La Légitimité Du Président

arrive en tête. La nouvelle assemblée soumet un nouveau projet de constitution au referendum. Ce projet cette fois-ci comporte deux assemblées législatives. Cependant ce projet a été adopté avec seulement 51% des suffrages ce qui donne une faible légitimité à la IVème République (pour comparaison la Vème a été adoptée à plus de 80% des suffrages). Le document 1 nous explique que la IVème République repose sur des bases différentes par rapport à tous les autres projets de républiques précédents

faut donc dans un premier temps s’intéresser à la légitimité démocratique nécessairement disputée entre les pouvoirs législatifs et exécutifs telle qu’exprimée par De Gaulle (I), de plus De Gaulle dénonce par avance le régime d’Assemblée qu’il considère comme faible et instable en référence aux Républiques précédentes et préconise le renforcement du pouvoir exécutif au travers de la relativisation du rôle du Parlement (II) I- La légitimité démocratique nécessairement disputée entre les pouvoirs

population française dans son histoire ait eu le droit d'élire ses représentants législatifs, il n'en est pas de même pour les représentants du pouvoir exécutif. Le chef de l'Etat, emblème de ce pouvoir est défini comme le symbole de la continuité et la légitimité de l'État. Les crises issues des mouvements d'indépendances et les gouvernements ministérielles instables ont fortement affaibli l'éphémère IVè République. Tout comme la III ème République, elle a rencontré des difficultés à organiser le pouvoir

ministre reste un rouage essentiel mais si désaccord le président de la république a le dernier mot.· Evidence : le président de la république n’est pas au-dessus du régime des partis, il est aussi un acteur politique central. Le président arbitre est imaginaire. C’est aussi un acteur partisan.· Gouvernement politiquement responsable devant le président de la république (conséquence de la 1ère règle) : il a des comptes à rendre au président sur la façon dont il conduit la politique déterminée par

Existe-t-il une responsabilité du Président de la république de la Vème République ? Introduction La responsabilité pénale du président de la République pour haute trahison est la seule limite à l'irresponsabilité de droit du chef de l'État. (Article 68 de la Constitution : Le Président de la République ne peut être destitué qu'en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat. La destitution est prononcée par le Parlement constitué en Haute Cour

Pierre Lorys CURTIA 08 LE PRESIDENT AMERICAIN EST IL TOUT PUISSANT ? . Le mot « président » trouve sa racine du latin « prae » (en avant) et « sidens » (qui siège) et signifie donc celui qui siège devant les autres ; c’est la personne élue, placée à la tête d’une collectivité ou institution pour en assurer la direction. Par ailleurs, la puissance se définit comme la faculté́de commander, de contraindre, d’imposer sa volonté ou de mettre en œuvre dans certains actes des prérogatives

modification de tous les éléments du groupe. Exemple : Si la majorité parlementaire est hostile au Président, dans ce cas, cela va modifier d’autres éléments. Par exemple, la couleur de la majorité parlementaire par rapport au Président. Ces variables vont déterminer la pratique constitutionnelle, c'est à dire le choix des actes d’application de la Constitution. Par exemple, en période de cohabitation, le Président ne peut se permettre de révoquer le Premier ministre. Ces combinaisons entre régime politique

particulièrement en France, l'idée que la loi est la manifestation suprême de la volonté populaire, héritage de Rousseau et des Lumières. C'est à ce moment là qu'apparait la théorie du légicentrisme, théorie de droit où la loi est au centre de tout de part sa légitimité populaire. Ceci expliquant donc le rejet longtemps exprimé face au Constitutionnalisme, doctrine qui surgit de la pensée de l'Abbé Sieyes en 1795, lorsqu'il évoque: « une Constitution est un corps de lois obligatoires, ou ce n’est rien ; si c’est

prévoit que « le Président de la République veille au respect de la Constitution. Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l’Etat. Il est le garant de l’indépendance nationale, de l’intégrité du territoire et du respect des traités », pour la première fois dans l’histoire constitutionnelle française, un article inscrit dans la Constitution énumère les compétences générales du chef d’Etat républicain. Il fait du Président de la République

décompose en deux éléments, le chef de l’Etat et le gouvernement. Il est presque toujours bicéphale, parce qu’il y a un chef du gouvernement qui est qualifié différemment selon les lieux et les époques : président du Conseil sous les IIIème et IVème Républiques françaises ou en Italie, président du gouvernement en Espagne, Chancelier en Allemagne, Premier ministre en Grande-Bretagne et en France aujourd’hui.  Du parlement Quant au Parlement, il est souvent composé de deux chambres (bicamérisme)