La Leçon Finale Candide

Objet d’étude L’argumentation : convaincre, persuader et délibérer Le sujet comprend : Texte A – Fénelon, Les Aventures de Télémaque (1699), Septième livre Texte B – Montesquieu, Lettres persanes (1721), Lettre XII Texte C – Voltaire, Candide (1759), chapitre XXX Corrigé Bac 2010 – Série ES – Français – Métropole www.sujetdebac.fr 10.FRSE.ME1.LR1.cor  SÉRIES ES – S Indications de correction Objet d’étude : l’argumentation : convaincre, persuader et délibérer. Question

argumentatif pas toujours bien perçu par le lecteur. Nous cherchons donc à savoir si la fable est un moyen efficace d’argumenter ou non. Nous allons d’abord voir plusieurs qualités et défauts de l’argumentation de la fable avant de passer à la partie finale ou nous allons discuter de la dualité de la fable. Partie 1 : En quoi la fable est-elle un moyen efficace d’argumenter ? Tout d’abord la fable est écrite pour plaire au public, mais aussi pour l’instruire. Dans « La mort et le bûcheron », La

suite à une épidémie imaginaire de « rhinocérite ». C'est une métaphore représentant la montée du totalitarisme où sont apparentés la collaboration et la résistance aux idées nazies pendant la seconde guerre mondiale. En utilisant, lors de la scène finale, les registres fantastique, comique, tragique et un dialogue où deux idées opposées se confrontent, l'auteur par cette fin originale amène le lecteur à réfléchir : est -il un rhinocéros ou un homme? Ce genre de raisonnement est imposé au public.

caractéristiques nécessaires pour une persuasion efficace du lecteur. Dans l’exemple du petit Prince d’Antoine St Exupéry, l’auteur invente de toute pièce un personnage bouleversant de naïveté. Dès les premiers passages, le lecteur est frappé par la nature candide et l’innocence du Petit Prince et va automatiquement le prendre « sous son aile ». En étant touché par le personnage et on est plus apte à recevoir un message et à le comprendre. Aux travers des découvertes d’une part de notre monde et d’autre part

un élément perturbateur, des péripéties, le dénouement et souvent une morale mise au début ou à la fin du récit. On y trouve également divers procédés et figures de style comme l’ironie ou l’anthropomorphisme qui a toujours servi à illustrer des leçons de sagesse pratique, c’est-à-dire de morale pratique. Cette allégorie facilite la compréhension, en permettant en général de présenter les personnages via un seul trait de caractère ou de personnalité, qui leur est le plus adapté. Dans la fable de

l’auteur de Candide cherche à dénoncer la superstition et l’autorité de l’église. Le conte philosophique, en dit beaucoup plus qu’il le semble.   Autre que les contes, les fables sont des courts récits qui peuvent être écris en prose ou en vers, qui désignent des récits pédagogique à des fins principalement morales, mais aussi politiques ou même parfois religieuses. L’auteur d’une fable met souvent en scène des animaux, ou des végétaux pour qu’ils servent à illustrer des leçons de sagesse.

(les circonstances et l’allure du jardin (vers 1 à 8), les péripéties (l’attaque du lièvre et l’appel au Seigneur (vers 9 à 18); l’arrivée du seigneur et son installation (vers 19 à 38) ; la chasse au lièvre (vers 39 à 52) et, enfin, la situation finale. (le résultat : les dégâts occasionnés au jardin (vers 53 à 57). 1/- La situation initiale : La scène d’exposition (vers 1 à 8) se focalise sur la description du bonheur simple d’un homme dans le potager/ jardin qu’il a créé et dont il s’occupe

auteur vieillissant. Tout au long de ses fables, La Fontaine a mis en garde contre les défauts des hommes, a analysé les petites et grandes mesquineries des relations humaines, a remis en cause le fonctionnement d’une société injuste. La leçon finale qu’il en retire est la sagesse d’une vie retirée de l’agitation de l’activité humaine, une vie de retraite dans laquelle l’homme peut se retrouver et vivre en paix. III. De l’écrit à l’oral 1.  ans quelles autres fables La Fontaine fait-il

merveilleux, exprimé à travers le rêve de Memnon, pour caricaturer la société de l’époque et, au final, proposer un modèle basé sur un équilibre entre les vices et le désir de perfection. Les pensées de Memnon, personnage éponyme, nous sont transmises tout au long du récit. Le lecteur ressent aussi bien ses émotions comme la curiosité ou le désespoir que l’évolution de ses pensées. La principale leçon de ce discours original, à l’intérieur même d’un rêve, est l’équilibre entre le bonheur et la sagesse

et l'acceptation de cette souffrance causée par l'amour chez Perdican pour qui l'amour est la justification unique de la vie. Mais la cause est entendue : la mort va triompher, réelle pour Rosette et symbolique pour Camille et Perdican dans l'adieu final. Musset met ainsi en place l'engrenage fatal de l'orgueil 6 : le désir de dominer l'autre et l'inconséquence des personnages qui jouent avec les mots et les situations vont conduire tragiquement à l'échec et à la mort. La folie des hommes les conduit