La Muse Inspiratrice

femme aux yeux verts 27 II.IV Madame Sabatier - La Vénus blanche 34 III. « L’Héautontimorouménos » - Misogynie, Ironie, Mélancolie et Sadisme 44 IV. Image de la femme dans le monde baudelairien 56 IV.I. La femme olfactive 56 IV.II. Ange, Muse et Madone 62 IV.III. La Femme vampire – étrange féminin satanique 69 IV. IV. La monstruosité de la femme 78 IV.V. La dénaturalisation : immobilité et stérilité, l’art de l’artifice. 85 IV.VI. Prostituée 91 IV.VII. Lesbienne 97 IV

féminine, thème d'inspiration récurrent dans le recueil : Les Fleurs du Mal. Le sonnet étudié nous invite à découvrir cette dame créole dans son univers. La beauté du paysage égale celle de la jeune femme. Elle apparaît dans les deux tercets telle une muse au pouvoir incomparable.  I. L'éloge de la dame créole, véritable déesse d'un éden exotique  II. Sa force d'inspiration  Le titre du poème indique dans sa formulation qu'il est dédié «à une dame créole». Baudelaire, par l'écriture poétique, va revivre

ou bien à travers des substantifs tel que « rêveries » La juxtaposition à la ligne 23 affirme d’ailleurs une valeur causale qui traduit de cette évolution des genres qui forment une union génératrice. Le génie créateur à travers l’évocation de « la muse » ou de « l’ode inspirée » est aussi revendiqué. Il ne s’agit plus d’un exercice de style suivant les préceptes de la doctrine classique. Ici la poétique se déploie dans une liberté totale et s’émancipe des carcans qui distinguaient les genres sous

comment, à partir de l’alchimie poétique baudelairienne, la poésie a su se saisir du quotidien et de la laideur pour l’élever au rang de la dignité littéraire. ➢ Un groupement de textes complémentaires Le groupement, consacré au thème de « la femme, muse et démon », permet de comparer les statuts différents accordés à la femme, par Baudelaire et d’autres poètes majeurs, montrant les formes variées et parfois contradictoires que peut prendre la quête du sens à travers l’écriture de l’amour et du

Sommaire : Introduction Page 2 I- L’auteur et sa muse Pages 3-8 A) Qui est vraiment Lewis Carroll ? Pages 3-4 B) Les circonstances d’écriture Pages 5-6 C) Autour de Lewis Carroll et Alice Liddell Pages 6-8 II- Le texte et ses indices Pages 8-14 A) Le personnage d’Alice Pages 8-9 B) Les adjuvants et opposants d’Alice Pages 9-12 C) Le pays des merveilles Pages 12-14 III- Le mythe d’Alice Pages 14-17 A) Les adaptations Pages 14-15 B) Alice Liddell : une jeune centenaire Pages

droite laisse apparaître deux visages et un corps plutôt mystérieux. Ainsi on peut retrouver les Neufs Muses de cette maison close de Barcelone inspiratrices de Pablo Picasso. VII. Le futurisme Le futurisme débuta en 1904 en Italie pour s’achever en 1920. Les futuristes déclarent une véritable guerre à la nostalgie du passé s’incarnant dans les musées et s’appuyant sur les traditions. La particularité de ce mouvement est qu’il rejette la tradition esthétique et exalte le monde moderne

sentiments. IV. LE PARNASSE Le parnasse se développe durant la seconde moitié du XIXème siècle. Les poètes empruntent ce nom à une montagne grecque dédiée à la poésie pendant l’Antiquité, dont le sommet était consacré aux muses, des déesses inspiratrices des poètes. Les poètes du Parnasse condamnent l’expression des sentiments des romantiques et veulent une poésie plus neutre fondée sur la rigueur des vers. Les parnassiens récusent, en effet, le délire narcissique, les exaltations du « moi » (Romantisme)

Le Dit de Tianyi de Francois Cheng : un roman de l'artiste ?LE DIT DE TIANYI DE FRANÇOIS CHENG : UN ROMAN DE L'ARTISTE ? Daniel-Henri Pageaux Klincksieck | « Revue de littérature comparée » 2007/2 n° 322 | pages 223 à 233 ISSN 0035-1466 ISBN 9782252036167 DOI 10.3917/rlc.322.0223 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-de-litterature-comparee-2007-2-page-223

recueil de dix poèmes (polycopié par lui-même à 17 exemplaires ) intitulé Le Devoir. Il signe Paul Eluard, du nom de sa grand-mère maternelle. Il y exprime une horreur de la guerre qui ne le quittera plus.  En 1917 il épouse Gala qui sera sa première inspiratrice et aura une grande influence sur sa carrière de poète. En 1918 il publie Les Poèmes pour la paix. Eluard contribue, quelques années plus tard, à la création du groupe surréaliste. Il se rapproche un temps du mouvement Dada. En 1924, à la veille

d’exclamation indique dans les trois recueils la dominance de la modalité exclamative. les nombreuses occurrences à l’intérieur des lignes, en segmentant les versets, contribuent également à dessiner l’image extérieure des textes (« o mon amie ! ô muse dans le vent de la mer ! ô idée chevelue à la proue30 ! »). les majuscules à l’initiale des noms communs — très fréquentes chez les trois poètes — 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 Paul Claudel, Cinq grandes Odes, op. cit., p. 236. Ibid., p. 237. Édouard