La Lumière Naturelle En Art

LEXIQUE : PIGMENT : Substance, généralement en poudre fine, insoluble dans les milieux de suspension usuels, utilisée en peinture en raison de ses propriétés optiques, protectrices ou décoratives. COLORANT : Substance colorée, naturelle ou synthétique, qui, mise en contact avec un support, dans des conditions appropriées, se fixe sur ce dernier de façon durable en lui communiquant une certaine couleur. LIANT : Vernis qui assure la cohésion et le transfert des pigments d'une

classique se glisse sans difficulté. Mais cette idée de convenance, de naturel, de raison, va subsister dans toute la tradition française. On pourrait désigner la deuxième partie du XVIIIe siècle comme étant la grande époque du sublime. C'est également à cette époque que le sublime va aboutir à une pensée philosophique, dont celle de Kant. La continuité de la variation française du sublime serait les philosophes des lumières : Diderot, Dalembert et Rousseau. La raison est évidente : ces philosophes

est accordé aux événements selon la longueur de la scène et la manière de la filmer (cf. une scène de viol : allusive ou explicite ? longue ou rapide ?) C. Le décor (la représentation de l’espace) • lieu(x) où se déroule l’action • décor(s) naturel(s) ou réalisé(s) en studio ? • espace(s) intérieur(s) ou extérieur(s) ? • jour ou nuit ? • champ (ce qui apparaît dans le cadre) ou hors-champ (ce qui se passe hors du cadre, par exemple ce que voit un personnage sans que le spectateur puisse le

libération suprême (Schopenhauer) 1 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 1 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 1 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 2 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 2 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 2 Annexe 2 Résumé 2 La question de l’imitation de la nature 2 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 2 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 2 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 2 Autres

libération suprême (Schopenhauer) 26 2. L’art au service de la vie (Nietzsche) 27 3. L’art au service du bien (Tolstoï) 28 4. Le goût comme faculté éthique et politique (Kant, Arendt) 28 5. L’art au service du politique (Platon, totalitarisme, art engagé) 28 6. Art et distinction sociale (Bourdieu) 31 Annexe 32 Résumé 32 L’art imite-t-il la nature ? 35 Toute une partie de l’art imite la nature (Arasse) 35 L’art ne vise pas à imiter la nature (Hegel) 35 La nature imite l’art (Goethe, Wilde) 36

révolution artistique Les artistes de la Renaissance proposent un art nouveau, inspiré une fois encore de l’Antiquité, qui se caractérise par une aspiration à l’ordre, à l’harmonie, à la symétrie, à l’équilibre. La peinture et la sculpture privilégient la représentation de corps nu, à l’image des statues grecques. Les tableaux sont réalisés selon des procédés mathématiques, initient l’utilisation de la perspective, les effets de lumière, le trompe-l’œil, le sfumato. De nouveaux thèmes s’ajoutent aux

particulier au Caravage de donner un sens morale à ses scène tragique. Dans les œuvres de Caravage, la lumière provient essentiellement des saints qui se trouvent dans l’œuvre alors que les autres acteurs (hommes « normaux ») sont plongés dans l’obscurité. La méthode du clair obscur permet clairement à l’artiste de transmettre ses opinions religieuses a travers son art si réaliste. Pour le Caravage la lumière que les hommes reflètent est celle que les saints émanent. Grace à cela, le Caravage nous transmet

| |Les bonnes odeurs — croit-on — désinfectent et protègent des épidémies : les riches portent des boules à parfum remplies de musc, d'ambre ou de résines | |aromatiques. L'usage du parfum accompagne la naissance d'un certain art de vivre. Les poètes chantent avec lyrisme la féminité. En dépit des mises en garde de | |l'Eglise, les galants et leurs belles savourent les plaisirs charnels dans la sensualité des bains parfumés.

attaquer ce qu’il trouve laid et il éloge ce qu’il trouve beau. Il le fait d’une façon simple, sans technicismes, pour arriver à tous les lecteurs. Il attaque la peinture baroque connue par le luxe de ses contrastes de lumière et obscurité, pour faire éclater la lumière de la simplicité. Il va à la recherche de la couleur intense de la nature. Il fait appel à un renouvellement artistique qui correspond aux différents courants d’une nouvelle culture artistique qui va ouvrir chemin vers le naturalisme

de D’Alembert est un dictionnaire universel des arts, des sciences et des métiers, cet ouvrage regroupe le savoir de l’époque concernant les métiers, les connaissances scientifiques et les découvertes. L’Encyclopédie est le symbole du siècle des Lumières. L’Encyclopédie est l’un des seuls ouvrages de connaissances contenant un nombre très important d’illustrations. Le premier volume est paru en 1751 mais l’année suivante à quelques jours après la publication du second volume, le Conseil du roi a