La Litterature Pour Instruire

limite beaucoup la littérature , et dans ce cas cette déclaration de la Bruyère réduit beaucoup la vocation de la grande majorité des textes poétiques ou littéraires. Dans quel sens peut on comprendre cette vocation assignée à la littérature ? I.Un idéal des Lumières : ''savoir'' grâce à la littérature . Dans ce texte , qui date de la deuxième moitié du XVIIe siècle (1688) La Bruyère se montre pleinement en accord avec son temps : l'un des impératifs de la littérature est le triptyque :

Alors est ce que la phrase « il faut instruire et plaire » s’applique à la littérature classique. Nous allons donc voir si la littérature classique peut tenir un rôle instructif par rapport à son lecteur et agréable (ludique).Nous allons donc voir en quoi la littérature classique s’efforce de plaire et ensuite en quoi la littérature classique s’efforce d’instruire puis nous rejoindrons ces deux problématiques pour finalement se poser la question en quoi la littérature classique s’efforce d’instruire son

illustrer, de façon plaisante en utilisant le symbole animal, une leçon ou une question morale. On retrouve ainsi dans la fable de La Fontaine comme dans la littérature classique les deuxambitions qui doivent animer l'auteur ; le devoir d'éducation : docere, et l'art de plaire et de séduire : placere. La Fontaine se sert des animaux pour instruire les Hommes. Avec la fable La Génisse, laChèvre et la Brebis en société avec le Lion, écrite en 1668, Jean de La Fontaine veut amener à réfléchir sur l'autorité

III. Discussion (50 points) La littérature a toujours était utiliser, elle est d’une certaine importance dans la vie pour l’éducation et le plaisir. Dans le sujet La littérature, pour quoi faire? de Compagnon, il se pose les questions : « Quelles valeurs la littérature peut-elle créer et transmettre dans le monde actuel ? Est-elle profitable dans la vie? ». Autrement dit : « Est-elle bénéficiale? » Nous montrerons tout d’abord les valeurs de littérature puis dans un deuxième temps nous verrons

afin de mieux atteindre son but ; les auteurs français de l’époque classique, Molière, La Fontaine, La Bruyère entre autres, ont repris cette recommandation pour dire qu’il faut « plaire et instruire ». L’idée que le plaisir est nécessaire, même pour l’instruction morale, remonte donc aux origines de la littérature occidentale et on pourra retrouver cette idée dans le recours aux paraboles lorsqu’il s’agit de l’enseignement religieux. Dans sa Préface aux Caractères, La Bruyère reformulera ce questionnement

envisager l'évolution de ses sociétés sans y inclure l'influence de la littérature. Parmi les fonctions de la littérature dans une société Aragon ne cite que celle qui semble essentielle à ses yeux, en affirmant : « notre plume doit être une épée ». Il pose ainsi le problème des différentes fonctions possibles de la littérature dans une société. À partir de là, on pourra considérer , à la suite d'Aragon, que la littérature doit s'engager ; cependant, on considère qu'elle peut aussi être instructive

piquant et de l’agréable sil l’on veut toucher » Ainsi nous nous demandons de quelle manière La Fontaine considère la littérature, et s’il en est de même pour tous les auteurs ? C’est à dire que nous nous interrogeons sur le but de l’écrivain, à quelle fin utilise-t-il sa plume et son art, et est-ce que chaque auteur, recherche la même chose. Nous traiterons tout d’abord de la littérature selon La Fontaine, puis nous généraliserons aux autres auteurs. Cette citation repose fondamentalement sur la

l'amélioration du sort des hommes. La littérature a-t-elle le pouvoir d'intervenir sur le monde et sur les consciences pour les transformer ? Après avoir analysé la fonction dénonciatrice de la littérature, nous étudierons les effets de cette dénonciation. Puis nous nous interrogerons sur les limites d'une telle définition. Sujet : Zola écrit qu'il "aurait voulu aplatir le monde d'un coup de [sa] plume", en forgeant des fictions utiles. Pensez-vous que la littérature, en particulier sous la forme de l'apologue

dre son but ; les auteurs français de l’époque classique, Molière, La Fontaine, La Bruyère entre autres, ont repris cette recommandation pour dire qu’il faut « plaire et instruire ». L’idée que le plaisir est nécessaire, même pour l’instruction morale, remonte donc aux origines de la littérature occidentale et on pourra retrouver cette idée dans le recours aux paraboles lorsqu’il s’agit de l’enseignement religieux. Dans sa Préface aux Caractères, La Bruyère reformulera ce questionnement en

SUJET DE REFLEXION GUIDEComment la littérature nous permet-elle de nous instruire ? Nous allons parler de la littérature et ses différents thèmes qui existent, et nous poser la question suivante : de quelle façon la littérature nous permet-elle de nous instruire? Nous verrons que la littérature nous permet dans un premier temps de découvrir de nouveaux univers, dans un second temps de comprendre l'Histoire, dans un troisième temps de dénoncer les travers de la société et enfin d’inciter