La Morale Est Elle Nécessaire

La morale et la politique ne sont pas seulement des mots riches de contenus et d’histoire, désignant dans la tradition philosophique des textes, des doctrines, des problèmes. Ils indiquent avant tout différents champs de l’expérience humaine dans le territoire plus vaste de l’agir. Celui-ci est traversé de contraintes, de tensions, de préoccupations individuelles et collectives, aussi variées que divergentes. A la rencontre de la morale et de la politique une problématique spécifique parait

tenues pour universellement et inconditionnellement valables appelé communément la morale. C’est le domaine du Bien et du Mal, contrairement à la logique qui est celui du Vrai et du Faux. La morale ne dit pas la vérité Cette morale, en énonçant des normes, des valeurs, des règles d’action, est dite normative et semble liée à la notion de devoir. En effet, le devoir est toujours une obligation et donc une puissance morale qui s’adresse à notre liberté. Cependant, il est important de noter que le temps

réalités matérielles : elle ne peut pas tourner à vide. La conscience n’est pas une chose mais une intentionnalité qui vise un objet (une conscience de ?). C – Le monde, condition nécessaire à la conscience de soi 1°) La vision de Descartes Pour certains, l’existence du monde extérieur n’est absolument pas nécessaire au sujet pour avoir conscience de soi. Le sujet peut se saisir comme conscience par une simple introspection, indépendamment des choses et des autres sujets. L’introspection et le

EMILE DURKHEIM, LA PEDAGOGIE ENTRE SCIENCE ET MORALE (1858-1917) Toute histoire de la pédagogie impose des choix. On commencera par rappeler ceux de ce cours pour expliquer la place qu'on y accordera à Emile Durkheim. Trois principes pour guider ces choix : - Tenir compte de nos préoccupations éducatives, aujourd'hui. Toute histoire s'enracine dans le souci du présent. C'était précisément le point de vue de Durkheim, clairement exprimé au début de son cours, L'évolution pédagogique

identification du harcèlement moral au travail 2.1. Définition légale 2.2. Identification des auteurs et des victimes 2.3. Description générale du harcèlement moral 2.3.1. Les différentes formes de harcèlement moral 2.3.1.1. Le harcèlement individuel 2.3.1.2. Le harcèlement stratégique 2.3.1.3. Le harcèlement institutionnel 2.3.1.4. Le harcèlement transversal 2.3.2. Les faits constitutifs ou non de harcèlement moral 2.3.2.1. Les faits constitutifs de harcèlement moral 2.3.2.2. Les contraintes

variétés de l’Expédient et, en théorie, en opposition avec lui, quoique (comme on le reconnaît couramment), jamais, à la longue, il ne soit séparé de lui dans les faits. Dans ce cas, comme dans le cas de tous nos autres sentiments moraux, il n’y a aucune connexion nécessaire entre la question de son origine et celle de sa force d’obligation. Qu’un sentiment nous soit donné par la nature ne légitime pas nécessairement toutes ses incitations. Il se pourrait que le sentiment de justice soit un instinct

doit disposer d’une souveraineté illimité. A la suite d’un contrat renonce à se protégé eux même pour confier cette mission à l’état. Le monarque doit disposer de tous les pouvoirs pour faire régner l’ordre dans la société. Ce souverain absolu est nécessaire pour établir l’ordre au sein de la société. La puissance du souverain (monarque) n’est légitime que s’il agit dans l’intérêt des sujets et non pas du sien, que s’il protège les citoyens en cas de rupture de ce pacte les citoyens ont un droit de

la réalité. Il élabore également la théorie des prénotions qui comprend que nous formons en nous des concepts à partir d’expériences répétées. Epicure fonde une sagesse du plaisir basée non sur la jouissance, mais sur les plaisirs naturels et nécessaires, la maîtrise des passions, l'absence de souffrance pour le corps et l'absence de "trouble" pour l'âme (ataraxie). Quatre postulats (=hypothèses) de base (tetrapharmakos) peuvent résumer l'éthique épicurienne : * On ne doit pas craindre les

partant de cette hypothèse, notamment soutenue par Platon, Aristote ou Spinoza, la vie en commun se place alors comme nécessaire à la vie au sens propre. Mais cette vie en commun est régie par la présence (ou l’absence) de règles fondamentales, qu’elles soient énoncées sous forme de loi (on parle alors d’obligation légale), ou répondant simplement à une certaine raison, à une morale (décision légitime). L’analyse de ce mode de vie a donné naissance à la Politique, qui peut être définie au sens pratique

Naissance : 22 avril 1724 Royaume de Prusse (Königsberg) Décès : 12 février 1804 (à 79 ans) Royaume de Prusse (Königsberg) École/tradition : Piétisme, Lumières, idéalisme allemand Principaux intérêts : Logique, métaphysique, épistémologie, morale, esthétique, anthropologie, politique Idées remarquables : Criticisme, Jugement synthétique a priori, Chose en soi, Impératif catégorique Œuvres principales : Critique de la raison pure Critique de la raison pratique Critique de la faculté de