La Littérature Défend T Elle Des Idées

socialiste allemand • Origine sociale : Issus d’une famille juive, avec de nombreux rabbins (dont son frère + journaliste) ; son père=conducteur de train -> vit dans la précarité (libéralisme) • Etudes : Collège (passion math + littérature) + • Carrière (linsting) : - Il obtient un emploi assez bien rémunéré dans la haute banque des Rotschild. - Parallèlement, il donne de multiples conférences au sein du SPD. - 1872, devenu un membre du Partie

On se demande souvent si la littérature peut encore être subversive dans une société comme la nôtre, c’est-à-dire une société où la liberté d’expression et d’opinion permet de dire et de publier tout ce que l’on veut sans crainte des représailles et de la censure. Car moins la littérature est menacée, moins elle peut s’engager pour défendre la liberté de parole et plus elle perd cette fonction politique qui faisait sa force lorsque la société était encore surveillée. Italo Calvino souligne ce paradoxe

exprime sous forme incidente : « par ailleurs, c’est …. Théories, etc.… » . Ponge défend l’idée d’une poésie, et par delà d’une littérature, qui place le signifiant au cœur de ses préoccupations. Au lieu de faire porter l’accent sur ce que l’écrivain a à dire (affects, pensées, visions du monde,…), il choisit d’insister sur ce que les mots eux-mêmes ont à dire. Paradoxalement, il ne s’agit pas d’enfermer la littérature dans une conception autotélique mais de permettre à l’homme de renouer avec le monde

Sédécie sa défection et son ingratitude, il s’emporte et insulte le Dieu d’Israël, responsable à ses yeux de cette forfaiture. Il accuse le grand Pontife Sarrée et les prophètes d’avoir entraîné Sédécie dans cette attitude. Sédécie est Juif et défend son Dieu avec vigueur : «  Le Dieu que nous servons est le seul Dieu du monde, 1391 Qui de rien a basti le ciel, la terre et l’onde : C’est luy seul qui commande à la guerre, aux assaus : Il n’y a Dieu que

subversives, notamment lorsqu'elles sont produites en des temps particulièrement tourmentés et nécessitant la défense de certaines idées ou d'idéaux en danger. Les causes d'engagements sont nombreuses : elles peuvent être philosophiques, l'auteur prend position dans une querelle d'idées (durant les guerres de religion, dans la deuxième moitié du xvie siècle, Aubigné défend les protestants avec Les Tragiques cependant que de son côté Ronsard consacre aux catholiques son Discours sur les misères de ce

Français: dissertation Depuis toujours, la littérature Française fait l’objet de grands débats sur des thèmes différents les uns des autres. C’est donc pour cela que les auteurs doivent pousser les lecteurs à les croire, ils utilisent pour cela des procédés littéraires qui renforcent leurs thèses. Nous allons donc nous demander ‘’Par quels moyens les textes littéraires peuvent-ils se révéler particulièrement puissants pour défendre une cause ?’’ Notre réflexion sera donc portée sur les outils

œuvre de fiction, dans le genre du récit, qui defend un certain nombre de principes, qu’ils soient moreaux, philosophique ou religieux. Cette défense peut être implicite ou explicite : elle se manifeste généralement par les experiences et les opinions des personnages. L’engagement de l’ écrivain par l’écriture lui permet de jouer un rôle auprès de ses contemporains et dans la société de son temps. Elle lui donne la possibilité d’agir et d’imposer ses idées : l’écriture devient alors une arme au servie

par une crise violente. Un nouveau système politique s’instaure, provocant un changement social et moral au même temps. Tout cela, avec une révolution intellectuelle, aboutit à la Révolution Française. Quant à la littérature, l’idéal classique laisse sa place au préromantisme et les idées des auteurs vont étroitement liées à celles de la Révolution. 2.1. Histoire La grandeur du règne de Louis XIV pendant le XVIIe siècle connait sa chute au début du XVIIIe siècle. Les mœurs se « relaxent »

rimes ou de tournures de phrase : là, dans un poème, l’expression est « trop fanfaronne est fière pour le sujet »6, ailleurs, dans L’Institutrice, pièce à laquelle Flaubert reproche un style « mou et lâche, et composé de phrases toutes faites »7, les idées sont lentes et causent l’ennui du spectateur, car le style n’est pas « condensé », une scène est « démesurée de longueur »8, et les dialogues manquent de mouvement. Condenser, raccourcir, éviter les longueurs et surtout l’épanchement des émotions :

Contradiction Dans la littérature russe du XIXe siècle, deux auteurs sont incontournables : Anton Tchekhov et Léon Tolstoï. Ces deux écrivains maintiennent une relation très spéciale pendant plus que vingt ans, c'est ils sont contradictoires dans l'histoire. En effet, ils s'admirent beaucoup en considérant que l'autre est un monument inégligeable dans l'histoire de la littérature.[1] Mais ils se méprisent en même temps parce que la philosophie de Tolstoï est parfois très différente de celle de Tchekhov