La Liberté Conventionnelle Rousseau

d’organisation et de constitution de syndicat. Il y avait même des sanctions pénales ; le législateur était particulièrement hostile à l’encontre des syndicats professionnels. C’est un siècle plus tard avec la loi Waldeck Rousseau du 21 mars 1884 qu’a été posé le principe de la liberté syndicale. Les individus ont désormais le droit de se grouper pour la défense d’intérêts économiques, industriels, commerciaux et agricoles. Ce droit est reconnu aux salariés et aux employeurs, mais à ce stade de l’évolution

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valable et l'oblige à l'executer. Il y a plusieur moyen de classer des obligations, une obligation est classée soit selon leur source, objet, intensité. 1) classification selon source de l'obligation: Le CC distingue les contrats et obligations conventionnelles ( titre 3) des engagementts qui se forment sans conventions( titre 4). Dire que l'obligation trouve sa source dans une convention signifie de manifester la volonté de créer des effet de droit par acte juridique. Lacte juridique est svt un contrat

créatrice et comme pénible (manuel ou intellectuel peut être un besoin vital, l’occasion de réaliser une œuvre, être un moyen pour l’homme de s’accomplir). Le travail peut être une nécessité pour gagner sa vie, incompréhensible car destructeur des libertés. La vie commence donc qu’à la fin du travail, avec le loisir et le repos. Cette ambiguité de cette notion a des répercussions directes sur la notion même de relation de travail qui est en conséquence imprégnés de l’antagonisme employeur/employé.

Révolution Française est paradoxale, on peut relever deux paradoxes. Le premier est que la RF se fait au nom de la liberté mais aussi de la légalité, ce qui signifie donc que la monarchie était une monarchie tyrannique et inégalitaire, or il se trouve qu'au regard d'autres pays européens, la monarchie française à la fin du XVIIIè siècle, est l'un des Etats où règne la plus grande liberté et qui de surcroit a fait d'importants progrès en matière d'égalité. Le règne de Louis XVI a été marqué par des

les faibles qui attendent de la société protection et sécurité. Une égalité entre les hommes se met en place. On réduit l'homme à un être social tenu de se conformer à une vie collective. Les pensées conscientes qui ont pour support un langage conventionnel et utilitaire sont impersonnelles . Elles ne sont que le fruit d'une vie en communauté ( différence entre la communication et le dialogue ) -Il apparaît clairement un effondrement du sujet et de sa toute puissance. Le sujet n'est plus celui

ecclésiastique est tellement pesante qu'il impossible de parler de liberté pour parler de la majorité des membres qui la composent. Les nobles quant à eux sont engagés dans des liens de fidélité, remettant en question leur liberté supposée. Quant aux tiers, c'est globalement un groupe qui dispose peu de libertés, avec des privilèges arrachés aux seigneurs. Une société donc peu dominée par la liberté, terme pourtant récurrent comme "libertés" faisant référence aux privilèges de l'Ancien Régime. II.

construction de l’extrait dont le fond est l’éducation morale, encadrée par l’apparence sociale. L’être est donc bien au cœur du paraître. - Mais l’originalité pour l’époque et ce milieu aristocratique, c’est que la mère, au lieu de profiter de la nouvelle liberté à la Cour de son statut de veuve, dégagée de la tutelle des hommes,  « avait donné ses soins à l'éducation de sa fille ». A l’époque, les jeunes filles étaient éduquées, soit au couvent pour les cadettes, soit par des précepteurs, soit pas du tout 

Mais son père, opposé à ce mariage, le fit enfermer dans un couvent dont il s’échappa pour l’épouse dans un mariage secret que le père n'apprit qu'en 1749. En 1743, il publia sa traduction de "L'histoire de la Grèce" de Temple Stanyan, et se lia à Rousseau qui lui fit rencontrer Condillac en 1744. En 1745, il publia sa traduction de l’’’Essai sur le mérité et la vertu’’ de Shaftesbury. Son mariage n’était pas heureux car, si l'amante séduisit, l'épouse lassa. Il la nommait tantôt « Nanette », tantôt

apparaît sous des formes héroïques, précieuses (L'Astrée d'Honoré d'Urfé) ou burlesques (Le Roman comique de Scarron). Le théâtre développe des formes très diversifiées inspirées des modèles antiques mais les dramaturges ne se privent pas d'une certaine liberté. Corneille est soutenu par Richelieu, grand amateur de théâtre. Entre 1660 et 1685, la littérature comme l'ensemble des arts suit des règles strictes édictées au nom de la bienséance, de la vraisemblance et du bon goût, considérées comme indispensables