La Lecture Pour S Instruire Ou Pour Le Plaisir

Thèse que l'on veut démontrer. Il illustre par un récit vivant qui fait alliance de narration et de discours. Narrateur 66> donne la parole à d'autres. Il y a dc différents niveaux d'énonciation. Hypertrophie de la narration. But de LF = "plaire et instruire". C'est le récit qui fait passer la leçon de morale. LF a écrit 12 livres de Fables soit environ 400 fables. Les fables étaient courtes au départ puis deviennent de plus en plus longues et + philosophiques. Finalement il y a plus de récit que de

Thèse que l'on veut démontrer. Il illustre par un récit vivant qui fait alliance de narration et de discours. Narrateur 66> donne la parole à d'autres. Il y a dc différents niveaux d'énonciation. Hypertrophie de la narration. But de LF = "plaire et instruire". C'est le récit qui fait passer la leçon de morale. LF a écrit 12 livres de Fables soit environ 400 fables. Les fables étaient courtes au départ puis deviennent de plus en plus longues et + philosophiques. Finalement il y a plus de récit que de

sur les courtisans. On s’aperçoit donc que dans cette fable, à travers un récit qui vise à divertir, La Fontaine se permet une critique des courtisans. A travers ceux-ci, la critique du roi. Nous sommes bien dans la logique de plaire et instruire. Ici « instruire » étant plutôt « critiquer ». En quoi la critique est elle habilement masquée ? OU En quoi ce texte répond il à l’apologue ? Développement I. Plaire : vivacité du récit/ aspect théâtral : art du fabuliste Le récit est construit

ne fait pas le bonheur. 2) En quoi peut-on dire que cette fable remplit les deux fonctions : plaire et instruire ? a) Plaire - Le schéma narratif de cette fable est simple : situation initiale des vers 1 à 13 ; élément perturbateur des vers 14 à 33 ; dénouement des vers 34 à 49. - Le savetier est un personnage sympathique et attachant pour le lecteur, car il a pour but de faire plaisir à lui-même et aux autres en chantant, même s’il n’a pas beaucoup d’argent pour vivre. De plus sa joie et

fictif à but argumentatif (Robert : court récit exposé sous une forme allégorique, et qui renferme un enseignement, une leçon de morale pratique). Etymologiquement apologos signifie en grec « récit détaillé ». Il s’agit de plaire pour pouvoir mieux instruire, car « une morale nue apporte de l’ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui ». Les points communs entre les différentes formes citées sont au nombre de 4 : -c’est un récit : il relève du genre narratif (étymologiquement apologos signifie

après, ils se retrouvent, et, croisent des bûcherons, ils pensent alors que les plaisirs simples de leur vie sont tout aussi bien et veulent devenir eux aussi bûcherons. La morale est implicite mais facile à comprendre : la « grandeur » ne fait pas le bonheur. Ce récit est plaisant car il est assez fantastique grâce au serpent qui exhausse des vœux. Nous allons nous demander si la fable a pour unique but de nous instruire, ou si elle peut aussi nous divertir, nous plaire? Nous verrons que certes, la

encore relater des histoires passées. L’instruction par les livres est, en effet, une pratique ancestrale toujours utilisée de nos jours. La Bruyère disait d’ailleurs « on ne doit parler, on ne doit écrire que pour l’instruction ». Il est vrai que la lecture alimente nos quotidiens et ceci dans tous les domaines. Si un sujet nous est difficilement compréhensible ou si l’on veut simplement enrichir notre savoir, les livres peuvent répondre à nos questions. Au delà de la littérature la parole est également

S'il est vrai que la qualité de l'intrigue est nécessaire au plaisir de la lecture, on peut cependant se demander si elle est le seul élément qui permette de juger de la valeur d'un roman. Nous verrons dans un premier temps qu’une histoire intéressante peut faire un bon roman, puis dans un second point qu’une histoire intéressante ne suffit pas à faire un bon roman, enfin nous montrerons qu’un bon roman doit à la fois divertir et instruire le lecteur. Une histoire qui intéresse et capte l'attention

enseignement, plus ou moins implicite qui vise à instruire et/ou à dénoncer. C’est ici que se situe la complexité de l’apologue : sa lecture à deux niveaux. Nous ferons ainsi un lien entre la métaphore extraite du récit de Michel Tournier, Taor, prince de Bangalore et la définition de l’apologue et de ses effets. Nous tâcherons pour cela de montrer en quoi l’apologue a pour vocation de plaire, de divertir mais qu’il cherche également, par son récit, à instruire le lecteur. Tiré du grec « apologos » signifiant

enfantin. Ces récits sont donc plus abordables pour des personnes plus jeunes qui ne seraient pas en mesure de lire un ouvrage de réflexion et conviennent tout à fait pour des personnes qui n'auraient juste pas l'envie de s'investir dans une longue lecture. Nous pouvons donc en déduire que l'apologue est un récit argumentatif qui a sa place dans la littérature. Voyons maintenant quelles sont les limites de l'apologue car même si ce type de récit peut plaire, il peut aussi paraitre