La Leçon Finale Candide

Introduction Le texte que nous allons étudié est extrait de l’ouvrage Le Bon sens ou Idées naturelles opposées aux idées surnaturelles écrit en 1772 par le philosophe d'origine allemande D'Holbach . Comme Voltaire dans le chapitre 3 de « Candide », ou l’article « Paix » écrit par Damilaville pour l’ Encyclopédie, d’Hollbach aborde lui aussi dans un court récit le thème de la guerre. En effet, au XVIIIème siècle, les philosophes des Lumières ont beaucoup écrit contre la guerre, montrant son

chrétien d'austérité, les Lumières substituent l'hédonisme, qui fait de la recherche du bonheur le but de l'existence humaine. L'homme a droit au bonheur et se doit d'agir en vue du bonheur commun, par conséquent d'être utile. Telle est la leçon finale de Candide. L'ASPIRATION À LA LIBERTÉ, À LA TOLÉRANCEPas de bonheur sans liberté. Les hommes des Lumières revendiquent les libertés nécessaires à l'exercice de la raison, liberté de penser, liberté de s'exprimer. -L'héritage: Nous en avons besoin

Problématique : Etudes transversales et/ou thématiques : Découvrir les différentes stratégies argumentatives au service du thème abordé par les auteurs et leur efficacité sur le destinataire. Séquence 1 : Utopie et contre-utopie Des apologues Texte 1 : Candide ou l’optimisme de Voltaire, 1759, Chapitre XVIII, L’Eldorado, « Ils entrèrent dans une maison fort simple … Il est certain qu’il faut voyager » - Texte 2 : Georges Perec, W ou le souvenir d’enfance, 1975 chapitre 12 « Il y aurait, là-bas, à l’autre

présentent donc le même but plaire et instruire et sont adaptés à tous mais avec différents critères de compréhension. Ouverture : Les contes et les fables sont donc des apologues, Un apologue est un récit qui a pour fonction d'illustrer une leçon morale qui peut être formulée explicitement. La visée de l'apologue est donc argumentative. Il propose des personnages et des situations symboliques, représentatifs de la morale que l'auteur veut en dégager. L'efficacité de l'apologue tient au fait

................................................. 97 Étude du groupement de textes : A B C D E Texte 1 : VOLTAIRE, De l’horrible danger de la lecture (1765) Texte 2 : MONTESQUIEU, De l’Esprit des lois, V, 15 (1748) Texte 3 : VOLTAIRE, Candide, ch. XIX, « Le nègre de Surinam » (1759) Texte 4 : D’HOLBACH, L’Encyclopédie, article « Prêtres » (1765) Bilan 104 > Bilan > Lexique de la séquence > Corrigés des exercices 2 à 6 ............................................................

sur le bonheur, la liberté et la vertu. Au service d’une idée, les personnages éponymes de Voltaire incarnent un thème philosophique annoncé dans le sous-titre de ses contes : Zadig ou la Destinée (1748),  Micromégas (1752), Memnon ou la Sagesse, Candide ou l’Optimisme (1759)… arabes ou  habitants de Saturne, ils représentent tous une réponse à une question philosophique essentielle : comment l’homme peut-il faire son bonheur ? Voltaire, en fidèle disciple de Locke (rappelons nous la 13ème lettre

défait alors […] ». Ce corpus montre ainsi deux manières possibles de dénoncer la violence de la tyrannie. Travaux d'écriture Sujet 1 : commentaire de texte Introduction Le conte est un genre fort ancien, offrant à travers une histoire plaisante, leçon et matière à réflexion. Sa transmission orale a assuré sa grande popularité, dans toutes les sociétés et à toutes les époques, que l'on pense aux Contes des mille et une nuits ou aux Contes de Perrault. Dans son recueil Mémoire en archipel, l'auteur

résolution. « Miracle, apothéose » (les cris des courtisans). Conclusion et situation finale : La lionne est divinisée et le cerf est récompensé (différent de la mort). Le cerf est la représentation de Montespan le cocu, qui se fout de la cour et qui « emmerde » le roi. Les 4 derniers vers (52-55) constituent la moralité : c’est un contexte explicatif qui fait ressortir l’aspect dominant de la leçon morale. Cette leçon morale est marquée par des impératifs « amusez les rois, flattez-les, payez-les » :

indirect et direct. - Force poétique/persuasive. La fable se finit par une écriture en vers. Cette écriture permet d'utiliser différentes figures de styles et procédés. Très peu de rimes mais libertés de vers (nombre de syllabes). Conclu : Au final, par l'originalité de sa structure, un jeu sur l'emboîtement des récits, La Fontaine illustre le pouvoir des fables. L'apologue a une portée didactique, La Fontaine tente de justifier la supériorité et la puissance du gouvernement même si une relation

un Héros car malgré la supériorité de Achille , il est déshumanisé . *Distinction entre convaincre et persuader . Les auteurs utilisent une argumentation indirecte par l'intermédiaire d'une leçon , on appelle ça la stratégie du détour , ce récit est la avant tout pour nous toucher , dans le but final de nous faire réagir . Une autre démarche peut être utilisé , c'est la force de conviction , Les auteur ne adresse plus au cœur mais a notre raison , en exposant directement leurs point de vue