La Grande Vanité

Commentaire sur Le Grand Théâtre du Monde (1635/ 1665) de Pedro Calderon De La Barca Intro : Auteur : mouvement baroque espagnol, le siècle d’or, principales œuvres : La dame fantôme et le prince constant, mais la plus connue : la vie est un songe Texte extrait de l’œuvre : Le grand théâtre du monde, pièce en un acte, sacramental (d’inspiration religieuse), écrit de 1635 à 1665 Cet extrait nous présente un dialogue entre deux personnages qui sont Le Monde et Le Roi, le premier retire au second

ce qui concerne Les Choéphores surtout. Forte puissance poétique…  Enfin : soyez avertis du rôle politique du théâtre, jamais divertissement simple pour les Grecs. 3- Blaise Pascal, Pensées (sur la justice). Trois discours sur la condition des Grands. L’édition que nous vous avons recommandée n’est hélas pas la plus parfaite, elle omet 4 pensées, et n’indique pas les pensées précisément au programme, de plus selon une autre classification. (Dures lois du marché…et difficulté d’établir une sélection

microcosme( Milieu social en réduction sur le plan culturel, artistique) ; opposition entre les siens et ailleurs, intolérance ; volonté de se regrouper et de se mettre à l’écart se distinguer des autres ; Ironie du narrateur comparaison « potins » de ces sociétés au grands cultes à mystère ;ralliement à un chef ; prétention à l’originalité B. Métaphore géographique et politique. Ville lieu d’éclatement ; états dans l’État pb de cohérence entre les citadins ; étranger rejeté alors qu’il a un meilleur esprit

ceste orde charongne, et se tient à l'escart,Et laisse un souvenir de nous comme d'un songe ? Ce corps, qui dans la vie en ses grandeurs se plonge,Si soudain dans la mort estouffera sa part,Et sera ce beau Nom, qui tant partout s'espard,Borné de vanité, couronné de mensonge. A quoy ceste Âme, helas ! et ce corps desunis ?Du commerce du monde hors du monde bannis ?A quoy ces nœuds si beaux que le Trespas deslie ? Pour vivre au Ciel il faut mourir plustost icy :Ce n'en est pas pourtant le sentier

sur un raisonnement Présence d’une chaîne de raisonnement au paragraphe 3, et de marqueurs logiques : « Lorsque ». Premier paragraphe : « richesses de l’Etat et des mœurs » ( 2° paragraphe : « richesse et mœurs fruits de l’aisance de grand nombre » ( « Ce grand nombre est ou doit être composé d’habitants de la campagne » ( 3° paragraphe : « Lorsque les habitants sont bien traités… » Ligne 21 : chaîne condition ( conséquence ( propriétaires augmentent ( moins d’inégalités ( progrès moral, physique

I/ Une démarche cohérente A. Une démarche en deux temps 1) une démarche intellectuelle a. confrontation de l’Homme à l’infiniment grand contemplation de grandeurs de plus en plus importantes, d'abord mesurables : le soleil ("cette éclatante lumière")/"la Terre" contemplation de grandeurs supérieures à ce que l'imagination peut concevoir "ample sein de la nature" "nulle idée n'en approche" b. Place de l’Homme et du monde en comparaison de ce qu’il est et de ce qui est (l.13)

des péchés). Au début du 16ème, Rome rayonne artistiquement et politiquement. Ils ont réussi à arracher de Vinci de Florence. Jules 2 fais démolir la basilique saint Pierre de Rome, et veut la rebâtir à neuf et confie la reconstruction à Bramante, grand architecte de la Renaissance. Les indulgences servaient à financer cette construction. Ces indulgences donnent lieu à des contestations publiques qui vont faire abandonner le projet. Luther : moine inquiet de son salut, qui recherche par tous les

proprement dit et donnait plutôt la sensation de la vérité que de la réalité, encore que certaines parties de Le Rouge et le Noir, et notamment la première, et bien des pages des Mémoires d’un touriste soient déjà le réalisme lui-même. Mais enfin ces trois grands écrivains avaient plutôt éveillé le goût du réalisme qu’ils n’en avaient rempli l’idée. C’est Madame Bovary qui révéla pleinement ce que c’était et qui répondit aux désirs confus et puissants du public. Madame Bovary donne expression de la vie

mariage heureux. Mais chacun d'eux repousse à son tour l'heureux projet en se laissant aller à un mouvement de vanité. Camille ouvre le jeu : à la joie admirative de Perdican, elle répond avec froideur, de façon hautaine, elle renie "ce pauvre temps passé, si bon, si doux" qui fait encore rêver son cousin (I, 3). Cet orgueil là n'est pas bien dangereux : on peut y voir la réaction d'une "grande fille" désireuse de se poser dans le monde ; ne déclare-t-elle pas : "Je ne suis pas assez jeune pour m'amuser

baroque des vanités a-La representaion du pouvoir b- Un pouvoir illusoire II-Une lecon classique et de stoicisme a- b- III-Un psaume lyrique a- b- François de Malherbe était un poète français du XVIIeme siecle. Issu d’une famille noble, il décida d'ecrire de nombreuses oeuvres dont la suivante qui s'intitule « Paraphrase du Psaume CXLV». Malherbe s'est souvent inspiré du baroque pour écrire ses textes. Dans celui ci il s'oppose à l'idealisme et utilise les valeurs classiques parmi les grandes thématiques