La Lucidité Rend T Elle L Homme Pessimiste

soit forte : il y a des illusions obsédantes. Il faut qu’elle soit compatible avec la réalité autrement dit réalisable. La bonne vision, c’est l’imagination orientée dans le sens du réel, apte à le prévoir, à l’interpréter, à l’ordonner ; elle rend l’homme maître de son destin, sauf dans la mesure où peuvent survenir des événements imprévisibles. La mauvaise vision, c’est l’extravagance du fou, l’exaltation du “visionnaire” qui raisonne en dehors de la réalité. La bonne imagination, c’est

tendance à la dépression. Elle était la sœur d’Alfred Le Poittevin, qui était le filleul du dr Flaubert et l’ami de coeur de Gustave Flaubert mais qui avait épousé Louise, sœur de Gustave Maupassant. Celui-ci, le père du futur écrivain, était un bel homme mais velléitaire, frivole, incertain, lointain, déséquilibré, violent, incapable d’assumer son rôle de chef de famille. Laure lui aurait déclaré : « Je vous épouserai à la condition que vous vous trouviez une particule. Cherchez dans les siècles passés

galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’ et ‘’Andromaque’’ avaient séduit la cour, les gens du monde et les femmes, il fallait maintenant rallier les doctes et les admirateurs de Corneille, qui en avaient critiqué la galanterie, comme fade

compte du contexte (ici : le problème posé à partir des éléments précis de CE texte). exemple : "Toute amitié doit être recherchée pour elle même ; elle a cependant l'utilité pour origine." (Épicure, Sentences vaticanes, 23) hors-sujet : Tout homme recherche l'amitié. En effet, sans ami la vie est triste et monotone. L'ami état celui a qui on fait entièrement confiance, celui qui vit sans ami ne pourra jamais partager son intimité avec personne. Sa vie sera vide, et il sera condamné à se satisfaire

l’intérêt psychologique (page 48) l’intérêt philosophique (page 63) la destinée de l’œuvre (page 67) l’étude d’un passage (page 72) Bonne lecture ! Résumé Première partie Chapitre I : Un lundi de février 1865, vers trois heures du matin, un homme arrivait à Montsou, l’une des mines du nord de la France et, dans la nuit, découvrait une fosse. Il conversait avec un charretier de cinquante-huit ans à qui il confiait qu’il s’appelait Étienne Lantier et qu’il était « un machineur » qui, parce qu’il

la faiblesse de sa pensée qui le fait souffrir en lui faisant comprendre qu'il n'est rien. Cette petitesse peut cependant être consolée par un sentiment panthéiste : Et devant l'infini pour qui tout est pareil, Il est donc aussi grand d'être homme que soleil ! (Lamartine, Harmonies poétiques et religieuses) Cette vision peut également faire du poète un mage : l'infini est ainsi le centre du recueil d’Hugo, Les Contemplations. L'esprit s'arrête « éperdu au bord de l'infini », et accède aux

galanterie, de ses héros sympathiques, de son dénouement heureux pour les victimes désignées. Racine voulut-il séduire par la surprise? Cet ambitieux irrité par les critiques voulut-il remplacer la galanterie par I'Histoire, et projeter la violence d'un homme irritable et concupiscent. Alors qu’‘’Alexandre’’ et ‘’Andromaque’’ avaient séduit la cour, les gens du monde et les femmes, il fallait maintenant rallier les doctes et les admirateurs de Corneille, qui en avaient critiqué la galanterie, comme fade

sociales : « La Société ne fait-elle pas de l’homme, suivant les milieux où son action se déploie, autant d’hommes différents qu’il y a de variétés en zoologie ? Les différences entre un soldat, un ouvrier, un administrateur, un avocat, un savant, un homme d’État, un commerçant, un marin, un poète, un pauvre, un prêtre sont aussi considérables que celles qui distinguent le loup, le lion, le corbeau, le requin, le veau marin, le brébis, etc. Il a donc existé, il existera donc de tout temps des Espèces

qu’un ordre politique stable est possible sur la base de la souveraineté individuelle et du consentement (contrat social), un ordre économique est possible sur la base du libre choix de chacun. Ces théories libérales s’opposent donc aux discours pessimistes de ceux qui affirmaient que seule la contrainte pouvait éviter sur le plan politique la “ guerre de tous contre tous ” et sur le plan économique la spoliation des faibles par les forts. A. Smith, puis D. Ricardo montrent que cette idée de régulation

(monarchie absolue de droit divin, privilèges, inégalités, censure etc.), en même temps qu’il sait lui rester fidèle (fidélité à la monarchie : mais constitutionnelle et libérale, le « Philosophe » réalise la synthèse du « Libertin » et de l’ « Honnête Homme » tels qu’ils ont pu apparaître au XVII°, esprit critique héritier du « doute méthodique » de Descartes etc.). Il annonce toutefois, dans sa seconde moitié, le XIX° : révolutions politique, économique, sociale (chute de la monarchie, avènement de la