La Littérature Divertissant

Introduction Après avoir étudié le roman et la poésie, nous allons maintenant voir un genre littéraire assez diffèrent de part leur forme ainsi que leurs façons de toucher le lecteur comme le théâtre, qui occupe une place importante dans la littérature française et qui consiste à mettre en scène une histoire composé de dialogue entre les personnages. Dans ce dossier littéraire, je vais m'intéresser au genre théâtrale, je vais d'abord définir le théâtre, ensuite je décrirai les fonctions du théâtre

devint politique, cruelle, implacable et ne craignit pas de remonter jusqu'à l'empereur. Elle désignait, avec une crudité d'expressions qu'on couvrait d'applaudissements, les crimes et les voluptés infâmes de Tibère. » Malgré une visée toujours divertissante, l’atellane, victime de son choix politique, de représentions de plus en plus obscènes et de l’évincement de la suprématie du jeu d’acteur adoré dans le mime ou la pantomime, connut une décroissance de l’engouement du public. L’historicité théâtrale

paradoxalement, la littérature et l’art en général choisissent souvent des registres plaisants pour traiter de ces sujets essentiels : La Fontaine ou Molière, l’un dans ses fables, l’autre dans ses comédies, Voltaire, dans ses contes philosophiques, ont pris le parti de « plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L’humour pour divertir • La Fontaine s’en explique : « Une morale nue apporte de l’ennui ». Car l’humour, par son côté divertissant, détend, évite l’ennui

créateur et le monde. Elle se distingue ainsi du simple langage oral qui ne soucie pas de rythmes, de sonorités. La poésie est donc dans son essence « lyrique », dans le sens du chant, comme dans un opéra lyrique par exemple. Le registre lyrique en littérature correspond à l'expression, voire à l'exaltation, des sentiments personnels de l'auteur ou du personnage. La poésie, forme qui privilégie le lien entre le poète et le monde qui l'entoure, semble propice à cet épanchement du cœur. Aussi pouvons-nous

Or, paradoxalement, la littérature et l’art en général choisissent souvent des registres plaisants pour traiter de ces sujets essentiels : La Fontaine ou Molière, l’un dans ses fables, l’autre dans ses comédies, Voltaire, dans ses contes philosophiques, ont pris le parti de « plaire » pour mieux mener leur réflexion, argumenter et « instruire ». 2. L’humour pour divertir La Fontaine s’en explique : « Une morale nue apporte de l’ennui ». Car l’humour, par son côté divertissant, détend, évite l’ennui

42 : discours du renard du plus important au moins important 4) vers 43 à 48 : la cour 5) vers 49 à 54 : discours de l’âne 6) vers 55 à 62 : verdict et condamnation 7) vers 63 et 64 : morale 1) La peste est le mal par excellence dans la littérature. La Peste est une entité (P majuscule) qui fait la guerre aux animaux (vers 6). anaphore de « mal » aux vers 1-2 insistance sur la mort : hyperbole « Capable d’enrichir l’Achéron » (vers 5) → beaucoup de victimes chiasme « Ils ne mourraient

officier de santé, viennent de s’installer à Yonville. Le jour de leur arrivée, ils dînent en compagnie du pharmacien Homais et de Léon Dupuis, jeune clerc de notaire. Pendant que Charles et Homais discutent ensemble, Léon et Emma rêvent de voyage, de littérature et de musique. L’extrait, pour lequel nous proposons une analyse, se situe après cette première rencontre entre Léon et Emma. Nous montrerons que les détails réalistes sous-tendent une satire du milieu décrit et du conformisme qui lui est rattaché

capable de penser par soi-même malgré l’influence de notre entourage. Gustave Flaubert, auteur du milieu du XIX siècle, met en relation ces deux termes. Ayant connu pendant son enfance en province une vie monotone, il s’est rapidement adonné à la littérature, qui lui évitait de s’ennuyer. Fort de cette expérience, il présente la lecture comme un acte capital pour vivre. La lecture est-elle indispensable au point de nous faire vivre ? L’affirmer n’est-il pas réducteur ? Pouvons nous ne pas lire et vivre

chose de libérateur. Beaucoup d’auteurs ont ainsi désacralisé les valeurs admises et se sont moqués du principe d’autorité. Pour finir, le registre comique au théâtre permet de dénoncer les problèmes politiques et moraux mais il garde un rôle divertissant. N'est-il pas normal d'aller voir une comédie pour se détendre, se divertir et oublier ses soucis? La comédie a pour fonction de corriger les mœurs en riant (castigat ridendo mores). Elle permet à l'individu d'échapper à la réalité de la vie quotidienne

tourné en ridicule par Toinette, sa servante. De même, Marivaux, dans l’Ile des esclaves, utilise deux personnages de nobles stéréotypés et les réconcilie avec leurs valets dans une harmonie qui, une fois de plus, réfute les défauts tout en divertissant. Ex :Dom Juan : Toutes les couches de la société sont représentées, ce qui va à l'encontre du théâtre classique. La pièce rompt aussi avec les conventions sociales. Les règles de la bienséance et de la vraisemblance sont bafouées. Les valeurs