La Monarchie En Grèce Antique

Lundi et mardi 6 et 7 septembre : GUERRE ET SOCIETE DANS LA GRECE ANCIENNE : A cette époque, quelle place occupe la guerre dans cette société ? quel enjeu pouvait-on donner à une bataille ? C’était surtout une question d’enjeux symboliques. La guerre est un sujet d’histoire classique, et a été toujours été l’objet principal des historiens. Cela changera à la fin du XIXe siècle où les enjeux économiques, société et l’histoire des groupes humains commenceront à prendre de l’importance.

On peut définir la puissance par la capacité qu’a un État à peser dans un rapport de forces donné et de remporter la décision : c’est la capacité dun acteur à pouvoir imposer sa volonté aux autres ou à modifier leur volonté en fonction de ses propres intérêts. L’intérêt, c’est un rapport de force au sens classiquedu terme, ou le plus fort doit céder la place au plus faible avant la P. etait determiné par la taille de l'armée du territoire, de l’économie, de la richesse disponible, l’importance des

particuliers souvent associés en parèdre, c'est a dire que les dieux de chaques cités étaient plus ou moins proches que ce soit des frères et sœurs ou bien des parents etc.. Les divinités étaient hiérarchisés et connectés, c'est ce qu'on appelle en Grèce antique « les synnaoi theoi », c'est à dire les divinités partageant le même temple. Ainsi, chaque ville et leur temples organisaient de façon autonome le rituel public qui pouvait différer selon la cité avec des fêtes et des célébrations selon leur dieux

l’Empire, le monothéisme juif), pour mettre en évidence filiations et ruptures. L’étude d’extraits du Nouveau Testament permet de souligner l’originalité du message chrétien transmis par les apôtres – par rapport à la religion juive et aux religions antiques – et de faire comprendre l’origine du dogme et des pratiques religieuses qui structurent pour longtemps la vie de l’Occident chrétien. L’élève doit également percevoir l’élaboration progressive du christianisme et son organisation en Église (prêtres

échange. Qui dis échange (commerce) dis besoin du droit. Droit cunéiforme concerne toutes les régions du proche orient ancien. Ce droit règle le commerce. En ce qui concerne tous ce qui est politique et institutionnel, la Mésopotamie est organiser en monarchie a la tête desquels ont trouvent des monarques organisé en dynasties. Elles sont organisées en principautés au centre desquels on trouve des villes = des cités d où le nom de cité Etat. Certaines cités-Etat prendront l ascendant sur d autres. On assiste

l'actuelle république hellénique, les grecs occupent non seulement la Grèce balkanique mais aussi la côte de l'Asie mineure. Les grecs s'installent autour de la mer noire, sur les côtes égyptiennes aussi, les côtes libyennes, en Italie méridionale, en Sicile, en Corse, en Espagne et même en Gaulle méridionale. Ethniquement, culturellement et linguistiquement, les grecs constituent un ensemble assez homogène, au fond qu'ils vivent en Grèce continentale ou en Asie mineure, tous les grecs adoptent le même

nationales par les souverains est un aspect important de l’événement qui a, dans les décennies suivantes, de lourdes répercussions. L’étude sur la Charte de 1814 invite à analyser le fonctionnement de ce texte constitutionnel. Si l’expé- rience de monarchie constitutionnelle se solde par un échec en 1848, la Charte a permis à la société française d’appréhender à voir la vie politique organisée par une règle commune et stable. L’étude sur la Sainte-Alliance présente une association militaire mise

TABLE DES MATIERES INTRODUCTION : I- LE SENTIMENT DE NATIONALISME ET DE LIBERALISME : 1- Les prémices d’un changement européen : 2- Révolutions et intervention : 3- La grèce et la guerre d’indépendance : 4- Les révolutions de 1830-1831 : 5- Jeune europe : 6- Le printemps des peuples : 7- La nouvelle carte de l’europe : II-POPULATION ET URBANISATION : 1-l’explosion démographique : 2-la croissance des villes : 3-médecine et santé publique : III-LES CHANGEMENTS

thématiques Les idées politiques grecques, puis romaines, puis médiévales. Elles vont se développer dans des cadres définis Le 1er cadre c’est la cité, le deuxième cadre c’est l’Empire, et le 3ème cadre c’est la République chrétienne. La cité : la Grèce n’était pas un pays, mais une multitude de cités ! Une cité = ville + campagne = micro sociétés ! Mais ils n’ont jamais eu l’idée de s’unir. Il y a dans chaque cité une intensité de la vie sociale. Les hommes des cités ne sont pas des sujets les

Première façon de l’envisager, conception stricto sensu (en opposition à « lato sensu »). C’est un régime politique, qui est fondé sur la « Res Publica », la chose publique, le bien commun. Les gouvernants sont désignés par le peuple. Opposition à la monarchie. Première de 1792, deuxième de 1848 (écourtée par Napoléon 3), troisième en 1870 (lois constitutionnelle adoptées en 1875), quatrième république en 1946, cinquième en 1958. « La France est une république indivisible, démocratique et sociale » article