La Liberté De Pensée

analyse concerne le thème de la liberté liée au travail rémunéré. La notion de liberté est définie par le fait d’avoir la possibilité d’agir sans aucune contrainte. Le travail rémunéré quant à lui, représente la base de ce qui constitue l’identité de l’être humain et il est nécessaire pour combler ses besoins. La problématique de ce texte est : le travail rémunéré menace-il la liberté de l’être humain ? Il est primordial de se poser cette question, car la liberté de l’être humain contribue au bonheur

sommes la source unique. Autrement dit lorsque nous ne sommes pas poussés à agir par une cause extérieure, une nécessité extérieure à la nôtre, lorsque nous ne sommes pas contraints, déterminés. Dans cette perspective, seul Dieu dispose d'une liberté absolue : seul il est cause de lui-même (causa sui), seul il n'est contraint par rien. Au sein de la nature (= l'ensemble des phénomènes physiques régis par des lois), tous les êtres tirent leur existence et leur mouvement d'un autre être : nul

rapports entre la conscience et la liberté. Le succès de la philosophie de Sartre en France et la diffusion de sa pensée dans les programmes scolaires ont éclipsé toute la tradition philosophique d’avant-guerre en France Jean-Paul Sartre publie son premier roman, la Nausée, en 1938, puis un recueil de nouvelles, le Mur (1939), qui le rendent célèbre. Il fut nommé professeur au lycée du Havre en 1929, puis séjourna à Berlin de 1933 à 1934, où il découvrit la pensée d’Edmund Husserl, qui aura une grande

les opinons ? « La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’Homme : tout Citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté, dans les cas déterminés par la Loi. » Constitution des droits de l'Homme et du citoyen,article XI. Les sociétés dont la constitution se fonde sur la Déclaration des droits de l'Homme, considèrent les opinions comme étant une liberté individuelle, permettant ainsi à chacun une voix

animal pensant, son essence même est la pensée. Le cogito établit par Descartes, (la pratique d’un doute radical pour parvenir à des vérités) renforce cette idée. En effet, le «  je pense donc je suis » fait apparaître l’idée de sujet, l’idée d’individu. L’individu se distingue des animaux de par sa faculté à penser, à faire un retour sur soi. Ce retour sur soi permet une réflexion, une possibilité de douter de tout ce qu’il lui a été appris. L’homme pense, c’est un fait. La question qui se

priorité dans ces devoirs qui le pousse à accomplir primordialement des actes simples et nécessaires à son bien-être et à sa survie, personnelle, familiale ou collective ? Malgré cette prise de conscience de son existence où l’homme pense, mais surtout qu’il sait qu’il pense s’oppose une matérialité constituée d’actes primitifs et basiques et une capacité à accomplir des taches simples pour sa survie que l’homme répète de générations en générations. On est en droit de se poser la question l’homme est-t-il

libres de nos opinions? « Les gens exigent la liberté d’expression pour compenser la liberté de pensée qu’ils préfèrent éviter. » écrivait le philosophe danois Kierkegaard au XIXe siècle. La liberté d’opinion et d’expression est acquise depuis le XVIIIe siècle en France, et fait la fierté du peuple français. I. oui = pensée propre· choix individuels qu’aucune autorité ne peut contraindre (religion, préférence politique, adhésion parti politique)· liberté d’opinion est un droit fondamental démocraties

Spinoza, lettre à Schuller 1. Plan du texte : I) La définition de la liberté : Qu’est-ce que la liberté exactement, prise dans son essence ? Spinoza commence en donnant d’emblée la définition exacte de la liberté. Il ne définit pas la liberté elle-même, mais ce que serait une chose libre. Une chose qui agit sous l’effet d’une cause extérieure ne peut pas être libre. Et donc, est libre la chose qui agit d’elle-même (« par la seule nécessité de sa nature »). La définition de départ est absolument

été perçu comme l'homme qui n'a pas d'obligation. Mais, l'homme sans obligation n'est pas libre, cette homme là est soumis à la loi du plus fort. Cette liberté n'est que licence. La vrai liberté permet d'effectuer ce que l'on souhaite sans empêcher à autrui de l'effectuer aussi. Cette liberté impose des normes qui permette la vie en société. La liberté est alors soumise à une obligation extérieure, lui imposant des règles et des droits à respecter. Cette obligation sert à ce que l'homme se fixe des

sommes-nous libres un peu, beaucoup, toujours ou jamais ? Eléments d’accroche : « Liberté est un mot qui chante plus qu’il ne parle ». Paul Valéry. Elle est « chérie » dans la Marseillaise. On revendique la liberté, on se bat pour elle comme les Révolutionnaires, comme Jean Moulin, comme Mandela . C’est une revendication humaine majeure. Comment peut-on alors douter de son sens ou de sa réalité possible ? Ou : Liberté, le mot vient de LIBER en latin décrivant l’état de ceux qui n’étaient pas des esclaves