La Morale Dans Le Misanthrope

littéraire, c’est l’ordre et la clarté. L’esprit classique construit un monde ordonné régi par des lois précises que la raison de l’homme peut comprendre. Les auteurs imitent les Anciens tout en créant des œuvres personnelles. Le goût pour l’analyse et la morale se développe. L’individu doit se dépasser. L’art recherche une vérité universelle, le Beau idéal. On peut dire que le dessein fondamental du classicisme consiste à plaire tout en conservant équilibre et mesure dans les idées exprimées dans un style

Molière la notion des mœurs et liée à la notion de morale. 7. La comédie des caractères La comédie des caractères fait une peinture de l’individu et de sa psychologie, qui devient un grand thème de la littérature et du théâtre. Elle met en évidence une nature humaine des hommes et des femmes qui traversent les siècles. Molière dépeint un certain nombre de personnages représentatifs de diverses façons d’être et de penser (l’ambitieux, le misanthrope, le bourgeois, l’avare, le malade imaginaire etc

embastillé pour ces idées. Les animaux représentent des personnages de différentes classes sociales: Le lion: le roi, le mulet: le pauvre.... Ils sont affublés de sentiments humains et incarnent la nature humaine, ce qui permet a l'auteur de tirer sa morale. Il s'agit d'une satire de la cour du roi soleil. C'est le plus pauvre qui est sacrifié, mais ce constat reste d'actualité malheureusement, et les fables de la fontaine ont un aspect universel. Si l'argumentation indirecte permet d'éviter la censure

2.L’idéal classique ou la morale du « Grand Siècle » : l’honnête homme Dès l’Antiquité, la comédie se donne un but, celui de corriger les vices des hommes. Il s’agit de détourner les hommes d’attitudes jugées négatives en en montrant le ridicule. Le rire est la sanction qui s’abat sur celui qui transgresse les bonnes mœurs. Les bonnes moeures au 17e siècle, ce sont celles de l’honnête homme, un homme bien éduqué, capable de concilier les exigences de la morale et le goût naturel pour les plaisirs

mette encore plus dans la peau du personnage.Le mouvement Romantique prend place dans la première moitié du XIXème et se caractérise notamment par la dominance de la sensibilité, de l’expression des sentiments et de l’imagination sur la raison et la morale. Il s’oppose donc radicalement au mouvement des Lumières. * Certains passages dans ce roman peuvent s’apparenter à ce mouvement, bien que l’œuvre de l’abbé Prévost soit antérieure au romantisme : lorsque le personnage principal voit son amante mourir

L' HONNETE HOMME AU XVII° SIECLE L'honnête homme (pluriel les "honnêtes gens") est celui qui a une certaine ELEGANCE et un certain EQUILIBRE. L'"honnête homme" est un modèle intellectuel et moral d'inspiration aristocratique qui se substitue à l'idéal chevaleresque. Cet idéal succède aussi à celui de l'humaniste érudit et à celui du "généreux", épris de gloire individuelle et de nobles dépassements : il fait le contrepoint à l'exaltation de l'homme telle que la prône l'héroïsme (Corneille) comme

L' HONNETE HOMME AU XVII° SIECLE L'honnête homme (pluriel les "honnêtes gens") est celui qui a une certaine ELEGANCE et un certain EQUILIBRE. L'"honnête homme" est un modèle intellectuel et moral d'inspiration aristocratique qui se substitue à l'idéal chevaleresque. Cet idéal succède aussi à celui de l'humaniste érudit et à celui du "généreux", épris de gloire individuelle et de nobles dépassements : il fait le contrepoint à l'exaltation de l'homme telle que la prône l'héroïsme (Corneille) comme

L' HONNETE HOMME AU XVII° SIECLE L'honnête homme (pluriel les "honnêtes gens") est celui qui a une certaine ELEGANCE et un certain EQUILIBRE. L'"honnête homme" est un modèle intellectuel et moral d'inspiration aristocratique qui se substitue à l'idéal chevaleresque. Cet idéal succède aussi à celui de l'humaniste érudit et à celui du "généreux", épris de gloire individuelle et de nobles dépassements : il fait le contrepoint à l'exaltation de l'homme telle que la prône l'héroïsme (Corneille) comme

éternelles. La beauté est une et absolue- l’Art doit s’inscrire dans l'éternel et l'universel et ne doit jamais s'en écarter | - Pierre Corneille, Horace, Cinna, Polyeucte- Jean Racine, Andromaque , Britannicus , Phèdre- Molière, Dom Juan,Tartuffe, Le Misanthrope, Le Malade imaginaire- Blaise Pascal , Pensées | XVIIIème siècle | Les Lumières | - lutte contre les abus politiques et sociaux- remise en question fondées sur la « raison éclairée » de l’être humain et sur l’idée de liberté.- combat contre

Faire son devoir serait la capacité dont ferait preuve un individu moral. Un individu moral s'attacherait donc à agir conformément au devoir en suivant ce qui lui parait juste ou en satisfaisant ce qu'il désire ou encore en se préoccupant du bonheur des autres. Mais est-ce réellement cela agir par devoir ? L'individu, en étant soumis à ses sentiments et ses convictions, accompli-t-il authentiquement un acte moral quand il se dit agir par devoir ? C'est justement ce problème, que