La Littérature Dénonce Les Horreurs De Notre Temps

LA LITTERATURE EST TOUJOURS, MÊME QUAND LES ECRIVAINS EXPLIQUENT COMMENT ILS SE SENTENT MAL OU POURQUOI IL FAUT SE SENTIR MAL, UNE FACON DE SE SENTIR MIEUX ?Le syndrome de stendhal est surplue d’émotion ressenti après avoir vu une œuvre d’art, provoquant un malaise. Stendhal est le premier a le décrire , en 1817 dans son œuvre « Rome, Naples et Florence ». Il trouve le remède : la littérature En effet, quand il se sent partir, il prend son petit carnet dans lequel quelque vers sont écrits. La littérature

Holliday, Strange Fruit, tu connais ? K : Eh, moi je connais. C : Fait tourner. K : Je pense pas que ça va te plaire, c’est du Jazz (Pendant ce temps Curtis écoute Strange Fruit) C : Du Jazz ?! Mais c’est de la musique de vieux ça ! Ch : Vas-y dis pas ça Curtis, ça fait partie de nos racines. K : Ouais, en plus cette chanson a servit à dénoncer les lynchages pendant la période de la ségrégation. C : Ah ouais, je suis en train de lire un livre sur ça (Il sort le livre de son sac et le montre

dans l’espoir que de telles horreurs ne se reproduiront plus jamais . Problématique : Dans quel but les artistes réalisent ils des œuvres sur la guerre ?  (Conclusion) Les artistes de professions différentes ( peintres , écrivains , musiciens ) , ont crée des œuvres ayant pour sujet la guerre , tout d’abord par devoir de mémoire , pour que personne n’oublie , et ne refasse les même erreurs que dans le passé , mais aussi pour dénoncer , critiquer les horreurs de la guerre , ils accomplissent

Instance du département de la Seine est la projection de l’avoué que l’auteur aurait pu être, s’il n’avait pas décidé d’abandonner à l’âge de 20ans, l’étude de notaire où il travaillait, pour se consacrer à la littérature. Les deux extraits nous montrent une posture de Derville qui évolue avec le temps entre 1819 : date vraisemblable de la scène de l’extrait A, et 1840 : le dernier épilogue, texte B. Derville apparaît d’abord, texte A, comme un avocat expérimenté et habile, voulant gagner la partie sans

pensez-vous la littérature incite l’homme à se révolter ? En ces temps de crise, les individus commencent à se révolter, en cherchant différentes manières pour pouvoir accéder à leurs libertés (liberté d’expression, liberté culturelle). La littérature est a moitié mise de coté, par la fermeture des théâtres, des bibliothèques ou autres. Mais en contre partie, les librairies sont encore ouvertes. La littérature incite-t-elle l’homme à se révolter ? La littérature est un ensemble d’œuvres écrites

leur muse. Il s’agissait pour eux de déterminer le rôle de l’artiste, son utilité sociale : être le guide inspiré découvrant les liens invisibles entre le moi et l’univers ou plutôt le chantre des combats dans l’arène sociale ? L’histoire de notre littérature oscille entre le lyrisme personnel illustré par du Bellay, Baudelaire, Rimbaud, et l’engagement dans les préoccupations de l’époque comme avec Agrippa d’Aubigné, Boileau, Chénier, les poètes de la Résistance. D’autres comme Ronsard ou Hugo ont trouvé

leur muse. Il s'agissait pour eux de déterminer le rôle de l'artiste, son utilité sociale : être le guide inspiré découvrant les liens invisibles entre le moi et l'univers ou plutôt le chantre des combats dans l'arène sociale ? L'histoire de notre littérature oscille entre le lyrisme personnel illustré par du Bellay, Baudelaire, Rimbaud, et l’engagement dans les préoccupations de l'époque comme avec Agrippa d’Aubigné, Boileau, Chénier, les poètes de la Résistance. D'autres comme Ronsard ou Hugo ont trouvé

Lecture analytique : Damilaville, Encyclopédie, « Paix » Questions préparatoires : La nature du texte 1) la nature du texte : genre ? Ce texte appartient au genre de la littérature d’idées Article de l’Encyclopédie : 2) Type de texte ? il s’agit d’une réflexion sur la guerre et la paix , c’est donc un texte de type argumentatif 3) Registre : l’effet qu’il veut produire sur le lecteur C’est un texte engagé dans l’actualité, dont il

chants, conçu pendant les haltes des combats, au milieu des carnages et du tumulte des guerres de Religion. Elles sont comme un brûlant météore dans le ciel de la France apaisée, ou presque, qui tente à cette époque de refouler les traumatismes, horreurs et injustices du passé. L’œuvre paraît sous Louis XIII, mais l’esprit qui l’anime est celui des batailles du siècle précédent.             Sept chants, vingt ans après les guerres, pour rappeler aux siècles oublieux les « Misères » (titre du livre

chanteurs se devraient d’avoir une conscience politique. Examinons si la peinture, la musique, le cinéma ou la chanson recèlent de telles œuvres. En peinture, nous pouvons citer Goya et son Tres de Mayo, Goya, qui avait la guerre et la violence en horreur, voulut avec cette toile commémorer l’exécution des suspects de l’insurrection du 3 mai 1808 contre l’occupation napoléonienne en Espagne. Désirant se faire le témoin de ces massacres, l’artiste choisit de montrer sur chaque visage la réaction de