La Muse Inspiratrice

feuillets de son père. Il montre qu’elle était unique car les arabesques sont des dessins délicats et raffinés. Quand Hugo compare sa fille au rayon du Soleil au vers 3, il nous dit donc qu’elle était l’illumination de sa journée. De plus, elle était sa muse ou bien sa source d’inspiration : « Où je ne sais comment venait mes plus doux vers » vers 13. Au vers 14, l’écrivain fait une description très brève de ce qu’elle aimait dans la vie : « Dieu, les fleurs, les astres, les prés verts ». Il nous montre

Analyse linéaireDu début au vers 14 : L'invitation La première strophe est une invitation à un voyage imaginaire. Vers 1 à 3 : "Mon enfant, ma sœur, Songe à la douceur D'aller là-bas vivre ensemble !"· Le poème débute par une adresse à la femme aimée au vers 1, avec deux pronoms possessifs ("mon", "ma") montrant la proximité affective avec cet être aimé à travers une relation maternelle avec le mot « enfant » : attitude protectrice, bienveillance puis fraternel « sœur » : complicité·

connotation antique, religieuse et sacrée (« ombre divine », « saintement ») ; on ne sait pas exactement à quel monde appartient l’être qui s’approche du poète. Est-ce une femme ? Est-ce un ange ? Une allégorie de l’inspiration poétique (la Muse Erato, "l'aimable", inspiratrice de  l'élégie, de la poésie amoureuse, lyrique, érotique et anacréontique) ? La mort (une Parque) ? Peut-être tout cela à la fois.   "Tes pas, enfant de mon silence, Saintement, lentement placés, Vers le lit de ma vigilance

l’acte terminal de la création : elle en est l’acte préliminaire, état indispensable d’inconscience par un rapt de l’âme débouchant sur un retour à la conscience et une mise en pratique élaborée des règles du métier. Cette rencontre de l’anima( cette muse qui est la grâce)et de l’ingenium (ingéniosité technique) est une caractéristique de la poésie française au temps de la Renaissance; cette conception de la poésie se vérifie t elle dans les regrets du Bellay? Introduction Longue explication

voyage est désormais inséparable de la poésie. La vraie école de la poésie est-elle celle du voyage et de la marche, écoles d’apprentissage didactique par excellence ? ✓ Rimbaud soumet le voyageur à une divinité inspiratrice, selon la religion (avec qui il était en rupture), La Muse, dans un contexte lié à la chevalerie (« j’étais ton féal »). Or les chevaliers sont des héros, très souvent seuls, qui puisent leur valeur et justification dans l’errance et le déplacement. Le poète se fait donc chevalier

envisagent le mariage, mais Mme Grindel calme leurs ardeurs. Gala rentre en Russie. Paul, dont l'état de santé s'est amélioré, revient en France en février. 1916 En Septembre, Gala revient en France 1917 Paul épouse Gala. Elle sera la première inspiratrice de sa poésie et aura sur sa carrière poétique une influence déterminante. 1918 Naissance de Cécile, leur fille. 1924 Année de tension. Paul Eluard est en conflit avec son père. Son couple connaît également des difficultés. En mars, à

poème toutes les qualités de la servante retenues par le poète
sa présence maternelle : la servante acquiert dès lors un statut particulier. Elle devient mère du poète, et remplace également dans une autre perspective la « muse ». La servante comme objet de poésie est inspiratrice du souffle élégiaque du poète. L’humilité du portrait sert cet éloge de la servante, qui apparaît comme un personnage pétri d’humanité et de bons sentiments. C/ Le réalisme du portrait
un lieu convivial : la seconde strophe

2) amorcent le symbole soulignant la fragilité. Cette nourriture est à la fois matérielle et spirituelle ‘les arts, les lois’ (v.1). On remarquera aussi la métaphore de la France en mère inspiratrice. En effet, elle est représentée comme la « mère des arts, des armes et des lois ». Elle représente la « Muse » du poète, ce qui amplifie la personnification de la France. Du Bellay lui en veut de ne pas le protéger alors qu’il la considère comme « la mère des arts ». Ainsi, le poète au service de sa

jouent un rôle déterminant : la femme poétisée se confond avec le milieu dans lequel elle évolue. Les sentiments du poète sont aussi en accord avec ce moment. Dans son poème Paul Verlaine fait l’éloge d’une muse qui bien qu’imaginaire joue un rôle très important dans la vie du poète. Cette muse représentait pour Verlaine l’idéal de la femme, mais aussi la grande sœur qu’il n’a jamais eue. Il nous emporte dans son rêve, où il nous fait découvrir une femme dont la rencontre avec elle s’avère impossible

conjonction de coordination, lien comme indéfectible entre le poète et la poésie. « et toi »: écho du « et moi » renforce impression de miroir l'un de l'autre, mais pas l'ombre cette fois, la troisième entité: si pas la poésie, peut-être l'inspiration?? la muse??, qui est « derrière »: en retrait, en retard, à l'écart, plus lente à venir mais toujours présente, prête à intervenir pour aider le couple initial, qui veille sur lui. Enfin ce « quelqu'un » que le poète « ne connait pas », peut-être le poème qui