La Morale Dans Le Misanthrope

du lecteur sur les éléments clés a partir desquels se définissent les traits spécifiques du philosophe. B/ Les caractéristiques du philosophe : On peut les envisager sur plusieurs plans complémentaires : connaissance, religion, vie sociale, et morale. • Plan de la connaissance : le philosophe est capable de discerner la vérité (il se contente de la pouvoir démêler (l.11)), avec une lucidité qui lui fait accepter ses limites dans la détermination du « faux » et du « vrai », du « vraisemblable »

acteurs, pour faire éprouver la querelle qui augmente en fonction du dialogue. Pour ce qui est de l'éclairage j'ai besoin d'un filtre de lumière rouge centré sur Jean pour montrer sa colère envers Bérenger, lorsqu'il dit « La nature a ses lois. La morale est anti-naturelle ». Jean et Berenger, vous devez prendre possession de votre rôle, j'ai besoin de voir de l'énervement et de la haine dans votre personnage. Toi, Jean avant d'entrer dans la salle de bain, tu dois faire ressentir ton énervement

captivé. Un château hanté qui terrorise les voisins. Un sergent de police en ramène des bouteilles de vin qu’il boit avec son épouse et qui va accoucher neuf mois plus tard d’un drôle d’enfant. Les années passent et la nouvelle se conclut par une morale. - La montre du doyen - Erckmann-Chatrian : Deux musiciens venus participer à la fête d’un village vont se retrouver bien malgré eux au cœur d’une série de meurtres. Wilfrid se retrouve en prison tandis que Kasper qui a fui à tant, va devoir ruser

religion chrétienne ( inachevée) -Privilégie les mœurs -Les Pensées,:fragments de son apologie -S'adresse à des intellectuels fiers d' eux même, ébranle leur certitude ( bonheur = paliatif, ne savent rien, sont malheureux) -Lien entre religion et morale -Lien entre les religions -«Tout homme recherche le bonheur, y compris celui qui va se pendre », Pascal -Pascal s' adresse à la raison et au cœur. Il a recours à « l'esprit de géométrie » et à « l 'estprit de finesse ». •Misere de l'Homme :

Introduction L'opposition des deux pôles de la pensée françaises; Voltaire écrivain caustique et polémiste, symbole de l'aristocratie classique; Rousseau enfant torturé des idéaux moraux et misanthrope; l'article «Genève» et paroxysme des disputes des philosophes; «Lettre à d'Alembert» placarde contre de luxe et libertinage moral empruntés du théâtre. 1. Voltaire et l'eloge de l'art dramatique L'enfant de la tragédie cornélienne et racinienne; Œdipe le commencement de la carrière dramatique; Amulius

tranche nettement avec les thèmes habituels de la farce ou de la comédie à l’italienne. Innovation littéraire en même temps que critique originale de la société du temps, elle irrite certains auteurs concurrents autant qu’elle choque les tenants de la morale traditionnelle. En 1664 Tartuffe, joué à Versailles, provoque un tollé chez les catholiques. La pièce est interdite à la demande de l’archevêque de Paris. La bataille de Tartuffe durera près de cinq ans. Remaniée, la pièce sera à nouveau interdite

L’œuvre étendue et riche de Corneille a donné naissance à l’adjectif « cornélien » qui signifie le courage, la volonté, la force… mais aussi une opposition entre deux points de vue, spécialement une option affective ou amoureuse contre une option morale, religieuse, ou de l’ordre de la raison.William Shakespeare  : dramaturge, poète et acteur anglais. Né au 16e siècle, il était d’abord fils de commerçant, acteur, puis directeur du Globe, troupe théâtrale à succès. Il a écrit

Le Misanthrope Acte I, scène 1 Molière I-Alceste : l'idéaliste A-Condamnation de l'hypocrisie sociale - impératif “allez” → colère + indignation pr le comportement de Philinte - répétition de “vous” → met l'accent sur -énumération : “de protestations, d'offre et de serments” v.19 → met en relief les marques d'affection exagérées de Philinte - hyperboles “dernières caresses”, “fureur de vos embrassements” +

marque un tournant. Se démarquant sur tous les points, le livre est un antiroman presque sans intrigue. Il se penche sur l’isolement volontaire, qui finit par dégénérer en insupportable névrose, du duc Jean Floressas des Esseintes, un aristocrate, misanthrope et excentrique, aux gouts et tendances délibérément hors norme – car il hait et fuit la norme. Dernier survivant d’une famille tombée en dégénérescence, la vie de cet anti-héros est relatée depuis son enfance jusqu’à ses débauches orgiaques l’ayant

un autre bien (la vérité à la bienveillance), un mal avec un autre mal (le mensonge à l’indifférence). Devons-nous absolument choisir entre Cléanthe, l’« honnête homme » qui tolère d’arranger la vérité pour ménager le « monde », et Alceste, le « misanthrope » décrit par Molière qui ignore les règles du savoir-vivre pour servir à chacun ses « quatre vérités » ? Qu’il faille préférer la vérité au mensonge, chacun en conviendra aisément, ne serait-ce que parce qu’affirmer le contraire serait contradictoire