La Mort dans les nuages

Des vautours m’accueillaient, tournoyant silencieusement en découpant des spirales inquiétantesdans un ciel sans nuages, de leurs grandes ailes si inquiétantes. Le soleil me paraissait immobile, brûlant, et implacable tel un énorme projecteur de cinéma. Des lugubres marabouts, charognards encostume de croque-mort, m'invitèrent chaleureusement à finir de dépecer un pathétique âne mort et allaient m'ouvrir les portes d'une désolation morbide, bientôt portée à son apogée. D'autres habitants,paisibles

Commentaire de texte Le roman Génie du christianisme est écrit par François-René de Chateaubriand entre 1795 et 1799, puis a était publié en 1802 et a été écrit à la suite de la mort de la mère. Cet ouvrage s'inscrit dans le mouvement du romantisme, mouvement présent dans un grand nombre d’œuvre de Chateaubriand. Dans cet extrait, l'auteur nous décrit un paysage nocturne à travers ses yeux et nous montre sa beauté indescriptible. Nous pouvons nous demander comment Chateaubriand arrive à lier cette

manteau de neige qui recouvrait la petite route. La bise froide soufflait et tourbillonnait à en faire desserrer les chignons soigneusement fais par les femmes pour l'occasion, et parfois même emportait leur chapeau. Le ciel était blanc, comme si les nuages étaient remplis de flocons de neige prêts à tomber à chaque instant. On marchait sans aucun bruit, comme si personne n'osait rompre le silence qui régnait autour de nous. Tout le monde avait l'air pensif, certaines personnes avaient l'air triste,

ou des campagnes mangées par le projet des hommes. Il nous propose ici, un tableau typiquement et même banalement flamand : une plaine, des nuages et un moulin. Immédiatement se dégage de ce texte une tristesse et une mélancolie incommensurable : elles apparaissent dans le paysage, dans le moulin ainsi que dans la mélancolie symbolisant la mort. Emile Verhaeren nous présente le paysage à la manière des peintres flamands. Il nous expose un tableau très sinistre avec beaucoup de tristesse

peut laisser jaillir sa vraie lumière. Entre Jean de la Croix, en ses cantiques spirituels et Rainer Maria Rilke, c’est le même écho, le même appel qui nous fait croire en la nuit pour croître, car malgré ses opacités aussi épaisses que la poix de la mort, cette fontaine éternelle, cette source vive, elle que nous désirons tant, nous savons par intuition qu’elle est là, au bout de nos doigts, à une portée de plume, comme une profonde intériorité qui jamais ne nous lâche. (…) Quels que soient

d’auteurs  La guerre, ce n'est pas l'acceptation du risque. Ce n'est pas l'acceptation du combat. C'est à certaine heures, pour le combattant, l'acceptation pure et simple de la mort. Saint-Exupéry, Pilote de guerre, xviii.  0  J'entends ce mot dans son acception la plus large et la plus noble. G. Duhamel, Discours aux nuages, i. Accident/Incident  La poésie n'était pas mon métier; c'était un accident, une aventure heureuse, une bonne fortune dans ma vie. Lamartine, Premières méditations, Préface

vers pour comprendre comment le poète introduit le sens à son sonnet tout en gardant son désir d’hermétisme. Le vers 2 « Basse de basalte et de laves » compare les nuages à une grande masse minérale. Ces éléments métaphoriques ( basse, basalte et lave ) provoquent des effets sensoriel qui imitent la description du poids noir des nuages bas. L'épithète « échos » au vers 3 évoque le son de « trompe » émit. La « trompe » est dite sans « vertu » car son appel est intercepté par la « nue accablante » alors

se rit de l'archer ;Exilé sur le sol au milieu des huées,Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Charles BAUDELAIRE, 1859, Les Fleurs du Mal. L'Oiseau Bleu de René MAGRITTE, 1962. Cette peinture représente un albatros, son corps est en nuages, le ciel est son élément. De même, BAUDELAIRE, avec ses poèmes est dans son élément alors que sur terre il est incompris. L'Albatros traduit chez BAUDELAIRE (1821-1867) la conscience d'être différent des autres. Il utilise l'image de l'oiseau pour

Résumé de l’Exposé sur “ Le culte de la mort en Egypte Ancienne”. Dans l’Egypte Ancienne, il y a de nombreuses divinités très importantes, c’est pourquoi nous avons sélectionnées les plus connues et les plus importantes. Nous avons choisi de vous présenter : Rê, Osiris, Isis, Seth, Nephtys, Horus, Anubis et Thôt. Tous les mythes de l’Egypte Ancienne sont basés eux-mèmes sur deux mythes. Premièrement, le mythe de la création de l’univers, il semblerait que Rê soit né d’un magma, appelé

Description de l'œuvre -Nous devons lire le tableau de gauche à droite car : -le panneau de gauche représente les soldats partant au front, les couleurs virent au marron mais la brume blanc/gris éclaircie le panneau, je remarque aussi que les nuages et le ciel sont d'une couleur rouge qui peut représenter le combat sanglant approchant. Les soldats sont de dos donc on ne voit pas leur visage, ils portent de gros sacs (j'y distingue des chaussures et des boîtes), des casques ... -le panneau du