La Légitimité Démocratique Pierre Rosanvallon

publique pour ne pas prononcer une autre expression : politiques publiques. Politiques publiques : JC Thoenig, Dictionnaire des politiques publiques (2006), définition : désigne les interventions d’une autorité investie de puissance publique et de légitimité gouvernementale sur un domaine spécifique de la société ou du territoire. (On parle de politique de santé alimentaire…). Les politiques publiques véhiculent des contenus ; elles se traduisent par des prestations ; elles génèrent des effets. Ce

pouvoir s'effectue d'élection en élection conformément à des règles du jeu qui deviennent clairement et publiquement établies. Ainsi, au cours de la IVème puis de la Vème République, la vie politique se concentre autour de ces élections. → Lire Pierre Rosanvallon - « La société des égaux » - Le Seuil – 2011 1ERE SEQUENCE – LA NATURE DU REGIME POLITIQUE Comment est-on passé d'un Empire à la République et pourquoi ? En 1870, une majorité de français était hostile à la République. C'est autour de

même nom de « démocratie ». On peut tenter de définir la démocratie par son étymologie par exemple. « demos » signifie le peuple et « cratos » signifie le pouvoir. Dans tout régime qui se définit comme démocratique il y a le peuple et le pouvoir. On va essayer de chercher une question démocratique, une reformulation historique de ce peuple et de pouvoir. A Athènes, on a un lien d’identité, le peuple exerce le pouvoir. Notre vraie question est le lien entre ces deux termes que sont pouvoir et peuple

Hamon et Michel Troper, Droit constitutionnel, LGDJ Isabelle Thumerel et Gilles Toulemonde, L’essentiel des principes fondamentaux de droit constitutionnel, Gualino François Borella, Eléments de droit constitutionnel, Presses de Sciences Po, 2008 Pierre Avril et Jean Gicquel, Lexique de droit constitutionnel, PUF, Que sais-je ? Les ouvrages sans indication de la date d’édition sont régulièrement actualisés. Consultez dans la mesure du possible une édition récente. Table des matières TOC \o "1-3"

Constitutions et transitions démocratiques en Côte d’Ivoire de 1990 à 2012 Mémoire Hervé Bastart Maîtrise en études internationales Maître ès arts (M.A) Québec, Canada © Hervé Bastart, 2014 Résumé La Côte d‘Ivoire a connu quatre transitions démocratiques avec des trajectoires similaires depuis son indépendance en 1960. Ces transitions impulsées par des influences internes et externes, à travers de nombreuses réformes constitutionnelles, n‘aboutissent guère à la démocratisation

subordonnés. Cependant, l'indépendance de ces autorités ne modifie pas la nature du | |pouvoir qu'elles exercent, qui est un pouvoir d'État. À ce titre, le statut des autorités de régulation n'échappe pas aux voies de la | |légitimité démocratique, déterminées par la Constitution. | |

Constitution en 20 questions La Constitution en 20 questions : question n° 1 QU'EST-CE QUE LA CONSTITUTION ? Auteur : Bertrand MATHIEU La Constitution, règle de droit suprême La Constitution est un acte de souveraineté. C'est au sein d'un État démocratique la règle qu'un peuple se donne à lui même. La Constitution est formellement une norme juridique supérieure à l'ensemble des autres normes juridiques produites et applicables dans l'ordre juridique national. Cette suprématie est en général assurée

autonomes pour lui donner plus de voix, ils témoignent d'un fait bien documenté par la sociologie politique, à savoir que la politisation par des mouvements périphériques ou sectoriels s'est développée au détriment de la participation aux mécanismes démocratiques "ordinaires" ("citoyens, élections, partis" pour reprendre le titre fameux d'un recueil de Stein Rokkan), ce qui a pu conduire, dans la recherche, à des efforts de redéfinition de "politisation" (Lagroye, 2003) et de "problème public" (Vlassopoulou

apparaitre les théories du Gouvernement équilibré ou encore le Gouvernement représentatif (vieille théorie de l’Antiquité grecque qui dit que le meilleur Gouvernement est celui qui est le plus équilibré entre 3 principes : monarchique, aristocratique, démocratique). C’est CICERON qui va parler de ca dans la Rome antique, la RES PUBLICA est l’équilibre de la cité, tout le monde participe dans un intérêt commun. On va retrouver ca dans la pensée politique chrétienne, SAINT THOMAS D’AQUIN. Cette idée d’un

qui va être résolue par les détenteurs du pouvoir. Un fait n’est donc pas politique par nature, mais par le processus de politisation, il peut le devenir. Cependant, ce n’est pas parce qu’un produit est politisé, qu’il est résolu. ( ex de l’Abbé Pierre en 1954 sur la question des sans-abris). Des problèmes politiques qui ont été résolus dans le passé ne vont plus être considérés comme des enjeux politiques. ( ex des associations comme le DAL, qui fait pression pour une cause qu’elle défend)