La Guerre Et La Paix Bergson

La société francaise et la Première Guerre mondiale Au début du XXe s, l'opposition de partis ne se fait plus sur la nature du régime défendu. En effet, la République s'est imposée. Il s'agit plutôt d'un antagonisme droite/gauche idéologique entre liberté et égalité, parfois entre religiosité et laïcité. Aux élections de 1914

le Léviathan, fait le tableau de la condition naturelle de l’homme, d’où il ressort que les individus sont de prime abord ennemis. L’état de nature est un état de crainte générale, une « guerre de tous contre tous » car chacun peut s’attendre à se voir volé ou tué par n’importe quel autre. Selon Hobbes, la guerre n’est pas identique à la bataille car elle désigne une situation de peur permanente qui pousse les individus à accumuler des moyens de défense qu’ils utilisent d’abord comme des signes de

autres ; et l’autre dans la considération des Républiques ; là par le moyen de la justice et de la charité qui sont les vertus de la paix, on s’approche de la ressemblance de Dieu ; et ici, les désordres des méchants contraignent ceux-mêmes qui sont les meilleurs de recourir par le droit d’une légitime défense à la force, à la tromperie qui sont les vertus de la guerre, c’est-à-dire à la rapacité des bêtes farouches.  »  Hobbes. Du citoyen. Epître dédicatoire.      Ce texte traite de l’ambivalence

codes et par principes, nous choisissons tout inévitablement la politesse. I-/ IC Impolitesse = pas la solution à la politesse. Car même si l'impolitesse =un moyen de se libérer enfin c'est aussi d'elle que naissent les disputes voire les guerres. La politesse = création d’un espace de convivialité en quelques sortes. = sureté. Tenir la porte à quelqu'un au lieu de la claquer au visage, = implicitement que nous ne sommes pas sauvages, que nous ne cherchons pas la dispute et que nous sommes

chez R. Axelrod dans Donnant-donnant)   • Terme « essentiel » : l’homme. • Couple « stratégique » : isolé (involontaire)/solitaire (volontaire)   Vouloir retourner à une vie naturelle a-t-il un sens pour l’homme ?   • Rosny aîné La guerre du feu • R. Kipling Le livre de la jungle • J. Swift Les voyages de Gulliver • J. Gracq Un balcon en hiver • D.A.F. de Sade La philosophie dans le boudoir • M. Tournier Vendredi ou la vie sauvage, Vendredi ou les Limbes du Pacifique •

lui-même en niant ses fautes pour ne pas en construire une vie authentique. Or la liberté est bien le pouvoir d’être soi-même en se connaissant et en se réalisant à travers ses pensées et ses actes. Il s’agit se « créer » soi-même, comme le montre Bergson. Or cela est impossible pour un homme incapable d’assumer ses actes en reconnaissance : « c’est moi qui ai fait cela ». Une vie authentique reste donc prisonnière et dépendante du mensonge qui la fonde, fragile au point de basculer dès que celui-ci

leur vie, aussi grande soit-elle, soit la matière à partir de laquelle il leur est donnée l’occasion de dépasser leur être, en conformité avec le potentiel illimité de leur raison. Dans la première conférence de L’énergie spirituelle de Bergson, ‘La conscience et la vie’, nous pouvons lire que ce qui caractérise le plus singulièrement l’élan vital, ce courant presque spirituel qui a conduit l’évolution biologique à aboutir après maints détournements à une espèce dotée de conscience, est

déraisonnable (cf. raison purement technicienne qui ne se préoccupe que des moyens et non des fins) Þ retour à la foi. La religion, en tant que source d’espoir et de foi, n’est –elle pas indispensable au bon fonctionnement des sociétés ? cf. citation de Bergson (cours) I/ La religion comme fondement du lien social 1. la religion comme lien a) Etymologie et définition L’étymologie du mot religion est incertaine et discutée. Selon certains (St Augustin), le mot renverrait au latin Religio > Religare

toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et Rousseau (1712-1778) « Il est au fond des âmes un principe inné de justice et

L’obtention de la paix ? La religion n’a-t-elle pas un premier objectif d’apprentissage et d’éducation ? Certains affirmeront que ce pouvoir, au niveau de l’éducation, est source d’endoctrinement. Mais, l’éducation et le savoir ne sont-ils pas source de liberté ? En ce cas, on s’oppose à l’idée d’esclavage. Cette liberté est tout de même limitée comme dans les religions musulmane ou chrétienne avec des règles allant à l’encontre des désirs naturels de l’Homme. L’Homme ne trouve-t-il pas la paix intérieure