La Morale Implicite Chez La Fontaine

BAC BLANC Questions : Ce corpus est composé des trois textes littéraires datant d’époque très différente, en effet le premier texte est une fable du poète : La Fontaine, « La Cour du Lion » publié en 1678. Le deuxième texte est écrit par le philosophe Voltaire en 1764, c’est un article de son Dictionnaire philosophique : «Tyrannie », pour finir le dernier texte du genre théâtral reconnaissable avec les répliques des personnages ainsi qu’aux didascalies

texte de La Fontaine, que les e´le`ves connaissent vraisemblablement de´ja` . Un apport magistral permet de rappeler, a` propos du fabuliste du Grand Sie`cle, ce qui de´finit un e´crivain « classique » et de rappeler l’e´tymologie de ce mot : — la prise en compte d’un texte source antique comme mode`le ; argument de la pe´rennite´ des oeuvres qui en indique la valeur litte´raire ; — la re´criture des maıˆtres, distincte d’une imitation ste´rile (c’est tout l’art du conteur La Fontaine dans ses

II.1 Hommage et allégorie à Madame de Montespan II.2 Critique des injustices de son temps III Dimension spirituelle III.1 Multiplicité des implicites III.2 Dualité : Souveraineté de droit et Souveraineté du cœur III.3 Paradoxe et métaphysique : Bon Démon et Mal Souverain. Jean de La Fontaine, poète du siècle classique, doit sa renommée à ses fables écrites en trois recueils entre 1668 et 1693 en pleine période de son apogée littéraire. Célèbre moraliste

La Fontaine rappelle un fait historique : La convocation des Etats Généraux le 5 mai 1789. Ici, ce fait historique est transformé en élément de propagande. Au vers 14, le verbe « étal[er] » a un caractère ostentatoire. Il y a sur manifestation des richesses du roi. On peut voir aux vers 15-16 un effet de rupture : « Quel Louvre ! _un vrai charnier, dont l’odeur se porta D’abord au nez des gens. L’Ours boucha sa narine : »_ Il y a reprise du nom propre « Louvre » déjà évoqué au vers

analytiques : Œuvre intégrale : La Fontaine, Fables, livres VII et VIII Textes expliqués en classe : 1. « La Cour du lion », VII 7 2. « Les deux coqs », VII 13 3. « Le Pouvoir des fables », VIII 4, du vers 34 à la fin Etudes d’ensemble : 1. La Fontaine, entre tradition et modernité 2. De Esope à La Fontaine : le travail de la réécriture, à partir de la comparaison de la fable d’Esope « Les deux coqs et l’aigle » et de sa réécriture par La Fontaine. Lectures cursives, documents

Commentaire de texte : L'homme et son image, La Fontaine : Jean de La Fontaine (1621-1695) poète te conteur français a surtout marqué l'histoire par ses Fables. Auteur prolifique, il a vécu de sa plume grâce à la vente de ses recueils mais également en se plaçant toute sa vie sous la protection financière de plusieurs protecteurs. Son œuvre fut alors très apprécie de la Cour de Louis XIV. Elle occupe aujourd'hui une place de choix dans le patrimoine culturel français et certains enseignements

LA FABLE Définition : La fable est un court récit en vers ou en prose, mettant généralement en scène des animaux, et incluant une morale, explicite ou implicite, à portée universelle. Il s'agit de séduire le lecteur par l'art du récit pour mieux l'instruire, comme le préconise le précepte des Anciens « plaire et enseigner ». Ésope et Phèdre Issue de la tradition orale, la fable se développe notamment dans l'Antiquité grécolatine. La père de la tradition occidentale est le fabuliste grec Ésope (VIe

Lecture analytique de LF, « La Cour du Lion » Introduction Les fables sont écrites par La Fontaine en 1678. Il publiera deux recueils de fable qui seront divisés en livres. C’est une dédicace au Dauphin. Dans son œuvre, La Fontaine fait une critique sociale et universelle de l’homme à travers les animaux. Cela lui permet d’éviter la censure. Ici il s’agit de La cour du lion, extrait du livre VII du deuxième recueil. Il peint la cour et ses courtisans et donne des conseils sur le comportement

des fables de La Fontaine. L'apologue ne se réduit pas à la fable : le christianisme développera d'autres formes narratives : parabole, conte, nouvelle, image. "Apologos" en grec : "récit détaillé" ; synonyme de fable, terme issu du latin. Il désigne un court récit exposé sous forme allégorique, et qui renferme un enseignement, une leçon de morale pratique. Elle possède 4 caractéristiques : récit du genre narratif, bref, sous forme allégorique, et contenant un enseignement moral .Elle se caractérise

dans le titre. II. COMPARAISONS AVEC LA FONTAINE 1. Différences La profusion de néologismes est l’aspect le plus notable des différences : Anouilh, en parodiant, décide d’introduire un contexte contemporain, ainsi les personnages évoluent dans un monde peuplés de « casinos », de « boîtes » (v.3) , où la vie moderne est omniprésente, puisque la fable s’axe sur un « contrat » (v.43) chez un spécialiste en « prêts hypothécaires » (v.10). Hors chez LF, si le temps est une donnée importante («