La Morale Chez Phèdre

garde le sentiment de la faiblesse de l’homme agité par ses passions et entraîné vers le péché. Voici des oeuvres de ce genre. En 1665 : La ThébaÏde ou les frères ennemis En1667 : Andromaque En1674 : Iphigénie En1677 : Phèdre Parmis ces quatres oeuvres, Andromaque et Phèdre sont les plus connues. Elles sont des prolongements des mythes. C’est à dire que les personnages principaux sont encore tirés des mythes, mais leur relation et leur histoire sont un peu différentes. Par exemple : Dans Andromaque

Dieux ont fait à Esope correspond celui qui fait fabuliste (Esope, la Grèce; Phèdre, le latin, La Fontaine, le français), aux hommes, aux animaux et aux plantes, il s’agit de traduire à l’intérieur des récits et des apologues les morales qu’on tire des récits et dans des fables. Le mutisme appare de la nature, et de revenir au temps « où les bêtes parlaient ». (La Fontaine). {text:change-start} B. Les fables et leurs morales. {text:change-end} Précédemment nous avons vu dans a fable les animaux

multiplicité (théorie kantienne) . Chez platon, il n’y a pas l’idée que la forme puisse être représentée de manière abstraite( Le phédon) puisque la pensée n’est produite que ,et dans, l’âme. Platon arrive ) la conclusion que l’eidos est une chose intrasèque. Le Phédon : Dialogue de la maturité. Platon est dejà chef d’école et c’est un dialogue qui s’intercalle entre ses œuvres majeures ( la république ; le gorgias ; le phèdre ) .Le sous titre est «  de l’âme (genre morale) ». C’est l’un des derniers

représentations se faisaient devant toute la cité, à l’occasion de concours, et faisaient partie de la vie officielle de l’État. C’est que le théâtre montre le soldat quittant sa famille pour partir à la guerre, fait voir les gens en deuil ; plus tard, chez Molière, on voit les médecins ignorants avec leur costume qu’il suffit à Sganarelle de revêtir dans Le Médecin malgré lui pour être respecté et cru même quand il place le cœur à droite, avec leurs grands mots latins, leurs grands airs. Quand Muriel

déguisement des animaux en hommes fait sourire. Leur monde est la parodie du nôtre, et leurs moindres actions sont la critique de nos moeurs. La fable est donc par nature une comédie et le poète un railleur." GOETHE: "La Fontaine est en si haute estime chez les français, non à cause de sa valeur poétique, mais à cause de la grandeur de son caractère." GIRAUDOUX: "Les fables de La Fontaine ne nous montrent pas des hommes prenant des masques de bêtes, mais le contraire. Au-dessous du masque humain qui la

des conflits dans les scènes d'exposition au théâtre. 2. … il peut mettre en évidence un rapport de forces Le conflit permet de faire comprendre et d'expliciter, d'éclairer les rapports de forces entre les divers personnages. Exemples : supériorité morale et autorité de Ferrante sur Pedro ; égalité entre Van Buck (qui a l'argent) et Valentin (qui se permet l'ironie) et, somme toute, complicité implicite (Il ne faut jurer de rien) ; complicité entre Cléante et Élise, mais aussi crainte face à leur père (L'Avare) ; autres

principe de catharsis : purgation des passions par leur représentation ​Sophocle Eschyle Euripide Tragiques grecs ,Sénèque dans ​Médée​ ,dramaturge latin. Ou encore dans ​Phèdre​ qui montrent des personnages en proie au furor ( état proche su délire )qui les conduira au scelus nefas (crime impie:Médée tue ses enfants,Phèdre arme le bras de Thésée qui provoquera la mort de son propre fils Thésée ) B On retrouve les mêmes objectifs dans les comédies antiques qui ont pour but de faire réfléchir

L’apologue et ses fonctions. Compléter les exemples après lecture ou recherche Introduction : De l’Antiquité à nos jours, l’apologue a toujours été présent dans notre littérature. Il a pris différentes formes au fil du temps : les fables d’Esope, de Phèdre, de La Fontaine, les fabliaux du Moyen-Âge, les paraboles bibliques, les contes, les récits utopiques sont autant de textes développant une partie narrative au profit d’une leçon. Aussi, peut-on se demander si les apologues n’ont qu’une vocation didactique

genre: la fable. Il publie en effet un recueil intitulé Fables.   Eléments pour une introduction: La fable, genre ancestral, semble se prêter particulièrement bien aux réécritures. Si Jean de La Fontaine s'inspire en effet abondamment d'Esope ou de Phèdre et de Pilpay au XVII°, Anouilh ou Charpentreau donnent une seconde vie aux fables de La Fontaine dans de nombreuses réécritures au XX°. Ainsi, Jean Anouilh propose-t-il une reprise de l'apologue "Le Chêne et le Roseau" dans son recueil de Fables publié

atteint son paroxisme lorsqu'il se crève les yeux provoque chez le spectateur répulsion et pitié, et contribue donc à la catharsis et la purgation des passions. La catharsis est reprise dans de nombreuses tragédies tel que Phèdre de Racine ou l'héroine inspire pitié et terreur lors de son suiscide sur scène, accablée par le poids de son héritage. La fable dégage une morale La conclusion d'une fable exprime souvent une leçon morale, un enseignement que l'on peut tirer d'un événement, d'un récit