La Justice Militaire

est « aimé des dieux », parfois couronné par un prêtre et souvent inspiré par les dieux pour rendre la justice et élaborer le droit. Il est jus suprême. Hammourabi (premier roi de l’empire babylonien et auteur des premières lois écrites) dit : « Je suis le roi du droit, à qui Shamash a fait présent des lois. » (Shamash étant le dieu du soleil en Mésopotamie et également le représentant de la justice)Ce sont des royautés de ce qu’on appelle parfois des cités états, comme Babel (qui est une ziggourat

pas son propos pour un témoignage à charge, si cette cause est une question de vie (ou de mort), alors cet homme est passible de mort. (Ur-Nammu) Section 2 : Le droit, œuvre de Dieu Le droit en Mésopotamie a été révélé par Dieu, celui de la justice, Shamash. Ce dieu révèle le droit à Hammurabi. Dans le droit Hébraïque c'est la bible qui fait office de fondement au droit (avec l'ancien et le nouveau testament) L'ancien testament, la Torah est un enseignement transmis par Moise : La loi.

droit international, de la guerre, recours à la force (charte des Nations Unies et/ou pacte de l’Alliance atlantique), droit national propre. - Institutionnel : fournit la légitimité (politique puis militaire, qui en découle) - Ethique : discernement personnel de chaque dirigeant politique, militaire ou exécutant (principes des droits de l’homme, notion de crime contre l’humanité) Droit humanitaire : - Henri DUNANT et la croix rouge en 1864. - Charte des Nations Unies : principe de non-ingérence

Introduction : Droit : Ensemble de règles régissant le comportement des individus, à un moment donné, dans une société. Qu’est ce que le Droit ? → D’après Ulpien, « c’est l’art du bon et de l’équitable ». Le droit à toujours été lié à l’idée de justice. Aujourd’hui on dit plutôt que le droit est une science. C’est une règle obligatoire, normalement assortie de sanctions, émanant de l’autorité légitime. Le Droit se distingue de la morale et de la religion, mêmes s’ils ont la même finalité.

ceux à qui l'on a confié une tenure, verse donc au seigneur une partie de leur récolte ou une somme d'argent en plus des corvées c'est-à-dire des travaux effectués gratuitement (ex : entretien d'une route). S'ajoutent les droits banaux du seigneur (justice et police), la perception d'un impôt par tête (taille) et des taxes pour l'usage des équipements collectifs appelés banalités. En contrepartie de tous ces droits, le seigneur s'engage à assurer la sécurité des paysans. En effet, le seigneur est très

par là, il y a une fusillade !" lance un homme. Dans la chaleur d'une soirée d'octobre, la panique se répand au rythme des rumeurs."J'ai entendu des tirs ! Et vous ?" demande un restaurateur. En réalité, la fusillade avait lieu à 10 km de là : les militaires ont repoussé l'attaque d'un commando armé à coups de bazooka. Cinq sicarios (tueurs à gages) présumés sont morts. En représailles, les cartels envoient leurs jeunes recrues agresser des automobilistes et dérober leurs véhicules, de préférence des

vie des douze César entre 119 et 122. Il vécut sous le Principat, crée par Auguste en 27 av-J.-C. soit-dit-en passant, et c’est l’empereur Hadrien qui est au pouvoir lors de la publication de ce texte. Suétone y expose le début de la carrière militaire mais aussi et surtout la carrière politique de l’Imperator Caius Julius Caesar, de son exode pendant la dictature de Sylla jusqu’à sa préture en 62. Ambitieux, brillant, fin stratège et tacticien, nous pouvons nous demander en quoi Jules César, de

accusation un régime politique, celui fondé par Hitler en 1933. 24 dirigeants allemands sont traînés sur le banc des accusés sous l'inculpation de crime contre la paix, crime de guerre et crime contre l'humanité. Le 1er octobre 1946, le tribunal militaire international de Nüremberg condamnait 12 des 24 accusés à la peine de mort. Parmi ceux-ci, le maréchal Goëring, chef de la Luftwaffe, se suicida peu de temps après le verdict. Ce tribunal avait été constitué au lendemain de la guerre pour juger

avec l’Etat de police qui a caractérisé l’Ancien Régime, ils ont instaurés le principe de soumission de l’administration au droit. Selon ledit principe le pouvoir d’Etat et l’activité administrative doivent se plier au droit au respect duquel la justice veille. Pourtant de nos jours même dans les Etats de droit la soumission de l’administration au droit n’est pas totale. A vrai dire ils existent des domaines qui échappent au contrôle du droit. En effet certains actes de l’administration à savoir

Personne pour trancher les litiges, on ne peut pas trancher > on exerce la vengeance, justice privée. * A cette vengeance inefficace succède une nouvelle phase on le litige est résolu par une tiers personne. * Enfin, apparaissent les juges qui sont amenés à rendre des décisions de justice. Le juge est chargé de dire le droit, d’appliquer la loi : c’est la jurisprudence (ensemble des décisions de justice rendues par les juges). Le juge est chargé d’interpréter la loi, de créer la loi.