La Haine

t’ai chassé », des expressions de volonté « j’ai voulu » (v16), « résisté » « j’ai recherché », qui montrent que Phèdre a tenté de changer. Dans deux hémistiches, on peut voir son objectif et la solution «  pour mieux te résister j’ai recherché ta haine ». Phèdre essaie de ne pas l’aimer. Les résultats de tous ses efforts sont minces, comme en témoignent ces expressions « inutile soin » (v18), « le crois-tu volontaire ? » (v25) « je ne t’ai pu parler que » (v29) et « faible projet » : cela exprime

personnages voué a son beaux fils est perçu comme une force irrésistible. Une passion dévastatrice entre dés lors en jeu et donc prend une place considérable dans les écris de racine et dans notre exposé et qui est le désamour relation qui débouche a la haine la trahison ou la malédiction : la mort donc que nous qualifieront de passion tragique par excellence. Le chef d’œuvre de racine est imprégné d’une conception biblique de pêche le fond de la pièce a un caractère monstrueux de l’amour cette amour

petit frère. Le deuxième état psychologique dans lequel Pierre a évolué dans ce récit est celui de la haine car il attrape une haine envers sa mère à cause qu’il comprend qu’elle a trompé son mari et il pense aussi qu’elle l’a trompé lui-même, lui son propre fils. Il attrape aussi une haine envers son petit frère qui obtient une fortune d’un héritage alors que lui n’a rien. Il a la haine en pensant à ce que les autres personnes vont penser s’ils se rendent compte de la vérité à propos de

remarquons la haine envers elle-même et la honte qu’éprouve Phèdre, comme au vers 692 où le fait qu’Hippolyte ne veuille pas la regarder est mis en avant. Elle a honte car au XVIIe siècle une femme ne doit pas déclarer ses sentiments avant que l’homme lui avoue, mais Phèdre fait l’inverse. Le champ lexical de la haine et de la détestation est présent dans ce passage : « odieux amour », « odieuse, inhumaine », «  je m’abhorre encor plus que tu me détestes », « haine ». Elle cherche même la haine chez les

suivants : « Rome » mettant en relief la responsabilité de la cité, « Que » (8-9-11-13), qui insiste sur les souhaits de Camille. L'ensemble de ces procédés rend sensible la forte émotivité de Camille. Dans le personnage de Camille, on ressent de la haine qui s'exprime par les malheurs appelés sur Rome, et le verbe (v.6) « saper » ouvre le champ lexical de la destruction : -Détruire (v.10) -Renverse -Déchire Nouvelle accentuation avec l'appel au ciel : -Allumé -Déluge -Feu → Cela renvoie à

racisme. Le racisme, c'est le vers qui ronge le fruit de l'intelligence, la rouille qui corrode et détruit la dignité de la personne. Le raciste, fait de peur et d'ignorance, traumatisé par le manque d'intelligence et d'estime de soi, et nourri par la haine de l'autre du fait d'un complexe d'infériorité profond et incoercible, est à la fois le danger et la victime : un danger pour les autres (l'enfer virtuel, ce n'est pas l'autre, c'est le racisme) et une victime de lui-même. Une victime qui devient le

la beauté et l'esprit de la princesse. L'esprit et la beauté s'égalant s'appellent chez l'auteure. « Il demeura deux jours à Champigny sans être obligé que par les charmes de Madame de Montpensier ». Le prince de Montpensier est animé par « la haine » pour de Guise, « la jalousie naturelle ». Il conçoit du « chagrin », il voit deux hommes avec sa femme « comme quelque chose de désagréable », il traduit cela en « crainte de mal recevoir ces hôtes ». Il ne fit pas « de violence pour les retenir »

5, l. 674/675: "J'aime. Ne pense pas qu'au moment que je t'aime.") Hippolyte pourtant la repousse et l’humilie, ainsi son espoir récent gagné ne dure pas et d'un moment à l'autre elle sent encore le désir de mourir. (Acte II, scène 5, l.: "Si ta haine m'envie un supplice si doux...au défaut de ton bras, prête-moi ton épée"). Dans l’acte suivant, Thésée, qu'on a pris pour mort, revient et Phèdre a successivement des différentes attitudes. Premièrement, elle est épouvantée à cause de son aveu à Hippolyte

l'extrait que nous étudions , le lecteur se demande jusqu'à quel extrémité un homme peut aller par esprit de vengeance . On découvre la violence de la haine d'un homme meurtri par l'âpreté de sa famille, et la résignation paisible qu'il vient d'atteindre, sans pour autant en connaître la ou les raisons.             I) Violence de la haine Le vieillard qui se raconte et s'observe dans le début du Noeud de vipères vient de changer de disposition d'esprit. Toute l'originalité de ce

modérateur qui ne parvient pas à les éloigner. • Adrien et Mathilde s’opposent et raniment le passé familial. • Il y a une violence entre les maîtres et les serviteurs. La violence ainsi représenté exprime la haine du frère et de la sœur. II La haine d’une femme blessé. La première réplique du frère fait ressurgir un terrible passé, nous comprenons l’information donnée par le chapeau introducteur : Mathilde vient régler des comptes avec ses proches qui l’ont rejetée et fait