La Morale Est Elle Nécessaire

Raison et méthode 2) Doute et cogito II. La biologie cartésienne 1) La composition de l’œuvre 2) Recherches physiologiques 3) Relations avec la morale III. Le statut philosophique de la connaissance de l’homme 1) L’homme des passions : éprouver l’unité humaine 2) Union de l’âme et du corps : la perception et l’intellection 3) L’homme comme notion : le sujet moral (liberté et bon usage de la raison) Ce traité fut publié en 1649 et constitue l’avant-dernier de Descartes avant sa mort. Il s’appuie notamment

didactique, très souvent allégorique, rédigé en vers ou en prose, qui renferme des enseignements, dont on tire une morale pratique. Il constitue également un genre littéraire. La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique. Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables

justifiables, acceptables de la croyance ? La croyance et la raison s’opposent. Chercher à rendre raison, c’est chercher à savoir ce qui fonde, ce qui justifie nos connaissances et nos actes. La raison s’exprime aussi bien dans la science que dans la morale. La raison est la faculté de fonder des lois universelles, des lois qui valent toujours et pour tous. Or la croyance n’est qu’opinion spontanée, subjective. On ne sait pas si elle est vraie ou fausse. Une opinion, c'est ce que je crois être vrai

conséquences (≠ sans réfléchir) - domaine social = conscience historique/politique → ensemble d'idées partagées par un grpe de personnes - domaine moral = bonne/mauvaise conscience, jugement en âme et conscience → selon les critères moraux B- Les deux grands sens de la conscience -Conscience psychologique : capacité à se représenter ses actes et pensées -Conscience morale : juge intérieur, statuer le bien ou le mal H conscient = sensible, se sait en relation avec l'extérieur (perceptions) & perçoit réalité

qui est conforme a ce qui est morale, la morale entraine le raisonnable; on fais ce que l'on fait parce qu'on doit le faire, il n'y a pas de désir dans la raison on fais quelque chose parce que c'est nécessaire de le faire sans point de vue particulier; le raisonnable entraine nécessairement la prudence. le terme "rennoncer" ici nous indique le thème du sujet il s'agit de savoir si il est bon ou pas de stopper tout désir de se défaire de tout ce qui n'est pas nécessaire. Le mot "tout" a son importance

Responsabilité Il s’agira dans cet écrit de d’interroger mon positionnement en situation de responsabilité et de la place que je réserve au sujet, en m’appuyant sur des éléments recueillis sur mon lieu d’emploi. Dans un premier temps il me paraît nécessaire de définir ce qu’est la responsabilité, ainsi que les termes qui lui sont associés, je présenterais une situation à travers laquelle je soulèverais la question de la responsabilité. « La responsabilité renvoie à deux éléments. L’un qui relève

l’essence caractéristique d’une espèce qui lui ait donné à la naissance : ce qui est inné et spontané. De plus, par définition, le bien s’oppose au mal, il a une valeur d’idéal et de désirable, il est l’emblème des valeurs humaines. Il symbolise la morale et l’utilité. Mar-Aurèle affirme que « Rien n’est mal qui est selon nature », est-ce à dire pour autant que tout ce qui est naturel est bon ? En effet, la nature est considérée comme un modèle mais possède cependant des aspects que l’homme rejette

ailleurs que l'homme est fait pour vivre en société, et il semblerait que l'existence de lois soit une condition nécessaire au fonctionnement de la société. Il ne faut cependant pas considérer l'existence de loi comme garantie d'une société parfaite. Les lois physiques permettent de comprendre le monde (aspect plus concret), mais certains « pourquoi » restent sans réponse. Les lois morales sont propres à l'homme et à la raison. C'est un aspect abstrait mais plus personnel. Il s'agit de principes de

possible. Il s’agit de voir que, dans la philosophie de l’histoire, celle-ci n’est pas seulement représentée comme une succession d’événements passés ayant une incidence générale sur les individus, mais comme une dynamique qui obéit à des lois nécessaires, une orientation première gouvernant constamment son développement, de telle sorte que l’avenir, aussi, de notre histoire est nécessairement lié au passé et au présent, et est donc inévitable. Il est également possible de réfléchir à l’écriture

unité. C'est à dire en tant que totalité. » HEGEL. « L'existance s'épare les choses et les tient distinctes ; le système les coordonne en un tout fermé. » KIERKEGAARD. → formalisme : chez kant, tout particulièrement, doctrine selon laquelle, en morale, la valeur d'un acte ne dépend pas du contenu, mais de la forme de cet acte. « Quand on interpelle systématiquement la connaissance rationnelle comme la constitution de certaines formes, comme un simple appareillage de formules propres à informer