La Loi Khi Deux

Hipp. Demi-sang. des membres antérieurs du cheval. LÀ adv. et interj. COI, COITE adj. ART n.m. LA art., pr.pers. et n.m. LÉ n.m. Largeur d'une étoffe entre ASA I n.m. Phot. Ancienne échelle COL n.m. CON, CONNE adj. et n. de sensibilité. ses deux lisières. COQ n.m. LI n.m. Mesure itinéraire chinoise. ASE n.f. Enzyme. COR n.m. AVE I n.m. Prière à la Vierge. LU, E p.p. lire. COU n.m. AXA à v . axer. MA à mon. CRÉ interj. Fam. Sacré ! AXE n.m. ME pr.pers. CRI n.m. BAC n.m. MI n.m

l'amélioration de sa gestion économique bénéficient en premier lieu à cette mission qui constitue le fondement de sa culture d'entreprise. 1.2.2 Organisation du groupe SONELGAZ : Sonelgaz a adapté son organisation aux principes et dispositions de la loi n° 02-0 1 du 05/02/2002. Ses organes de direction se sont renforcés pour mettre en oeuvre sa stratégie et réaliser ses objectifs. Le groupe Sonelgaz est constitué de la société mère (Administrateurs Délégués, Directions générales et Directions Exécutives)

une firme d’avoir une réelle politique d’innovation, qu’il le serait pour un Etat de disposer du meilleur armement dans un conflit classique pour espérer vaincre l’adversaire. Dans la loi du marché, cette adversité existe à plusieurs niveaux. Elle prend alors le nom de concurrence. Généralement, elle concerne deux ou plusieurs entreprises évoluant dans le même secteur d’activité. Cependant, sa sphère d’influence peut transcender le simple cadre d’un secteur d’activité pour englober l’ensemble des

e e 2.1.1 Loi de Bernoulli . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.2 Loi binomiale . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.3 Loi hyperg´om´trique . . . . . . . . . . . . e e 2.1.4 Loi de Poisson ou loi des ´v´nements rares e e 2.1.5 Loi binomiale n´gative . . . . . . . . . . . e 2.1.6 Loi de Pascal . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 Quelques lois de probabilit´ continues . . . . . . . e 2.2.1 Quelques d´finitions pr´liminaires . . . . . e e 2.2.2 Loi normale ou de Laplace Gauss . . . . . 2.2.3 Loi du χ2 .

entièrement caractérisée par ses deux premiers moments et la fréquence de ces évènements rares s’en déduit). Ainsi la théorie des valeurs extrêmes qui consiste à analyser les occurrences présentant des fréquences très faibles apparaît comme un outil particulièrement bien adapté pour notre étude. L’objectif de cet article est de comparer et évaluer la performance des résultats des VaR calculées, sur le marché boursier tunisien représenté par l’indice Tunindex, selon les deux approches : l’approche classique

des antécédents de xi par X : {ω ∈ Ω|X(ω) = xi } est l’événement noté : {X = xi }. La probabilité de l’événement {X = xi } se note : P (X = xi ). Définition 2.3 (Loi de probabilité d’une variable aléatoire discrète) Soit X une variable aléatoire discrète. Soit {xi ∈ R | i ∈ I}, avec I ⊂ N, l’ensemble des images par X des éléments de Ω. La loi de probabilité de X est l’ensemble des couples : (x i , P (X = xi )) pour i ∈ I. Définition et notation 2.4 (Espérance) Soit X une variable aléatoire discrète prenant

approximatif au milieu de la brèche). A cet endroit, la vallée du cours d’eau à franchir est caractérisée par une brèche moyennement large (environ 250 m), des berges non-dénivelées et au fond très encaissé : Elle est encadrée par deux terrasses culminant à la côte 40 m NGM dans les deux rivés. La zone constituant le berceau du lit principal de l’oued est large d’environ 40m et présente un fond à la côte 4 m NGM. 1.2.2. Géologie : Un extrait de la carte géologique incluant la zone d’étude, à l’échelle 1/50

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 3 4 5 6 Introduction aux probabilités Les probabilités : Pourquoi faire ? Definitions . . . . . . . . . . . . . . . . Exemple: lancer deux dés . . . . . . Ensembles . . . . . . . . . . . . . . . . Modèle probabiliste . . . . . . . . . . Propriétés . . . . . . . . . . . . . . . . Probabilité conditionnelle . . . . . . Un nouvel Univers . . . . . . . . . . . Exemple: fausse alarme . .

connaissances d’1 h 30 organisée en centre d’examen par la DRASS. - DF 2 : Deux épreuves : o Evaluation du stage ou de l’exercice professionnel par le terrain de stage et l’établissement de formation. o Soutenance orale de 30 minutes d’un compte rendu d’interventions organisée en centre d’examen par la DRASS. - DF 3 : Soutenance orale d’un projet d’animation de 30 minutes organisée par le centre de formation. - DF 4 : Deux épreuves : o Evaluation du stage ou de l’exercice professionnel par le terrain

homogènes. Le troisième chapitre décrit la méthodologie de collecte données au niveau du ménage rural et cite un certain nombre de statistiques descriptives ayant pour fin la quantification de l’impact de deux routes choisies. Enfin, dans le dernier chapitre nous avons essayé de construire deux modèles statistiques, le premier pour prévoir l’impact de la construction de la route sur la continuité des études au collège de l’élève rural, le second pour savoir et prévoir l’effet de la route sur le coût