La Morale D Aristote

l’argent Intro : Invasion générale de la société par les mécanismes de l’argent 1) Pdt lgt condamnation morale 2) Monétarisation société : rôle argent exclusion sociale = au centre de la société 3) Impact culturel et moral 4) Nvx territoires de l’argent = Nvelles frontières 5) Elargissement champ monétaire et contradictions CCL : Def K social 1) Condamnation morale * Ds les 90’s argent plus tabou. Aujourd’hui parler de ses revenus publiquement n’apparaît plus cô de

fondateur entre les hommes. Pbl : Nous allons nous intéresser sur le point de savoir en quoi la définition du D, ensemble de normes omniprésentes dans notre quotidien est elle nécessaire aux juristes. Texte 2 : éthique à Nicomaque, Aristote Auteur : Aristote est né en 384 av JC d’un père médecin, Nicomaque. En -367, il arrive à Athènes et s’inscrit à l’Académie de Platon, dont il devient le disciple. En –343, Philippe de Macédoine le nomme précepteur de son fils, le futur Alexandre le Grand

Aristote, La politique Résumer des chapitres 1 à 5 du premier livre Livre 1 1 - Aristote nous parle dans le premier chapitre de la cité et explique qu'elle est une sorte communauté indépendante, automne et coutume. Mais également, que cette vie sociale fonctionne car elle est organisée "en vue" d'un bien. En effet, cela permet aux individus de la société d'aller vers un but commun à la cité et donc d'agir pour la communauté. Ensuite, le philosophe nous explique plus précisément ce qui différencie

duehm CM 9 philo sciences Fictionnalisme de van fraassen cm 10))) III. Loi comme loi morale « nécessité fait loi » http://www.letudiant.fr/bac/zoom-bac/bac-s-scientifique-les-sujets-probables-14826/bac-s-corrige-d-un-sujet-de-philosophie.html On discerne une évolution historique en trois étapes : l'Antiquité grecque tend à vouloir "suivre la nature" en morale et en politique ; la modernité oppose la loi morale et politique à la nature, en raison du développement de l'État et de la rationalité technique

mais aussi à se respecter lui même. Il respecte donc que des êtres vivants dotés d’une conscience et donc capable de penser et de raisonner. Qu’est-ce que le vivant ? Aristote définit le vivant comme ce qui « contient en lui-même le principe de son propre mouvement ». Or l’Homme fait partie du vivant. Le respect est un devoir morale, un homme est redevable à l’être vivant qu’il respecte, il le place sur un pied d’égalité avec lui puisqu’il ne le maltraite pas. L’homme faisant partie lui même du

hommes). Pour ce dernier, si on doit chercher a préserver par le droit ce qui fait la nature de l’homme il faut s’interroger sur le don de la nature en vers l’humanité. Celle-ci a reçu deux choses fondamentales : la vie et la liberté (et un certain sens moral). Rousseau considère que tout ce qui va au-delà d’une préservation de la vie et de la liberté, n’est pas en soi mauvais, mais ne saurait en aucun cas s’abriter derrière l’idée de nature. Mais la nature ne souhaite pas la propriété il n’y a pas de naturalité

d'habitus se trouve déjà largement définie et utilisée chez Aristote, sous le terme de hexis dont habitus est la traduction latine. L'hexis n'est pas une habitude car si les habitudes peuvent être puissantes, elles ne s'inscrivent pas profondément dans les êtres. C'est la connaissance authentique qui est à même d'engager l'âme d'un être dans son entier, un type de connaissance qu'Aristote lie à la vertu. Dans l' Éthique, il identifie la vertu morale à une hexis. Le terme de hexis est lui-même débattu

philain=aimer sophia=sagesse un sage est celui qui comprend ce qui est, il a des connaossances Aristote disait: "J'appelle philosophe celui qui dans la mesure du possible possède la totalité du savoir" Jusqu'au XVIII°s le philosophe étais aussi scientifique Le philosophe est dans le domaine de la vérité ( est capable aussi d'expliquer ce qu'il fait pourquoi et pourquoi il le fait ) Il réfléchit sur la morale ,celle ci est transmise par l'éducation Il apprend aux autre des connaissance (empiriques=

miracle grec a consistait dans le passage d’une civilisation orale à une culture écrite   Mais également dans le passage d’une parole poétique et prophétique avec les premiers auteurs (Homère, Hésiode) à un discours logique et démonstratif (Platon, Aristote)   Et encore, les Grecs ont inventé la logique, l’induction, la déduction, le syllogisme, le principe d’identité,…le théâtre, le rapsode,…la tragédie (Eschyle, Sophocle et Euripide) et la comédie (Aristophane), l’Histoire (Hérodote, Thucydide)

L’ Art est-il imitation ? (Platon/ Aristote) Chez Platon, le domaine de la mimésis est celui du simulacre, icône ou idole, qui se substitue, de façon bénéfique ou maléfique, à l’absence du vrai. Penser les “mimémata”, c’est toujours, pour Platon, réfléchir l’effet, de signification ou de fascination, qu’ils produisent sur l’esprit. Le domaine de ce qu’Aristote nomme à son tour la mimésis est infiniment plus vaste. Il ne comprend pas seulement les effets sémantiques ou esthétiques suscités par