La Grotte Mise En Abyme

père en raison de la sévérité excessive de celui-ci. → Extrait étudié : scène 2 de l' acte 1 ( Alcandre explique à Pridamant en quoi consiste son art et comment il va redonner vie au passé de Clindor en faisant défiler des ombres au fonds de sa grotte.) → Problématique : comment ce dialogue permet d'introduire l'illusion sur laquelle repose l'intrigue de la pièce. Plan : I) Un dispositif magique 1- Le recours à la magie Vocabulaire de la magie : ''Charmes'' = manifestation des pouvoirs

la magie. Ces illusions forment une mise en abyme : il y a une pièce de théâtre à l’intérieur d’une autre pièce. Ce qui crée l’illusion sont certaine réplique d’Alcandre : « Ma baguette à la main, j’en ferais davantage. » (l.133), c’est lui qui annonce l’illusion à travers sa parole. Celle-ci est créée grâce à la première didascalie externe (l.133-134). La pièce dure plus de 24h, dans différents lieux, ceci est un principe du Baroque. De plus, la mise en abyme et l’illusion sont aussi des principes

Corneille appartient au mouvement littéraire du baroque et du classicisme et a écrit plus de trente pièces dans tous les genres : comédies proches de l'esthétique baroque, tragédies modernes... Style d'écriture de Corneille : - Aux prises avec la mise en place des règles classiques, il a marqué de son empreinte le genre par les hautes figures qu'il a créées : des âmes fortes confrontées à des choix moraux (le fameux "dilemme cornélien") comme Rodrigue qui doit choisir entre amour et honneur familial

arriver au summum des sentiments de Pridamant en le manipulant : Il pousse Pridamant à se tuer. De plus, il fait rimer des mots comme « funérailles » et « entrailles » qui sont de sens forts vu qu'ils suggèrent la mort. Toute cette manipulation est mise en scène de la part d'Alcandre afin que Pridamant qui, après ce suspens, provoquera un choque d'autant plus surprenant. Certains des propos sont à double sens et, lorsque l'on sait tout cela, il peut être pris différemment. Alcandre se comporte en

composition de l’œuvre c) du style particulier des poèmes, rendant compte de la sensibilité et de la personnalité de Verlaine * Mise en relation de l’écriture de Verlaine, dans Romances sans paroles, et des techniques de l’Impressionnisme * Lecture comparée des arts poétiques de Boileau et de Verlaine (photocopie). Travaux effectués par les élèves : * Mise en relation de tableaux impressionnistes avec des poèmes du recueil. Propositions argumentées. * Recherche sur la biographie

privilégiée de ses thèmes de prédilection : la métamorphose, le jeu, le mouvement, l’instabilité (intrigue multiple, comme est le cas de l’Illusion Comique), l’ostentation (décors foisonnants et le goût pour les pièces à machines), l’illusion (mise en abyme).  • Il écrit d’ailleurs cette pièce dans un contexte socio-politique chaotique : la Fronde approche, donc ses pièces traduisent le rêve d’un monde amoureux contre les tentations de la violence. Genre• L’Illusion Comique, même si caractérisé

spectateur de ces propres exploits. Les pleurs d’Ulysse sont du à sa nostalgie (le mal du retour) ; il se rappelle de ses années d’errance. Il va alors remonter dans un passé lointain, la fin de la guerre de Troie. On a alors une structure de mise en abyme par enchâssement : structure occupée par le récit des aventures qui se sont déjà passées. * La parole va être le support même de l’épopée. II. Relevez ce qui montre le pouvoir de la parole et l’importance des aèdes. Dans l’Odyssée

Tout d’abord l’unité de lieu. On change de lieu à chaque acte, voire deux ou trois pour certains. Durant les cinq actes de Dom Juan, les personnages se baladent dans différents lieux comme à l'acte I : palais, acte II : « un hameau de verdure avec un grotte au travers de laquelle on voit la mer », acte III : une forêt, acte IV : la maison de Dom Juan, acte V : une ville… L’unité de temps n’est pas respectée elle aussi. Quoique plus que celle du lieu. L’action se déroule en trente-six heures au lieu des

est, dans sa nature même, une illusion : des éléments fictifs agencés de manière à ce que les spectateurs les croient vrais. C'est une représentation qui se veut la plus proche possible du réel, mais qui en reste une imitation, même dans le cas d'une mise en scène et de jeux d'acteurs exceptionnels. Pridamant déclare « J'ai pris sa mort pour vraie, et ce n'était qu'une feinte. », à la scène 6 de l'Illusion Comique de Pierre Corneille. Il nous est donc montré ici que Pridamant, tout comme les spectateurs

scène, ils sont comme nous, mais ils focalisent leurs regards sur Clindor, c’est le liant de la pièce. Décor : A l’intérieur de la boîte en carton représentant la grotte et le théâtre, nous avons choisi d’illustrer une scène dans une chambre où on peut voir une télévision miniature. Cela créer un symbole de la mise en abyme si ardemment recherchée et illustrée dans cette pièce. Elle projette une image d’œil pour nous rappeler que nous aussi, nous sommes vu comme des acteurs aux regards des