La Liberté Est Innée

sens. Dans la troisième méditation, Descartes va analyser la nature des idées, si elles sont innées, adventices ou factices et si les idées ont une réalité formelle ou objective. Il va terminer son analyse sur ce raisonnement, que Dieu est une idée innée avec une réalité objective qui le force à admettre sa réalité formelle. Dieu a pour représentation d’être parfait, il ne peut lui manquer quelque chose comme l’existence, donc il existe. Dans la quatrième méditation, Descartes va démontrer sa méthode

Peut-il y avoir liberté sans loi ? Peut-on concevoir une liberté sans loi ? La question posée : Peut-il y avoir liberté sans loi ? ne revient pas à la deuxième: cad la possibilité de la concevoir ou de l'imaginer. Car c'est évident que l'on "conçoit" une telle liberté mais n'y a-t-il pas contradiction ? D'un côté, on la définit comme devant être sans contrainte, et de l'autre la liberté rencontre des empêchements ou des déterminations. Or, il est évident que la loi oblige et donc limite

cette conscience avait de se développer et qu'elle n'a pu le faire que grâce à l'expression de la pensée, car pour Nietzsche la communication c’est la faculté d’exprimer une pensée. Si la conscience a été forcée de se développer, elle n'est donc pas innée, et n'appartient pas à l'instinct. L’animal fait face à ses besoins par son instinct alors que l’homme fait face à ses besoins grâce à sa conscience. Il montre ainsi que la conscience n'est pas liée à la nature humaine, n'est pas constitutive

ainsi une manière pour lui d’attester son existence. Donc, en quoi consiste une chose qui pense selon René, c’est une chose qui doute, qui conçoit, qui affirme, qui ne nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine, et qui sent. Le tout fait que la liberté de penser établie l’être humain et le différencie de l’animal. Pour Descartes, les animaux ne peuvent pas penser. Puisqu’ils ne peuvent pas penser, ils ne peuvent pas faire de choix. L’animal est donc une machine affiné, il ne peut être en mesure

aussi régi par des passions similaires à celles de l’animal, mais il n’est pas non plus interdit de penser que sa faculté de penser est, à l’instar des passions, un instinct. Car l’homme ne peut s’empêcher de penser. C’est une faculté qui lui est innée, nécessaire et indispensable. Celle-ci ne s’arrête pas aux simples pensées conscientes qui caractérisent le langage mais également aux pensées dont nous n’avons pas conscience et qui forment une majorité de notre activité psychique. Or il a été prouvé

perpétuel dans le domaine de la connaissance, des réalisations techniques et des valeurs morales. Dans le sillage de la philosophie de Locke, les penseurs du XVIIIe siècle considéraient, à la différence de Descartes, que la connaissance, loin d'être innée, procédait uniquement de l'expérience et de l'observation guidées par la raison. Ils affirmaient que l'éducation avait le pouvoir de rendre les hommes meilleurs et même d'améliorer la nature humaine. La recherche de la vérité devait se poursuivre dorénavant

l'intention. Nous formons la représentation d'un but à atteindre, puis nous passons à l'acte pour y parvenir. Cette attitude est même, selon Kant, le propre de l'homme, comparé aux animaux qui sont mus par l'instinct. Ce dernier terme désigne une conduite innée, inconsciente, qui pousse irrésistiblement l'animal vers ce qui lui est nécessaire. À l'inverse, l'homme a la capacité de former des idées de ce qu'il désire et de réfléchir aux meilleurs moyens de l'atteindre. L'action est donc liée à la conscience

On peut partir d'une définition de l'injustice à partir de son terme antagoniste, c'est-à-dire la justice. La justice peut avant tout être perçue comme une valeur morale: c'est le respect et l'équité à l'égard d'autrui. Cette attitude supposée innée à la conscience humaine serait à l'origine d'un sens de la justice, valeur universelle. Pour Platon comme pour Aristote, la justice est une vertu individuelle de l'harmonie. Dans Gorgias, Platon dit que « Commettre l'injustice est pire que la subir

Révision Examen 2 NIETZSCHE La liberté : -Une conquête - Affirmation de soi par rapport à l’autorité religieuse et sociale - La liberté est la condition première -> la liberté d’action -> Nous ne pouvons pas la refuser, refus des excuses, responsabilité et engagement Vision chrétienne de l’homme : - La religion assure la survie de la société. - Répond à la question du sens de l’existence - Respect de la morale au sein de la société - Explique l’origine du monde - Organise l’ordre

n'est pas chose vraie, la liberté n'est pas innée, elle a besoins d'être acquise. Comment cette liberté peut être obtenue ? S'opposer c'est refuser, empêcher ou encore résister à quelque chose, l'opposition peut être faite au nom de la liberté. Pour acquérir ou encore récupérer cette dernière. L'opposition est-elle la solution ? Faut-il s'opposer pour être libre ? Pour répondre à cela, nous verrons dans une première partie que l'opposition est nécessaire pour préserver la liberté. Néanmoins selon la conception