La Muse Inspiratrice

l'amour à la manière de Pétrarque, en reprenant de nombreuses allusions à l'Antiquité. Dans son recueil Les Amours, il célèbre trois femmes, trois grandes inspiratrices : Cassandre Salviati, Marie Dupin et Hélène de Surgères . Alors qu'Hélène se refuse à Ronsard, il lui adresse ce poème afin qu'elle prenne conscience de la situation. Femme aimée et muse du poète, elle est une femme avantagée et ce sont ces avantages que tentent de mettre en avant Ronsard. En quoi ce sonnet est-il une démonstration de

tout son mystère. 2. La femme inspiratrice Le poète renvoie la femme africaine à la « terre promise » référence biblique et à « Un fruit mûr à la chair ferme » en référence à la pomme d’Adam et à Adam qui faute à cause d’Eve. Le côté spirituel de la femme transparaît à travers « attaches célestes » et « étoiles sur sa peau » : la femme crée en lui une pratique qui le tend à l’élévation spirituelle. La femme africaine nourrit son écriture c’est sa muse inspiratrice « bouche qui fait lyrique ma bouche

A - Présentation 11 paragraphes de longueurs inégales campent, majoritairement au présent descriptif, le portrait physique et moral d’une belle Indienne à la peau noire, probablement rencontrée à l’Ile Maurice à l’âge de 20 ans (1841), inspiratrice de " A une Malabaraise " (1846), poème XX des Epaves, pièces condamnées des Fleurs du Mal, et de " Bien loin d’ici " (1859), poème X des Additions de la 3e édition), personnage émouvant autant pour son exotisme que pour le contenu dramatique de sa vie

insouciance. Il fait plaisir au voyage, à l’errance et à sa liberté. Cette image de vagabondage heureux et insouciant domine le poème. Une autre possibilité est de prendre l’image du voyage pour une métamorphose. D’abord, il est « féal » (v.3) de la Muse et puis il se nomme « Petit Poucet » (v.6). -On remarque la présence d'indices autobiographiques, qui sont à l’origine de l'omniprésence de la première personne (8 fois « je », 8 fois l'adjectif possessif mon, ma ou mes). Il se décrit ses sensations

érotique qui marque la fusion des deux êtres, regard qui par sa profondeur a suscité la passion. L'artiste. Baudelaire privilégie la dimension artistique comme l'indique le titre. La passion est nécessaire pour créer. La femme est son inspiratrice. Elle est donc le symbole de la vie et de la poésie mais la présente de manière métonymique et même synecdoque : le visage évoque toute la sensualité. Tout est vibration vitale chez elle, elle est liée à l'élément du feux présent en elle, feux

qui montre la fin de ceux qui éclaire. De plus dans le premier quatrain toujours, cette idée de souffrance et d'être seul est mis en évidence par la ponctuation. On comprends les raisons de cette douleur puisque c'est la disparition de sa muse, son inspiratrice, son étoile qui est morte. En faite, il cherche à montrer que cette disparition est un frein à l'inspiration poétique. b) Lumière du passé Mais dans le 2ème quatrain, il va montrer l'inverse en se référant au passé. Passage du présent au

la femme idéale elle n'appartient pas à la réalité/majuscule : "Nymphe" : femme aimée Apparition de la femme : -allures de déesse : "étoile" -"nouvelle aurore" : par métaphore elle est plus lumière que femme (femme désincarnée); c'est la femme-muse, celle qui inspire le poète. *explication dernier tercet : pointe finale après l'apparition de la nymphe, la lumière prend une double teinte -lumière qui vient de l'Orient: l'Indique : mythologie -lumière de la nymphe qui vient de l'Anjou : nature

ANTHOLOGIE POéTIQUE : L’éloge et le blâme de La femme La joconde Leonardo de Vinci AD LEUCONOEN…………………………………………………………………………………. 7 La muse malade………………………………………………………………………….. 9 La muse vénale…………………………………………………………………………… 11 Tout entière……………………………………………………………………………….. 13 A une mendiante rousse…………………………………………………………….. 15 Les yeux fertiles………………………………………………………………………….. 17 Ton amour est un oiseau vert…………………………………………. 19 Putain vous m’aurez plus………………………………………………………………

beauté est la forme de la finalité d'un objet en tant qu'elle est perçue en lui sans représentation d'une fin. » Thèse : 1.Le beau est à l'origine de la Poésie et demeure important dans l'inspiration du poète 2.On peut évoquer une ''autre muse'' du poéte qu'est la laideur Le beau est à l'origine de la Poésie et demeure important dans l'inspiration du poète. Apollon, Orphée, Dyonisos, ces figures mythologiques du poète ont comme sources d'inspiration première, l'amour, la guerre et la

points). A - Présentation 11 paragraphes de longueurs inégales campent, majoritairement au présent descriptif, le portrait physique et moral d’une belle Indienne à la peau noire, probablement rencontrée à l’Ile Maurice à l’âge de 20 ans (1841), inspiratrice de " A une Malabaraise " (1846), poème XX des Epaves, pièces condamnées des Fleurs du Mal, et de " Bien loin d’ici " (1859), poème X des Additions de la 3e édition), personnage émouvant autant pour son exotisme que pour le contenu dramatique de