme le précise le nom de ce champ disciplinaire dans le programme, suffit-elle ? N’y a-t-il pas des apprentissages relevant de la mémorisation et de la systématisation, par exemple ? Quelle place pour les savoirs ? Quelques repères historiques : Jusqu’aux années 70, le dispositif traditionnel du français se morcelle en sous-discipline : lecture, écriture, récitation, grammaire, orthographe, vocabulaire

définie de 2 façons : * Forme interne : on inclut la grammaire à l’intérieur même du document XML * Forme externe : en faisant référence à un fichier contenant cette grammaire (référence locale ou URL) Syntaxe : * <! ELEMENT Nom Modèle > * La partie Modèle consiste en : Soit un type prédéfini : * ANY : tout type de données * EMPTY : nécessairement vide * (#PCDATA) : données textuelles Syntaxe attribut : <! ATTLIST NomElem NomAtt Type>

question de la rédaction du poème en parallèle avec ce que le poème décrit : « par une réciprocité naturelle et nécessaire, le même motif se rattache au travail scriptural qui, pas à pas, fait accéder la persona à une existence imaginaire, vocale, textuelle » (p. 77). L’aventure de La Jeune Parque correspond à la démarche du sujet scripteur, à ses recherches, à ses tâtonnements, à son acte d’écrire. L’auteur évoque aussi le thème de « la Voix surprise », pour faire ensuite, dans « l’Attente déchiffrée »

construction du sens des mots, et pour créer l’habitude de réfléchir en langue étrangère, il faut apprendre aux élèves à faire des hypothèses de sens en se basant sur les préfixes, suffixes, synonymes et antonymes, particulièrement sur le contexte textuel et situationnel du texte où sont présents ces mots. Par ailleurs, l’enseignant doit conseiller aux élèves de tirer profit de tout ce qu’ils ont appris, d’appuyer l’acquisition du savoir nouveau sur leur savoir ancien, en mobilisant fortement leur