La Monnaie Chez L Ecole Classique

comment se fait la circulation des richesses, entre les propriétaires qui avancent des fonds à des paysans qui produisent des richesses → circuit économique. Et turgot : pr lui, manufacture et commerce st aussi productrices de richesses. II/ les classiques. 1/Adam s : De la richesse des nations Le moteur de l act éco est l intérêt individuel. Il y a une autonomie de l 'éco vis à vis de l état, puisque l on va chercher l intérêt privé. La main invisible : l ensemble des individus ds une société

 Nous nous arrêterons donc principalement sur les théories de Marx, ainsi que de Smith et Ricardo que l'on regroupe dans l'école classique. Adam Smith (1723,1790) influencé par le courant de la physiocratie de François Quesnay(1694, 1794), qui analysait l'économie du royaume agricole qu'était la France, dont il retint la croyance en un ordre naturel, fonda l'école classique (certains économistes y classent aussi Quesnay), dont l'apogée fut atteinte au début du XIXème siècle avec David Ricardo (1772

plusieurs registres. (ex : Tva _ Inscrit dans une université) -La garantie des droits fondamentaux : -propriété privé -intégrité physique -L’organisation des rapports de pouvoir entre individus : conventions collectives. -La monnaie : -Qui est en droit de produire de la monnaie ? (la banque centrale est en droits d’en produire) -Qui est en droit de faire crédit à d’autres acteurs ? (acteurs privés) Suite des registres : -Convention ex : respect du code de la route : rouler à droite, s’arrêter au

aux importations C’est le mercantisme qui est le plus marqué par le fait d’accumuler de l’or, des métaux précieux. On estime que l’Espagne a raté la Révolution industrielle pour ça. Smith dit que leur problème est d’avoir confondu richesse et monnaie. En France grâce à Colbert on commence à réfléchir à l’industrialisation. Les mercantistes considèrent que la richesse vient du travail des individus. Jean Bodin (1530-1596) écrit « Il n’est richesse que d’hommes. » On est dans une logique populationniste

donne une valeur à une monnaie ou un métal. La monnaie ou les métaux précieux ne sont que des moyens d’échanges permettant de faciliter les transactions entre les agents économique. L’exemple du dollar est symptomatique de cet état de fait, le dollar possède une valeur uniquement si les Etats-Unis produisent des biens et des services, le dollar n’a aucune valeur sans le travail des hommes. Mais politiquement, les Etats-Unis ont reconnaître le dollar comme monnaie seule monnaie de réserve internationale

opérations, on utilise la monnaie. On parle d’opération monétaire en contrepartie作为回报 des autres opérations des agents. La monnaie circule. Au lieu de dépenser cette monnaie, on peut en garder. La monnaie peut servir à autre chose que opérations de biens et services, c’est donc un actif de patrimoine. La monnaie est un moyen de conserver la richesse. L’analyse économique ignorait les phénomènes monétaires. L’analyse Keynésienne a commencé de s'intéresser à la monnaie. Il faut intégrer les phénomènes

ans avant J.C. Les Phéniciens ont effectué leur entrée à 1 200 avant J.C et ont inventé l'alphabet qui a été diffusé en Méditerranée. Sans les inventions réalisées à l'époque Néolithique et de l'Antiquité (les techniques agricoles, l'écriture, la monnaie, les infrastructures urbaines, les codes de la propriété privée et de contrats et même les machines à vapeur rudimentaire..) l'humanité n'aurait jamais pu atteindre le niveau de développement et de bien être sans précédent qu'elle connaît aujourd'hui

l'économie, avec une théorie réelle de la valeur, puis on introduit la monnaie, cf théorie de SMITH. La vraie valeur des choses existe intrinsèquement puis la monnaie est une façon de mettre un prix sur une valeur. Pour les physiocrates, nous sommes dans un système d'ordre naturel donné par Dieu et les choses sont telles qu'elles existent. Le laisser-faire économique est une nécessité religieuse. → économie monétaire = la monnaie est un élément fondamental et qu'on ne peut pas éliminer de la représentation

alors l'économie politique (terme d'A. De Montchrestien). On va alors s'intéresser aux moyens d'accroitre la richesse. Def classique de la pensée politique : s'intéresse à la production des matières, la répartition des revenus et la consommation. A l'époque, on s'est intéressé à l'État (fascination) notamment avec le mercantilisme, le pré-classique et le néo-classique. On a vu cependant apparaître des critiques avec par exemple deux célèbres contestataires : Karl Marx et John Raymond Keynes

manière plus générale, comment les idées se développent, évoluent, disparaissent au sein d’une décennie. La réflexion économique apparait déjà chez les philosophes grecs (Platon, Aristote,…) qui étudient l’économie et la gestion de la Cité. Au Moyen-âge, c’est la morale chrétienne qui inspire la pensée économique comme chez St-Thomas d’Aquin (XIII°) ou chez Nicolas Oresme (XIV°, savant Français). Entre le XVI° et le XVIII°, les mercantilistes préconisent l’abondance de métaux précieux, l’intervention