La Légitimité Du Président

regime qui sont d'une part le droit de dissolution et lirresponsabilité présidentiel du a la légitimité populaire de son election depuis 1962 a / des mecanisnes de présidentialisations du pouvoir non abrogé -vote au suffrage universelle direct = entraine legitimité populaire - le droit de dissolution moyen daction contre l'assemblée national tandi que assemblé national aucun moyen d'action sur le président du fait de son iresponsabilité b/ Une revision constitutionnel de juillet 2008 qui

décision de 1971, on a craint qu’il se livre au gouvernement des juges, le gouvernement des juges étant une accusation grave parce qu’elle dénonce l’attitude d’un juge qui crée le droit alors que ce n’est pas sa vocation et alors qu’il n’a pas de légitimité politique. Le gouvernement des juges est inacceptable en France, l’autorité politique ne peut pas être dégagée par des juges en principe. Cette crainte n’a pas été fondée puisque le CC a énoncé très peu de principes fondamentaux depuis 1971,

constitutionnelle de la France », Moralito, Montchrestien. « Les constitutions de la France depuis 1789 », Godechet, Garnier Flammarion. Plan du cours : Introduction : l’état Partie I : Les institutions politiques Chapitre 1 : La légitimité du pouvoir : un état démocratique et représentatif Chapitre 2 : La modération du pouvoir : un état libéral Chapitre 3 : L’efficacité du pouvoir Partie II : Le droit constitutionnel Chapitre 1 : La norme constitutionnel Chapitre 2 : Le contrôle

INTRODUCTION « Avant d'entrer en fonction, les membres nommés du Conseil constitutionnel prêtent serment devant le Président de la République. Ils jurent de bien et fidèlement remplir leurs fonctions, de les exercer en toute impartialité dans le respect de la Constitution, de garder le secret des délibérations et des votes, de ne prendre aucune position publique, et de ne donner aucune consultation sur les questions relevant de la compétence du Conseil. » C’est ce que déclare l’article 3 de l’ordonnance

guérilla. Les médias, dans le but de diffuser des informations compréhensibles par le plus grand nombre, se sont emparés de cette caractéristique, parfois de manière caricaturale. Ils se sont énormément appuyés sur des personnages marquants, dont le président de l’Autorité palestinienne, Yasser Arafat. Depuis 1948, la représentation du conflit s’est fondée de manière significative sur la représentation médiatique de sa vie : celle de symbole vivant du retour des palestiniens sur leur terre. Pourtant son

de ces formes différentes et de leurs imbrications.L'auteur de l'extrait étudié est un éminent professeur universitaire et homme politique du 20e siècle, il fut notamment membre du Conseil Constitutionnel nommé par Valéry Giscard d'Estaing alors Président. Nous nous intéresserons ainsi à l'évolution de la classification et à l'application des régimes politiques évoqués par G.Vedel. Il évoque ainsi les régimes présidentiels et parlementaires et les compromis qu'il peut exister entre ceux-ci comme l'entends

pour s’opposer au nouveau président du Conseil, Pierre Pflimlin, considéré comme favorable à des négociations avec le FLN. Deux jours plus tard, le général de Gaulle, retiré de la vie politique depuis 1953, se dit prêt « à assumer les pouvoirs de la République » ; il est soutenu par les partisans de l’Algérie française. Le 1er juin 1958, de Gaulle, rappelé au pouvoir par le président de la République René Coty pour trouver une issue à la crise algérienne, est investi président du Conseil par l’Assemblée

l’image des deux fonctions qui la représente, à savoir le Président de la République ainsi que le Premier ministre. La fonction du chef de l’état s’apparente à garantir le pouvoir, mais surtout la continuité des institutions, mais sans les gouverner. La direction du gouvernement est alors remise dans les mains du Premier ministre. La Constitution de 1958 adapte grandement le dualisme de l’exécutif. On voit apparaître la possibilité pour le Président de la République, d’avoir tous les pouvoirs quand le

Algérienne ». Sous la pression des militaires, le président de la république somma les parlementaires d’investir De Gaulle en tant que chef du gouvernement. Par la suite, le général s’appliqua, avec l’aide de nombreux acteurs politiques, à rédiger une nouvelle constitution pour la France. Les bases de la Constitution de 1958 furent d’ores et déjà posées par le Général De Gaulle dans son discours de Bayeux en 1946. Dans ce discours, il y présente un président fort, ce qu’il considère comme une condition

démocratie, la légitimité provient essentiellement des élections. Or ce modèle de démocratie représentative reposant sur le suffrage universel doit, dans les contextes que nous étudions, cohabiter avec des modèles de légitimation traditionnels. La superposition de ces différentes pratiques donne ainsi lieu à des systèmes singuliers. L’Histoire et l’ethnologie fournissent des explications à l’émergence ou au maintien des acteurs au pouvoir et nous aident à déterminer les sources de la légitimité politique